« Tirer un coup avec un percolateur » : différence entre les versions
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''Plus exactement, « Tirer un coup avec un percolateur - Poésie »''.Poésie en sous-titre. Simple et beau comme l'éternité. | ''Plus exactement, « Tirer un coup avec un percolateur - Poésie »''.Poésie en sous-titre. Simple et beau comme l'éternité. | ||
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Pour la plupart des romans d'Homère Simpson, le souci de profondeur commence et s'arrête entre 20 et 200 mètres sous la surface ; après le seuil de décompression, ça commence déjà à déconner. Une exception pour "Tirer un coup avec un percolateur": là, c'est exactement le contraire. L'histoire se déroule à moins 500 mètres, une erreur de profondeur qu'on pardonne à 17 ans mais qui fait tache à 40, qui provoque un sourire gêné et qui persuade les habitués du biotope sous-marin qu'ils savent déjà à quoi ils ont affaire (et à qui), une erreur de profondeur qui est un vrai problème pour un roman de cette nature (il ne le serait évidemment pas si le héros était un cachalot). | Pour la plupart des romans d'Homère Simpson, le souci de profondeur commence et s'arrête entre 20 et 200 mètres sous la surface ; après le seuil de décompression, ça commence déjà à déconner. Une exception pour "Tirer un coup avec un percolateur": là, c'est exactement le contraire. L'histoire se déroule à moins 500 mètres, une erreur de profondeur qu'on pardonne à 17 ans mais qui fait tache à 40, qui provoque un sourire gêné et qui persuade les habitués du biotope sous-marin qu'ils savent déjà à quoi ils ont affaire (et à qui), une erreur de profondeur qui est un vrai problème pour un roman de cette nature (il ne le serait évidemment pas si le héros était un cachalot). |
Version du 28 juillet 2007 à 19:54
"Tirer un coup avec un percolateur":(L'Odyssée d'Ulysse Gosset, tome XII, 1937)
Plus exactement, « Tirer un coup avec un percolateur - Poésie ».Poésie en sous-titre. Simple et beau comme l'éternité.
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Pour la plupart des romans d'Homère Simpson, le souci de profondeur commence et s'arrête entre 20 et 200 mètres sous la surface ; après le seuil de décompression, ça commence déjà à déconner. Une exception pour "Tirer un coup avec un percolateur": là, c'est exactement le contraire. L'histoire se déroule à moins 500 mètres, une erreur de profondeur qu'on pardonne à 17 ans mais qui fait tache à 40, qui provoque un sourire gêné et qui persuade les habitués du biotope sous-marin qu'ils savent déjà à quoi ils ont affaire (et à qui), une erreur de profondeur qui est un vrai problème pour un roman de cette nature (il ne le serait évidemment pas si le héros était un cachalot).
Notons tout de même que Homère Simpson pensait plutôt intituler son roman « faire l'amour à un percolateur», mais qu'il craignait que ça lui foute la honte devant les copains.
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·Les U-Boat attaquent ▬ Le mérou pète un câble ▬ Mad Max, le fils du mérou ▬ La banane du pêcheur ▬ Roubignole ▬ Le temps de l' Hésitance ▬ L'amitié de la badèche rouge insulaire ▬ L'Exode des phoque-escargots ▬ Le mérou s'tond à Saint-Tropez ▬ Un Albatros à sourcils de fonction ▬ Si Paris-Roubaix m'était conté ▬ La phobie des pingouins ▬ Tirer un coup avec un percolateur ▬ Gangbang ▬ L'encyclopédie interdite du plongeur ▬ Le sélénium, le fer, l’iode et le maquereau ▬ Wingsuit-trap | « Rien de grand ne s'est accompli en ce monde sans mérou... » (Antoine Hummel). |