« Discussion utilisateur:Toinou » : différence entre les versions

D'ArdKorPedia
Aller à la navigation Aller à la recherche
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 601 : Ligne 601 :
- Il est effrayant que si les articles concernant la [[Fin du Monde]] sont légions sur la présente encyclopédie, aucun article à ce jour ne soit consacré à ses débuts - sans doute faut-il y voir une fois de plus le résultat déplorable du [[nihilisme]] ambiant qui pousse tant de nos contemporains à se vautrer dans la contemplation de la catastrophe. Faire un tel article relèverait à ce titre de la nécessité, ne serait-ce qu'à titre hygiénique. Faites-donc, il ne sera pas bien difficile de lui trouver une place à l'accueil. --[[Utilisateur:Le Violet|Le Violet]] 30 avril 2014 à 19:12 (CEST)
- Il est effrayant que si les articles concernant la [[Fin du Monde]] sont légions sur la présente encyclopédie, aucun article à ce jour ne soit consacré à ses débuts - sans doute faut-il y voir une fois de plus le résultat déplorable du [[nihilisme]] ambiant qui pousse tant de nos contemporains à se vautrer dans la contemplation de la catastrophe. Faire un tel article relèverait à ce titre de la nécessité, ne serait-ce qu'à titre hygiénique. Faites-donc, il ne sera pas bien difficile de lui trouver une place à l'accueil. --[[Utilisateur:Le Violet|Le Violet]] 30 avril 2014 à 19:12 (CEST)


- Je m'y attelle.
- Je m'y attelle. --[[Utilisateur:Toinou|Toinou]] 30 avril 2014 à 19:22 (CEST)

Version du 30 avril 2014 à 18:22

Extraits du Dialogue entre un Pitre et un Petit con, de Donatien Antoine François de Sade-Hummel

- Juste comme ça messire Antoine H., sauriez-vous comment réaliser l’exploit de faire des notes de bas de page sur ce site?

- A propos?

- De l'incroyable sur-représentation des chiens dans l'entourage immédiat des nihilistes.

- Exact. J'ai noté l'amphibologie.

- Notez par ailleurs que la question se pose d'une manière générale: car enfin, comment garder l'esprit de sérieux nécessaire face à une encyclopédie sans note de bas de page?

- Le problème des notes en bas de page, c'est qu'il s'agit déjà de savoir les faire, et deuxièmement de savoir, non qu'elles ne soient nécessaires, si elles apporteront quelques choses aux 32 lecteurs qui suivent, sans les perdre. Une encyclopédie moderne, selon moi, ayant pour essence d'aller au principal.

- Je ne suis pas sûr que la plongée dans une note de bas de page empêche de rentrer dans le vif du sujet. Du reste, comment garder l'esprit de sérieux nécessaire face à une encyclopédie qui ne perdrait pas son lectorat? Reste, tout de même, le premier problème.

- Soit. Séquestrons un wikipédien.

- Bonne idée, mais ce n'est pas la saison de la reproduction, en ce moment? je croyais que la saison de la chasse était plutôt en automne-hiver. (Par ailleurs, je dois en conclure, à mon grand désappointement, que vous n'avez pas la réponse. C'est ennuyeux pour votre réputation. Peut-être que Bob...?)

- La réputation d'Hummel est morte depuis plusieurs siècles. Ne vous inquiétez plus pour lui, il est de notoriété publique désormais que son existence s'inscrit hors de toute immanence.

- Au fait, pendant que je vous tiens, Herr Obersturmfourreur Hummel, vous auriez des idées pour commencer deux pages que je dois faire depuis longtemps, la Waffen Société du Spectacle et le Biopouvoir du Crâne Ancestral?

- Mais très certainement. Pour commencer, dans les deux cas, je vous suggère de faire référence à la mort de Dieu en incipit.

- C'est odieusement autopublicitaire, j'adore.

- Ensuite je vous propose de dévaluer l'euro pour 3 ans, de commander chez la foir' fouille un kit de survie pour la traversée de l'Atlantique, puis d'aller finalement vous faire clôturer les miches aux toilettes publiques les plus proches de chez vous.

- Là par contre je suis pas sûr, dévaluer l'euro pour 3 ans, le peuple ne comprendra pas.

- Le peuple? Vous voulez parler de quoi? PS : j'ai commencé votre foutu article.

- Je vous en sais gré. Et je suis fort aise de ne plus être le seul à maintenir ce machin en semi-vie. Quant au peuple, c'est pourtant simple, j'avais mis un lien hypertexte en prévention, justement, d'un éventuel trou de mémoire; cliquez donc, distrait que vous êtes.

- Pourquoi vous ne vous vous mettez pas à l'écriture de romans céliniens. Un peu de mirliton avec vos calembourgs fantasques, et puis une véritable feuille et un stylo, ça change la vie, le clavier c'est de la Métaphysique Dure, il faut en revenir à la liquide pour écrire.

PS : auriez vous l'aimable autorité de renommer Waffen Société de l'Anarchie-spectaculaire par Société de l'Anarchie-spectaculaire, merci.

- Pour ce qui est de votre Post Scrotum: Mais très certainement, mon bon, je m'y emploie céans. Mais en revanche, pour ce qui est du roman célinien, je n'apprécie déjà pas l'original, je me vois mal en faire une copie. Et je fais, voyez-vous, peu de calembours, quand j'en viens au papier et à la feuille, ce que je fais encore. Ce genre d'endroit (ce site) est parfait pour un usage du calembour, on a une idée idiote, elle nous fait rire, on n'a plus qu'à taper et c'est fait. Ça occupe mes moments procrastinatoires, et c'est très bien comme ça.
Post Scrogneugnum: Je n'ai pas laissé de page de redirection depuis Waffen Société de l'Anarchie-spectaculaire, ça me semblait inutile.

- Très bien, ainsi quels usages faites vous de votre plume?

- Ces derniers temps, ils sont exclusivement dévolus à l'écriture de textes préparatoires de conférences (je sais pas trop comment appeler ça, autrement, même si ça fait un peu pompeux) futures sur l'épistémologie et l'histoire des sciences, et à la mise en forme les notes des deux premières conférences pour en faire autre chose (probablement un livre, si ma force d'inertie me lâche un peu le bras). Rien de bien rigolo en somme.
PS Bon évidemment comme d'hab' Lolo s'est viandé: il manque une bonne demi-heure à la première conférence et il a donné à l'ensemble le titre de la seconde. Il me fait tout le temps le coup, mais je vais pas non plus l'accabler, il héberge mes machins alors que rien ne l'y oblige après tout.

- Putain de MERDE. C'est exactement les travaux sur lesquels je comptais m'aventurer dans les 8 prochains mois. Il faut passer des coups de fils.

- Hé bien parfait, on peut toujours confronter nos positions, et s'en nourrir si elles sont en accord et les frictionner un peu si elles ne le sont pas.

Ah au fait, pour en revenir aux pitreries (ça me fait bizarre d'être sérieux ici, quand même. Pas désagréable, mais bizarre), Section d'Anarchie-spectaculaire ça ferait peut-être un peu moins double emploi avec la Waffen Société du Spectacle, non? En plus on garde la honte de la référence honteuse en la laissant à la publicité, car en l'absence de Waffen elle n'est plus évidente sur la SA.

- C'est d'accord.

- Juste au fait, pourriez vous m'éclairer sur la nature exacte de ce titre musical que l'on fredonne bien souvent sous les onomatopées suivantes :
Asselere Ah Lere Asselere li dou li da dou re di da li dou li re li dou dou li dou li re di di guanamipi

- C'eût été avec grand plaisir, si j'avais la moindre idée de ce dont vous parlez.

- C'est bon pour moi. http://www.youtube.com/watch?v=V0PisGe66mY (source ironico-nihilistes de Wikipedia, page tube de l'été 2002).

- Ah mais bordel, pourquoi vous me mettez de la merde dans les oreilles, j'entends plus rien maintenant!

- Ah parce que vous ne faites pas un usage exclusif de la merde avec votre clavier ?

- Je vous signale tout de même que je ne tape pas sur mon clavier, ni ne lis sur mon écran, avec mes oreilles. Je ne saisis donc pas bien le rapport, voir figure I.

- Mon diagnostic de schizophrénie physiologique est donc justifié. A la prochaine fois, c'est 23€.

- Mouais. J'ai vu des A la prochaine fois à 12€50 chez Lidl, vous vous êtes fait avoir.

- Alors coupons la poire en deux, je vous le fais à 17€.

- Partant du principe que, comme disait Malevich, l'argent est de la paresse concentrée, je veux bien si vous me le livrez, ça m'évitera d'avoir à sortir.

- Non.

- J'aurais essayé. Sinon, tiens, si vous comptez bosser un peu l'épistémologie des sciences, avez-vous 1- des références intéressantes, et 2- écouté mes... euh... conférences, et si oui, qu'en avez-vous pensé?

- Non. Non.

- Allons bon. Allons bon.

- Vous direz au passage qu'entre moi et Bob, niveau poésie, je pense que passer à la postérité ne me posera pas trop de soucis, pour lui cela risque de demander encore pas mal de travail et un énorme Salut, même si Dieu l'a souvent à la bonne et le pardonne malgré tout.

- En clair, Bob est le chouchou de la maîtresse, quoi.

- Non non non. J'écouterais vos conférences demain. De toute manière l’épistémologie est une immense escroquerie, vous savez comme Antoine Hummel, que, puisque tout est nature, tout est vrai, donc toute la science est fausse, mais c'est vrai, puisque la science est une partie du tout, vous me suivez?

PS : avez vous remarqué que cette page a été consulté plus de 128 fois, et que les récents articles sortis de nos consciences ont eux aussi attisé plus de 100 clics effrénés parmi les plus téméraires de nos internautes modernes?

PS : pourriez vous renommer pédaterastie avec 2 t?

- Je ne dirais pas ça - pas tout à fait. Tout est nature, tout n'est pas vrai, donc le concept de nature est pho, donc la science est naturelle, puisqu'elle est partie du tout, donc partiellement phosse. Vous voyez où je veux en venir?

PS: Oui, ça n'avait pas échappé au maniaque du détail insignifiant que je suis. C'est incroyablement perturbant.

PS2 : c'est fait, comme vous l'avez déjà constaté.

- Il faudrait disserter sur la différence entre réel et nature...

- Pourquoi pas, oui. Ceci dit pour moi ça reviendrait à disserter sur la différence entre une photo de rhinocéros et une licorne bleue à taches vertes...

- Par cette habile pirouette, vous faites encore montre de votre intarissable talent à éviter toute dissertation sérieuse. On ne trouvera décidément jamais un seul argument valable dans votre verve.

PS : ça ne serait pas un peu plus simple d'aller sur slsk?

- Qu'est-ce donc que ce slsk? Encore un truc de jeunes, j'imagine?

PS : Je vous assure que je suis sérieux, et que ce n'est absolument pas une pirouette.

- Je n'en ai aucune idée, j'ai tapé des lettres au hasard pour amener un sujet de discussion.

- Voilà qui n'augure guère la discussion sérieuse, vous en conviendrez. Mais il est clair que pour un échange sérieux, le moyen que nous utilisons céans est pour le moins inadapté. Des solutions, autres que taper des lettres au hasard?

- Je pourrais vous faire part de mon adresse poubelle gmail, ainsi son service de chat associé nous permettra de nous noyer dans un libre caca commun, mais attention, une discussion peut en cacher une autre, jamais l'inverse.

Ayant très envie de donner un aspect sublime à ce site vaib qui le dissimule depuis trop longtemps, je vous suggère de suivre mon entreprise poétique toute récente.

- Bon, le problème est que je n'ai aucun (aucun!) talent pour la polésie. Tout le problème est maintenant de savoir quel degré de ridicule je peux supporter.

- Lancez vous.

- Vous l'aurez voulu. Viendez pas vous plaindre après que votre belle entreprise poétique toute neuve est toute salopée...

- Très bien, je corroborerais.

- L'avenir a pris racine dans le présent. C'est fait.

- Horreur et vilénies, à peine je n'ose lire, vous avez tout démis l'entreprise à chérir.

PS : Ah la oui, il faut arrêter, je n'ai même pas envie de répondre par un autre poème (déjà que le mien était à chier, il avait un minimum un thème esthétique). Il faut aller de suite chez l'orthophoniste.

PS : mais bordel, comment fonctionne votre raison pure, vous prenez des drogues?

- Je vous avais prévenu. Nettoyons tout ça, voulez-vous.

PS2 : Non, pourquoi?

PS3 : Et hop! vive l'autocensure!

PS4 en avant première avant sa sortie au Japon : Force est de constater que le vôtre pique les yeux pas mal, également.

- Ma?

- Je ne suis pas sûr de vous suivre. Que me demandez-vous par "ma", exactement?

- Non, c'est vous qui commencé, je ne suis pas d'accord.

- Êtes-vous ivre? Tout cela n'a aucun sens. Moi qui commencé quoi? D'accord avec quoi?

- Ah vous continuez?

- C'est agaçant. Je suis bien en peine de vous répondre parce que je n'ai pas la première idée de ce dont vous parlez. Continuer quoi?

- Tout ceci est un dialogue de sourds.

- J'abonde.

- Robweb devrait subir un traitement de défaveur.

- Clairement. Je propose le Knout, c'est toujours plaisant comme entrée en matière.

Dites, à propos, et puisque vous vous amusez à m'en asséner un, de traitement de défaveur, vous avez conscience que je peux révoquer les contributions et protéger les pages? Et au fait, qu'est-ce qui selon vous peut bien justifier de m'appliquer ce qualificatif d'utilisateur débile?

- Il s'agit d'une provocation. Bien sûr que vous êtes d'une inqualifiable intelligence.

- N'exagérez pas, enfin. Je suis d'ailleurs incomparablement plus susceptible qu'intelligent. Mais bref.

- Ah?

- Tiens, vous n'aviez pas remarqué?

- Seulement j'observe votre susceptibilité sur cette page, alors que très franchement je ne vois jamais aucune forme de sensibilité dans vos articles.

- Là encore vous me flattez, vil flagorneur.

- http://www.youtube.com/watch?v=0kn6ZzoOG9w. Ca vous amuse à 15:00? Ca mériterait un article...

PS : https://www.google.fr/search?client=firefox-a&hs=KjT&rls=org.mozilla:fr:official&channel=fflb&q=%22sieg+mon+freud%22&bav=on.2,or.r_cp.r_qf.&bvm=bv.48293060,d.d2k&biw=1366&bih=614&um=1&ie=UTF-8&hl=fr&tbm=isch&source=og&sa=N&tab=wi&ei=Y-jFUcXMJKmJ0AWFoYCwBw

- Là quelque part je dois dire, Google m'inquiète, ces derniers temps.

PS. Arrêtez de supprimer vos meilleures idées, c'est énervant (cf.votre dernière suppression sur la page psychanalyse).

- Ah, parce que vous en avez trouvé de mauvaises?

- Etrange raisonnement. Que je parle de vos meilleures idées ne vous permet nullement de supposer ceci - ni le contraire d'ailleurs.

- Pourriez vous supprimer l'article Lana d'Ail Raie, j'en suis fatigué, s'il vous plaît.

- En premier lieu, certes, et désolé pour cette réponse tardive, Orange, trouvant sans doute que je n'avais pas été sage, m'avait privé de le Internet. En second lieu, bon sang, vous êtes terrible. Je vous vois régulièrement raboter vos contributions, et pas toujours les moins bonnes. Je vous accorde cependant que Lana d'Ail Raie n'entre pas nécessairement dans cette catégorie.

Serveur Wiki

Salut,

Je suis un admin de la Désencyclopédie. Je connais ardkorpedia depuis longtemps et je me demandais comment tournait le serveur ? Et qui le gère ? Ftiercel 20 juillet 2013 à 22:11 (CEST)

- Aaaaaglrr, un espion! Le Violet 21 juillet 1964 à 12:17 (CEST)

Le serveur tourne bien, merci, et c'est moi qui le gère (mal). --BobArdKor 21 juillet 2013 à 14:32 (CEST)

La Sssolituuude, da daaaa da da da daaaaa

- Dites Messire von Hummel, ça fait longtemps que je ne vous ai pas vu exercer votre esprit acéré en ces lieux? Seriez-vous en ascèse pitresque?

- En vacances vous dis-je? Etes vous donc sourd, vous avez cassé votre robot cybernétique?

Merde, mon sonotone!

- Ah! tiens, j'ai dû rater ce passage. Et vos vacances se sont bien passées? Vous avez eu beau temps?

- Parfait. J'ai perdu beaucoup de temps dans mes projets, mais je me réconforte quand je constate votre avancement dans votre vie à vous la votre.

- De fait. J'ai été très productif dans mon improductivité. La science procrastinologique avance à grands pas.

- Et la science tout court des nouvelles? Parce que dans mon cas j'ai l'impression que j'ai 200 ans d'avance avant de prendre conscience que j'en ai 6 de retard dans le niveau requis de mes études.

- Des nouvelles, oui; j'ai avancé de ce côté aussi, et devrais reprendre du service et mon cycle de conf' à la rentrée. J'en saurai plus le 8 septembre. Je vous tiens au courant? Vous aviez écouté les premières conférences de votre serviteur?

Et je regarde ça céans.
... et arrête immédiatement. J'étais bien dans mon Parmeggiani, pourquoi vous m'accablez avec du zim-boum-boum?

- Ah Parmeggiani ! Quel mégalomane.

- Note pour plus tard: penser à faire la page Mé(ga)lomane.

- Au fait, Alexandre Koyré est une référence très intéressante en epistémo, il faisait des lectures de Galilée, Descartes, Bruno, Aristote dans le désordre, donct histoire de la philo des sciences, mais si vous ne connaissiez pas cela m'étonneray.

- Je connais - et apprécie. Vous connaissez Frances Yates? Une élève d'icelui et de René Alleau?

- Non. Bien?

- Très. Je n'aurais pas d'intérêt à vous l'évoquer en cas contraire. Procrastinologue, certes, mais il y a des limites - comme disait un fameux homme politique, il faut mettre un frein à l'immobilisme.
Bref, outre de courts textes facilement trouvables en poche Allia, je vous conseille chaudement son Giordano Bruno et la tradition hermétique.

- Moi yen a lire deux Giordano Bruno en ce moment (dont un que j'ai payé 50€ chez les belles lettres, édititon belle cependant), moi apprecier, sauf quand M. Bruno recycle le stoicisme sans nous le dire et est "précurseur" de Spinoza, interessant pour ça justement, enfin pour certaines pensées pas das l'ensemble.

- ça y'en a très bien, mais quoi y'en a vous prendre de parler en petit nègre, d'un coup?
J'ai eu plus de chance que vous, ceci dit, puisque j'ai trouvé le mien d'occasion. Pour ce qui est du recyclage du stoïcisme, je ne vois pas trop où se situe le problème, trouvant le stoïcisme ma foi fort intéressant; de même, encore, pur Spinoza. Puis-je également vous faire remarquer qu'on n'est jamais que précurseur de soi-même?

- Je trouve ça interessant aussi, le reproche que j'aurais, c'est qu'il prend des thèses précises d'Aristote, Lucrèce pour confirmer ou infirmer, mais ces arguments sont ceux de philosophes de la même époque parfois. Si on lit mettons Schopenhauer, on a un raisonnement discursif plus clair ou les références sont sincères.

- Je ne suppose pas d'insincérité chez Bruno, son style est simplement celui de son époque; et son époque n'avait pas encore finalisé la funeste notion d'auteur. Les filosofs plus contemporains sont évidemment immunisés à une telle confusion de la part de nos contemporains, et si Bruno avait pratiqué ce genre de choses un siècle plus tard, mettons, j'aurais dû vous donner raison - souvenez-vous du Pierre Ménard...

- De Ménard je connaissais le petit Robert. Expliquez vous...

PS : toujours est-il que je ne suis pas d'accord. Montaingne écrivait avant Bruno sans le reproche que l'on peut faire au second. Burne! Con... menteur... dépravé de l'a biblio... salaud.. mythomane.. affabulateur... Bill Vesey.

- Pierre Ménard, auteur du Quichotte, première nouvelle publiée de Borges. Je suis étonné que vous ne connaissiez pas.

Sur votre PS, c'est un peu bancal. Montaigne fait autre chose, certes. Ce n'est pas pour autant que ce que vous reprochiez initialement soit réellement matière à reproche ou simple produit du style du temps. Mais vous étendez vos reproches, poussez à l'absurde les anciens ("dépravé d'la biblio", c'est tout à fait admirable avant l'apparition des bibliographies!) et en adjoignez d'autres au passage, dont il n'était pas question précédemment - mythomane et affabulateur... hmmm...
Considérez également que le caractère mythomaniaque et affabulateur n'est pas un motif suffisant pour condamner une théorie, sans quoi il nous faudrait envoyer aux poubelles de l'histoire toute la théorie galiléenne, et il se trouve que Galilée affabulait bien plus que Bruno.

- Premièrement : je parlais de bibliothèque. Troisièmement : les anciens n'ont jamais existé, en 1534 la terre est envahie par les adeptes de Rael et la face du monde est trichée. Huitièmenent : Bruno construit une philosophie mystique en évacuant tout ce qu'il ne peut expliquer avec la philosophie de son époque dans un raisonnement matérialiste qui n'en est pas un vous me suivez?

- Je vous suis. Si vous parliez bibliothèque, pourquoi pas, mais c'était ambigu. Par contre, je n'ai rien contre les dépravés de la biblio(thèque), et l'espace temporel compris entre la fin du croix-vé siècle et la fin du croix-vé-bâton siècle en est infesté (pensez à Pic de la Mirandole, par exemple); ce qui a plutôt tendance à me réjouir. Finalement ce que vous lui reprochez, là, c'est d'être un hybride, en fait.

- Non, en fait j'adore Bruno, je découvre, mais je ne connais pas bien le stoicisme, et j'aurais aimé un retour avec explication et re-situ, sinon j'adore sa prose et cette façon d'invectiver les gens tout-venant. On trouve sous sa plume de jolies insultes : "serfs en liberté" par exemple, quoi de plus moderne.

- Ah, vous vous donnâtes donc une fois de plus mission de tester ma patience?
Il est vrai que l'art de l'invective est une bien belle chose. Je le trouve finalement peu moderne, par contre. A part Marx et les situs, c'est un métier qui se perd. Invectiveur de gens tout-venant, encore un de ces vieux métiers disparus qui font l'ouverture du 13h...

- Peu moderne? C'est très subjectif de votre part.

- Certes, puisque ce n'est pas un objet qui vous parle. Cela dit, oui, ça se discute sans doute - en l'état actuel de nos connaissances il est douteux qu'on puisse se départager.

LE SECRET POUR HÉBERGER DES IMAGES! VU A LA TÉLÉ! TESTÉ SUR DES LAPINS!

- Vous vous rendez quand même compte qu'il était suffisant de demander. La menace est superfétatoire en la matière. Mais bref, c'est ici:
http://www.ardkor.info/up/load

Merci de rien mon Tabarin
Je te caresse tes petits reins
(léger râle de jouissance vite contenu)

- C'est très bien mais cela ne fonctionne pas.

- Je vois le problème. J'ai copié l'adresse depuis un onglet déjà utilisé pour charger une image, il y a donc un /load de trop. Là ça devrait marcher tout à fait correctement: http://www.ardkor.info/up/

- Merci, je vais manger ma danette à la vanille et je reviens.

- Je vous en prie, je compte moi-même m'enfiler un yoglourt.

- Dites, vous n'auriez pas un bon film de "voyous" à me conseiller (dans le genre les infiltrés ou je ne sais quoi, que je n'aurais pas vu, ou un bon film tout court pour ce soir. Merci.

- Que vous dire? J'ignore ce que vous avez vu, ça va être coton. Vous pouvez essayer, si vous n'avez rien contre les "voyous" japonais, les flimes de Fukasaku - le type qui a fait avec les yakuzas ce que la génération Kurosawa-Kobayashi avait fait avec les samouraïs, les sortir du mythe obséquieux pour les rendre à leur sordide réalité. Par exemple, Cimetière de la morale, ou si vous êtes d'humeur plus légère, Kamikaze club. Et si vous ne l'avez pas déjà vu, ça vaudrait franchement le coup de vous visionner le Gozu de Miike, tant qu'on est dans le yakuza. Par contre celui-ci n'est pas un film de voyous, même si les protagonistes sont effectivement des yakuzas. Je sais que ça fait cliché, mais il est franchement dur à cataloguer.

- Merci bien , je vais me renseigner.

Et donc, ces renseignements?

- Vous avez opté pour quoi, finalement?

- J'ai revu Midnight Express. Je verrais plus tard, je note tout cela.

- Le choix de la sécurité; intéressant.

- En parlant de sécurité, vous n'auriez pas une opération humanitaire à remplir, qui consisterait à faire parvenir de la Marie-Jeanne (sic!) à Antoine Hummel?

- Étant pauvre, je suis ma propre œuvre caritative.
Pour ce qui est de mon surnom, c'est dû à la couleur des cheveux que j'avais à l'époque où je l'obtins. Ce qui ne nous rajeunit pas.

- Ça arrive souvent de se faire sucrer sa communication internet par Orange? Vous avez encore du vous illustrer dans de sinistres affaires avec votre clavier... Mais rassurons-nous François Hollande est un brave type, il va nous voter des lois de désenvoutement sur la surveillance technologique et sauvera le monde dans la foulée de manière incompréhensible. Nous sommes sur la bonne voie, mais seulement, pourriez-vous répondre à ma question?

PS : je me suis mis à chercher vos films à easy-cash, mais malheureusement aucun dvd de ces réalisateurs n'étaient disponibles, de plus j'ai eu des problèmes avec HADOPI de mon côté, et torrent m'est proscrit (ces connards de flics 3.0 sont déja venu chez moi et ont hypothéqué mon matériel de récurage social cybernétique, je ne sais plus quoi faire...), je pense que nous sommes traqués... Mais ou donc se procurer ce film...

- Pour ce qui est de votre première question, c'est la seconde fois cette année; mais rien de bien grave. Une obscure affaire de factures impayées.

Concernant votre PS, les Fukazaku sont édités chez Wild Side, dans la (très bonne au demeurant) collection Les Introuvables (qui réunit également des Nomura, Shindô, Naruse, Kurosawa Akira, Kobayashi, Okamoto, Gosha etc. pour ce qui est du cinéma japonais - le reste est souvent tout aussi intéressant, Jules Dassin, Samuel Fuller...). Malheureusement ces corniauds ont signé un contrat d'exclusivité avec la Fnac. Quant à Gozu de Takeshi Miike, il est édité en français également, mais je ne retrouve pas mon exemplaire, donc je suis dans l'empêchement momentané de vous dire chez qui.

PS ah ben j'ai trouvé sur le Internet: c'est chez Wild Side aussi (mais pas dans la même collection).

- Ok; Je vais m'en commander un ou deux et découvrir le cinéma japonais (je n'ai que l'empire des sens...).

- ... qui est un très bon (et très japonais) film au demeurant. Il y a pas mal de choses dans la Nouvelle vague japonaise, cachés par la notoriété de Oshima; je vous recommande chaudement le Eros+Massacre de Yoshida (chez Carlotta en fRance si ma mémoire est bonne); les Teshigahara ne sont pas mal non plus.

Mais si vous ne connaissez pas le cinéma japonais, est-ce à dire que vous n'avez pas vu le somptueux Seppuku (Harakiri en fRance) de Kobayashi?

- Malheureusement non. Mais il a l'air totalement introuvable également. Je cite lafnac.com : Le Cimetière de la morale Collection Les Introuvables...

- Sisi, Harakiri est disponible chez Carlotta.
Et pour ce qui est de "Le Cimetière de la morale Collection Les Introuvables", ça ne veut pas dire qu'il est introuvable, mais bien qu'il est chez les Introuvables, ci-devant collection de Wild Side, voir plus haut.

- Oui ok j'avais saisi, sinon elles sont cochonnes les japonaises?

- Je ne vous ai cité nul titre de Pink Eiga; quelle étrange question. Vous faites dans le graveleux, ce soir, Mister H.?

- Ce n'est pas pour insister la-dessus mais parce que les anglaises ont très bonne réputation dans mon esprit... C'est quand même super-cool l'époque du Dr. Freud à l'ère planétaire et démocratique, on peut nager psychosexuellement sur la planète selon les différentes conceptions de la femme à travers le relativisme culturel à la Cloclo Strauss...

- De toute façon, n'ayant jamais connu de japonaise (pas dans ce sens de connu, en tout cas) je serai bien en peine de satisfaire votre curiosité sur le présent thème. Mais si je me fie à Visitor Q de Miike, les japonaises mortes baisent très bien, si l'on accepte la substitution de la merde à la cyprine.

- Je ne regarde pas de films susceptibles de me pousser au dégout ou bien au vomi, pour ce je préfère me saouler à la bière triplement fermentée (ou bien constater le degré de folie chez de tristes personnages...).

- Visitor Q n'a rien de dégoûtant (mentit-il), c'est une espèce de Theoreme version psychopathie heureuse (ceci en revanche est rigoureusement exact).

Bref, pas de japonaise qui baisent dans Harakiri, mais rien qui soit de nature à déranger votre estomac sensible - sinon l'injustice de ce monde et la morgue des puissants, mais ça vous devez déjà être au courant.

- Mais non vous ne saisissez pas mon propos (le faites vous exprès), en fait le must avec les femmes, c'est la cour...

Les anglais ont je crois un peu gardé ce prestige.

Pas de théorie de l'excitation par le déferlement d'images érotiques chez moi...

Ce que j'aime c'est le non-dit, le secret.

L'impossible et improbable chafouin qui arrive au but.

La suggestion.

Les anglaises quoi... Les anglaises... La princesse...

- Je vous renvoie votre question, j'avais très bien saisi, mais vous ne semblez pas vouloir m'accorder le privilège de la digression que pourtant vous vous octroyez. Mais bref, je commence à me faire à vos sautes d'humeur. D'autre part, étant un incompétent notoire en matière de séduction amoureuse (ma discussion a le chic pour rendre ces dames éperdues d'amitié à mon égard), votre présent thème devrait, si tout va bien, provoquer chez moi une rapide éruption d'autoapitoiement, et je n'ai pas l'intention de vous incommoder avec mes sautes d'humeur, pas plus qu'à moi d'ailleurs. Voulez-vous revenir sur le terrain neutre des thèmes culturels?

- Il faudrait que l'on sorte ensemble, vous les chauffez en les captivant pour faire naitre un semblant d'amitié (de compassion en fait non?), et moi je finis par les séduire. Ça me parait équitable, je vous rembourserai en fausse monnaie (c'est Laurel et Hardy en fait, un roublard et un type plus intelligent, mais c'est toujours le roublard qui gagne). Quoique si on en est aux confessions, les femmes ont plutôt tendance à l'effroi avec moi (ce qui peut mener au lit mais jamais à l'amitié...), cf : les tarés d'intellectuels allemands...

- Ne soyez pas déplaisant, je ne provoque la compassion que quand je le souhaite.

D'ailleurs parlant de compassion, je ne sais laquelle de nos deux situations, telles qu'évoquées à l'instant, est la plus lamentable.

- Je pense que vous êtes mieux placé que moi pour comprendre qu'on ne sait jamais entièrement ce que les gens racontent derrière soi. Quoique vous et moi avons des penchants très assumés à l'anti-bourgeoisie qui poussent nos détracteurs à nous voir forcément comme deux Moise asociaux et très clairs sur leurs conceptions. Mais trêve, je ne vous épouserais pas, sachez-le...

Quant au lamentable, apprenez bien que je ne suis pas gâté en termes d'offre au niveau féminin. La petite pousse-toi-la qu'on fume un pétard entreprenante et parisianné (ou pire sous coke..) à la fois m'est un spécimen parfaitement inconnu.

PS : ça vous intéresse une soirée torche-cul en ligne? Ou l'on dévertebre les derniers torts que la société nous a insufflé avec des images drôles et suggestives afin de se purger du mal pour l'éternité?

- Je ne pense pas être mieux placé pour comprendre ce phénomène puisque vous le décrivez très bien (moi non plus, d'ailleurs ma religion m'interdit le mariage).

Pour ce qui est de la proposition, pourquoi pas, même si je visualise mal l'idée (images dites-vous?); lancez-vous, je comprendrais sans doute mieux par l'exemple.

- Non laissons tomber. De toute manière la question du suicide est très simple, notamment parce que tout ce qui peut y pousser de manière profonde sont les exacts solutions pour éviter la dite chose. Qu'en dites vous? Une personne qui n'a pas résolu ce problème est une catastrophe métapsychique, demandez au Dr. Lacan...

- La vache, il pique les yeux le lien que vous aviez mis, je vous sais gré de l'avoir retiré.

C'est assez juste, oui, mais je pense que quiconque a résolu ce problème est une catastrophe métaphysique également. Ça doit être lié à la condition de l'homme (qui est au passage un des rares films que j'ai adoré sans pouvoir le finir, tant il est désespéré, même selon les critères habituels du cinéma de Kobayashi. Pour, à titre dérogatoire, dire du bien d'un structuraliste, on ne fera jamais assez l'éloge de la fuite).

- Je ne suis pas d'accord. Je pense même qu'il n'existe pas un écrivain qui soit véritablement majeur qui n'est pas résolu cette question à son propos. (Attention , j'ai pour habitude désormais de prendre une posture d'écrivain, gage certifié de supériorité rationnelle mais parfaitement con cependant).

- Ce serait un argument valable s'il n'était pas aussi facile de trouver des exemples d'écrivains majeurs qui étaient des catastrophes métaphysiques - sauf à exclure Bierce ou Kafka, par exemple, et je me demande bien ce qui permettrait une telle légèreté. Résoudre cette question n'est pas nécessairement (et c'est certes un paradoxe) s'en débarrasser.

- Très bien nous voilà d'accord sur le cas Kafka, qui fait parti de ses écrivains qui n'ont de conceptions que le résultat de leur solitude mais qui en même temps menaient une vie rangée, qui est la cause que vous cherchez dans votre sublime interrogation. Mais nous n'avons rien à nous apprendre. Baudelaire, Nietzsche, Cioran, Artaud, Camus, sont ce type d'esprit qui dans la même disposition ne souhaitaient plus appartenir à quoi que ce soit, certainement par dégout. Je pense que James Joyce est a mettre avec Kafka sur cette question.

- De fait, et ce, malgré un petit côté sale môme. Il existe un équivalent politique, également, puisque Stirner a, m'a-t-on dit, existé. Hélas le vulgaire tend à confondre cette position avec du nihilisme, ce qui ne facilite guère la compréhension.

- Vous avez toujours le sang chaud a ce que je vois...

- Et (que dieu m'entende) je compte bien le garder. Les passions froides sont un poison de l'âme.

- Et que Dieu m'entende, si il est anarchiste, lui, là on est mal... On a une sacré dette envers lui.

- Vous parlez de Stirner, ou de Dieu, là?

- Vous le faites exprès ou vous vous droguez là?

- Vous savez, ce n'est pas parce que j'ai dit que je m'habituais à vos sautes d'humeur que vous devez en conclure que je les apprécie. Je ne suis pas, contrairement à vous, dans votre tête, non plus que vous êtes dans la mienne. Quand (ça arrive, et c'est bien naturel dans un échange décousu sur le Internet) vous tombez dans une chausse-trappe d’ambiguïté au détour d'une de mes phrases, je prends sur moi et je recentre. Il serait plus simple, for the sake of the conversation, que vous en fassiez autant.

- Évidemment, si il est d'usage à notre époque, de détourner les objets de la conversation pour tergiverser sans arrêt sur des choses sans intérêt dans une incompréhension inféconde, je note de mon côté ces dispositions comme étant de purs résidus d'inertie bourgeoise qui me sont déplaisants. Posons les conditions d'un bon dialogue, ou bien je terrorise votre voisine innocente pendant 3 mois.

- Faites, j'ai toujours trouvé cette "innocence" suspecte. Et j'aime bien l'idée que vous me menaciez pour le cas où je me refuserais à quelque chose que je vous proposais à l'instant.
Plaisante rigolade mise à part, pourriez-vous, dans ce cas, répondre à ma question précédente concernant l'objet de votre remarque? Nous pourrons repartir d'un bon pied (quoique pas longtemps ce soir, car je suis bien fatigué et j'ai un fumier de texte (qui refuse obstinément, et malgré mes menaces réitérées à son endroit, de se finir) à taper demain.

PS. Shakespeare, of course. A vous:

Hier soir les anges ont frappé
à la porte de la taverne.

Ils ont fait des coupes avec
l'argile d'Adam notre père

Ceux qui sont au delà du voile,
les purs et les anges des cieux

Avec moi, humble mendiant sale
ils ont bu le vin généreux.

حَظًّا سَعيدًا!

- Omar Khayam? Je parlais de Dieu oui.

- Je me doutais que vous penseriez à Khayam, le thème est proche effectivement, et la langue d'origine est la même. Je vous tiens quitte de n'avoir pas trouvé, l'auteur est incomparablement moins connu - quoique ce soit sans doute le second poète persan le plus réputé (et un chouchou de Goethe): Hâfez Shirâzi.
Pas sûr que Dieu ne soit pas anarchiste, hélas.

- Évidemment Dieu c'est l'archétype même de l'anarchiste de base. Il crée le monde, c'est liquide et mouvant et ça ne se passe pas idéalement alors il est obligé de reprendre le pouvoir à la Napoléon, qui est bel et bien, vous le savez un ex-anar reconverti que l'on appelait Prométhée à son époque. Non franchement moi je ne suis que le ver de la pomme (ou le vers...).

PS : je vais essayer de découvrir ce poète, mais les rayons poésie des librairies sont horriblement vides, mis à part à Paris, mais je n'en suis pas.

- Ça se trouve chez actes sud, et parfois même d'occasion.
Vous êtes le verre dans le fruit parfois, non? Ce qui flatte notre goût du paradoxe productif, au demeurant.

Au fait, nom d'un PS: vous êtes d'où? LeuLeuDeuMars me l'avait dit mais j'ai la mémoire qui flanche, j'me souviens plus très bien.

- Aujourd'hui j'ai acheté les caractères de la Bruyère et ce type est le plus génial des hommes.

Sinon je suis de la planète terre et parfaitement extraterraciste, puisque nous parlions de Dieu.

- Éludez donc, je finirai bien par le découvrir.
Je connais très mal le susnommé. Sans doute en rougirais-je de honte si je ne tenais cette activité pour une perte de temps trop grossière. A la place, je vous demanderais bien de m'en faire quelqu'éloge, histoire de voir si vous pouvez m'en mettre l'eau à la bouche.

- Bon je l'ai acheté aujourd'hui. Mais je dirais que c'est pour moi au dela de Voltaire parce que pas un pet d'ironie (on comprend que Rabelais, Voltaire et leurs résidus du XXème siècle que sont Jarry et les surréalistes ont toujours fait rire, mais je vous promets qu'on est à ma place on n'apprécie peu l'humour et l'ironie passé 25 ans). Donc courtisan timide et lucide du 17ème, rien avoir avec l'orgueil d'un La Rochefoucault qui n'est que la cocaïne des moralistes français. Toujours un soucis de rétablir des portraits comme Montaigne mais très clair sois de courts paragraphes, soit des aphorismes, pas de risque de s'endormir. Je dirais que c'est mon coup de cœur 2013, je lui met 9,9 sur 10. Il y a même des passages entiers sur l'amitié chez un penseur français qui arrive à les écrire sans grincer des dents, ce qui est fort rare, convenons-en encore une fois.

- Certes. Cependant, et ce sera sans doute, convenons-en également, notre point majeur de ce soir, j'apprécie l'ironie qui d'ailleurs peut être autant une figure argumentative qu'humoristique. Pensez à Swift, par exemple. C'est certes drôle, mais c'est surtout très sérieux - et passionnant. Ou rappelez-vous de l'art d'avoir toujours raison de Schopenhauer, ou comment mettre l'ironie au service de la bonne foi.
Ce qui me dégoûte un peu de Voltaire, ce n'est pas son ironie, mais ce qu'il en fait. Pour Jarry, vous lui faites également grave injustice, mais il a la malchance d'être connu pour ses farces lycéennes (qui ont même entaché le passionnant livre à thèse qu'est le Surmâle du soupçon totalement infondé de légèreté sans conséquence, et ont repoussé ses ouvrages plus durs à prendre à la légère comme Messaline dans l'oubli, ou au mieux les notes de bas de page). Cependant l'absence d'ironie n'étant pas non plus une flétrissure à mon sens, je sens la bave salvifique poindre au coin de mes lèvres finement ourlées.

- De toute manière, je vous reprends sur Schopenhauer, qui appartient, comme tout les philosophes, au rayon des comiques de ma bibliothèque. Il faut voir que Schopenhauer est quand même typiquement comique. Il élabore toute une philosophie sur le principe de raison suffisante (chez lui une négation à prétexte), pour tergiverser sur la subtile différence (qui appartient à la physique puisque venant de Kant) entre noumènes et phénomènes, plutot que, en bon pessimiste métaphysique, s'assurer de son scepticisme comme porte vers une philosophie vraiment mystique. On dirait qu'il échoue lui-même la structure de son chef d’œuvre tout en réussissant à en trouver toutes les justifications supérieures. Tragique personnage. Il pouvait se foutre de la gueule de Hegel...

C'est du niveau de ce triste Platon qui exécrait les artistes en élaborant une philosophie de la transcendance...

PS : oui pour la différence ironie humour. Mais c'est complexe tout ça, ça nous ramène à la poétique d'Aristote qui est imbuvable.

- Elle est surtout, et notoirement, incomplète, je vous le rappelle. Sur Schopenhauer, ce n'était pas un cri d'amour à son œuvre, mais à ce livre. Et je vous sais gré de remettre ce connard de Platon en place. Le coup de la théorie des trois lits, je n'ai pas lu bien mieux en matière de tautologie dissimulée. Et dire qu'il exerçait sa mauvaise foi à nous rendre invérifiable son affirmation lapidaire que ses adversaires (avant tout politiques, en dépit ce qu'il essaie de nous faire croire) sophistes étaient de mauvaise foi (ce qu'à y regarder de plus près on peut démonter sans peine, pour les quelques-uns sur lesquels on a plus de deux informations).

- De toute manière, les philosophes grecs vivaient comme les tyrans romains quelques années plus tard, en république, les mêmes je vous le dis, pas étonnant. On a eu César, puis Auguste, et après Caligula, du bon, très bon et de l'immonde, de l'autre coté on a eu Socrate, puis Platon, puis Aristote, donc du très bon, de l'immonde, puis du bon. La seule différence c'est que tout ceci mène également nulle part mais l'ordre pour arriver à ce nulle part ne se fait pas de la même manière. Pour moi le philosophe attendra toujours confortablement un dévot pour infirmer ou confirmer ses théories, il faut toujours qu'ils arrivent à baver au-dela de ce qu'ils sont, comme les tyrans... Alors que lire un pur esprit comme Hummel, La bruyère ou Deleuze est toujours passionnant et inconséquent, gloire à Schopenhauer aussi la du coup... Moins à Nietzsche...

Attention ceci est ma conviction, vous pouvez la découper et l'insérer dans un livre de votre choix à la fnac pour créer des vocations de pitre.

On trouve ceci chez La Bruyère :

Vous le croyez votre dupe, s'il feint de l'être, qui est plus dupe de lui ou de vous.

Je vous promets ce genre de conception ont germé dans mon esprit récemment et le Docteur Freud m'a confirmé que j'étais un parfait salaud pour mon prochain.

- Dupons la joie, donc. Pour ce qui est des tyrans romains, César étant à la mauvaise foi et à la mythomanie politiques ce que Platon était à la mauvaise foi philosophique; Auguste ayant été fasciné par ces boutons sur son torse qui à ses dires reproduisaient exactement la Constellation d'Orion; Caligula ayant fait la guerre à la mer et nommer son cheval sénateur avec un argument absolument imparable; Socrate étant condamné à rester le parfait inconnu de la philosophie grâce à son disciple le plus connu: ça donnerait chez moi - chez les tyrans romains, le tiercé gagnant sera donc dans l'ordre Petite salope autoflagorneuse, Premier compromis réussi entre un lémurien et une carte du ciel et Pitre en chef de l'Empire romain (c'est après tout le moins pire, pendant qu'il jouait avec ses sénateurs il foutait la paix aux autres); - chez les philosophes, Plus connu des inconnus, Plus talentueux des escrocs intellectuels talonné de près par... non en fait j'aime bien Aristote.

Très belle citation, au fait, je l'ai déjà vue quelque part d'ailleurs; il faut croire qu'il y a déjà l'indice d'un mode d’existence face au monde précis, dans le simple fait de relever chez la Bruyère un passage.

- Exact. La vous me faites bien marrer pour une fois que vous ne faites pas la même blague (sur cette encyclopédie cher malheureux, on trouve 4 articles qui font figurer parfaitement la même vanne, je ne sais pas qui est votre muse mais ça doit être un sacré chéper, comme le disent les jeunes qui dévient entre eux, mais passons...). - Par contre je ne suis pas d'accord pour Auguste, qui était le parfait portrait du psychopathe narcissique réussi comme empereur, mieux que Caligula qui cherche à prouver qu'il l'est mais bafouille. Ne riez pas sur les constellations, je possède la même qualité (grande ourse) sur mon bras gauche mais il manque 2 étoiles (oui bon ca va...). De toute façon je m'en fous, je vais me présenter à la présidence en recyclant les thèses de Sade et en les moralisant un peu d'ici 8 ans, tout ceci me parait très auguste.

Il est doux de voir ses amis par gout et par estime, il est pénible de les cultiver par interet ; c'est solliciter

Ibid.


Au fait vous parlez de quelle blague? C'est vraiment agaçant, je ne vous prends jamais en délit de précision, quand vous passez aux reproches.

Mais passons:

D'une encyclopédie humoristique

Comment voulez-vous que les gens ne soient pas parfaitement abrutis avec de telles choses:

En cherchant une traduction en arabe, je suis tombé, par un hasard de mauvais clic dont ce salopard anarchiste de Dieu a le secret, sur la page "Démocratie" de l'encyclopédie (comme ils disent) Larousse en ligne. Ça donne ça:

Mais cette forme de démocratie reste limitée : femmes, esclaves et métèques (étrangers résidant à Athènes) ne sont pas considérés comme citoyens et l'élection, principe de base de la démocratie, n'y occupe qu'une place secondaire – on préfère avoir recours au tirage au sort pour désigner les magistrats. Les gouvernés, siégeant régulièrement en Assemblée générale du peuple (ecclésia), n'en participent pas moins, et de façon directe, aux décisions.

Sans blague: ces cons préféraient le tirage au sort alors que tout le monde sait que la démocratie, c'est l'élection des chefs. Ça me rappelle ce livre sur "l'histoire de fRance au moyen-âge" où le sinistre faisant qui avait sacrifié tant d'arbres pour les éructations maladives de son cerveau anémié reprochait aux rois mérovingiens (ces couillons) de ne pas avoir eu de conception moderne de l’État. Et il est vrai que cet ignare d'Alexandre n'entravait mais à la théorie clausewitzienne de la guerre.

Notez qu'au croix-vé-bâtonbâtonbâtonième siècle, la question du tirage au sort fut discutée, puis catégoriquement rejetée, étant de nature trop démocratique. Mais le Larousse le sait, contrairement à ces arriérés de grecs, ou à cet ignare de Moses Finley, la démocratie, c'est les élections, point.

- Oui. Mais bon je vais créer un aphorisme pour cloturer vos pensées :

Porter au choix du peuple des sagouins après macération compulsive quinquennal
de résidus de slogans et de stéréotypes à la sauce marketing;
c'est rendre au peuple son statut de boule numérotée pour un tirage au sort parfaitement pipé.

Je suis bon avouez le, mais j'ai dépasse le cadre de l'aphorisme en termes de caractères.

- Bon, oui, certes. Je vous l'ai déjà dit, j'aime bien ce que vous faites, ne m'obligez pas à le redire toutes les dix lignes (voir ci-après). Pas si bon toutefois, puisque vous attisez plus que vous n'éteignez. Mais ne vous en faites pas, je vais me faire une clope et me calmer tout seul en pensant à un rédacteur du Larousse écartelé par les pouces (que le knout est une belle invention quand il s'agit de rétribuer les plumitifs malfaisants).

Mais au fait, je suis sérieux, mon gâtisme me poussant à la répétition, si vous me prenez en faute, dites-moi où au lieu de vous contenter de généralités, comme ça, comme en passant (je vous l'ai déjà dit, mais là la répétition ne doit rien à la précocité de mon délabrement, j'abhorre le style allusif au chapitre des reproches). J'ai reçu une éducation sans failles où l'on m'a appris à reconnaitre mes torts, et à les corriger, ce qui est excessivement facile à faire sur un wiki quand on sait où chercher.
Ou bien allez vous simplement, et encore, à la pèche à ma mauvaise humeur, avec vos insinuations quant à mes radotages?


- http://www.youtube.com/watch?v=KPAj083zAhc

http://www.youtube.com/watch?v=NYOEv6wVMR0

http://www.youtube.com/watch?v=E5ZXOqoKVbI

- Encore une allusion, ou c'est fortuit, M. Antoine?

- Mon reproche est simple. Sortez moi (j'en suis bien incapable) la page statistiques comparatives mediawiki des mots foutre, anus, bite. Je pense, que, comme les sots en démocratie, ils sont sur-représentés. A moins que vous ne fassiez de la transposition, mais ca mériterait au moins un article pour éclaircir les plus curieux qui tomberaient dessus...

PS : d'accord pour Larousse, je n'ai jamais acheté de mon gré une seule chose de cette maison d'édition. Ce sont des stagiaires qui écrivent, ils sont payés 400€ brut par mois.

PS2 : la deuxième vidéo du mainate est insupportablement suggestive. Le triste mainate, en pleine apocalypse, il en appele à Alexandre...

Dieu existe je n'en doute plus, même les mainates trippent sur la fin du monde. Et la marseillaise... et le bébé à mamie... Allo... Allo... Les oiseaux ont ils de l'humour ou font-ils de l'ironie? On est arrosé cybernétiquement c'est certain, faut pas se plaindre...

Ce mainate c'est l'inconscient de Vicor Hugo l'immortel.

- Pas sûr que ça pousse, ceci dit. Par contre, votre reproche va être plus compliqué qu'il n'y parait, puisqu'il semble s'adresser à quelqu'un d'autre. Je n'ai pas ici fait de jeu de mots incluant ces trois mots, non plus que des plaisanteries. Je ne sais à qui vous pensez, mais trouvez-le pour lui faire ces reproches, je ne suis pas un réceptacle à réclamations envers la pauvreté du monde.

Ma seule page qui pourrait correspondre vaguement, puisqu'il y est question de bites, est la page sur la théorie de la partouze infinie (qui n'existe pas en quatre exemplaires), qui tient de l'application mathématique (rigoureuse) à un thème parfaitement trivial. En dehors de ça... j'utilise certes les mots susnommés de loin en loin, mais avec une régularité qui n'est pas sans rappeler la vôtre (je cite, quant à moi: "si tu lick mon anus").

PS. Votre reproche est, une fois de plus, à géométrie variable. Il était initialement question d'un gag en 4 exemplaire. Maintenant il est question d'un vocabulaire ordurier.

- Que nenni, je dis simplement que faire la même blague ou terminer par le même genre de conception graveleuse est le fruit d'une volonté qui s'essoufle imaginairement. Mais je vous sait gré de ne pas avoir torché les grandes vérités comme Rabelais et Jarry pour en produire leur saletés. Vous conservez un certain teint admiratif pour le sublime qui n'est pas a négliger à notre époque ou la puissance de l'humanité se mesure en kilowatt-heure (?).

- C'est très aimable de tenter d'équilibrer votre reproche avec un compliment; mais là encore, vous allusionez et éludez, et - sans doute l'avez-vous déjà remarqué, ça peut arriver vite en telles circonstances - ma patience s'épuise. Par conséquent je vous somme (puisqu'on doit en arriver là) d'apporter un argument à l'allusion. Où m'avez-vous pris en flagrant délit de quatre fois "faire la même blague ou terminer par le même genre de conception graveleuse"?

D'autre part, et là encore je me répète mais vous ne m'avez pas compris, vous faites injustice à Jarry et Rabelais en les rabaissant au niveau de la grosse poilade graveleuse. Tout ceci est bien plus riche que vous affectez de le penser. Vous vous focalisez sur un point de détail pour les juger: le genre. Que vous ne goûtiez pas l'inconvenance relève de la complexion de votre goût, et en tant que tel est en-deçà de toute discussion, et parfaitement inattaquable. Cependant produire un jugement de valeur demande plus que de simplement essentialiser ses goûts - et il y a plus de sérieux (et de sublime) dans un poème de Pierre Louÿs sur la sodomie qu'il n'y en a dans toute la légende des siècles de Victor Hugo - à la langue si confite dans la bourgeoisie qu'une reprise du moustachu à guitare semble avoir été composée pour l'occasion; comme il y avait plus de talent, indifféremment aux thèmes à la légèreté affectée, chez les maîtres de la peinture rococo, qu'il n'y en eut jamais chez les peinturlureurs du sublime-au-kilo façon Vien ou David.

PS Pour ce qui est de vos reproches, c'est d'autant plus agaçant que, je vous l'ai dit, je suis tout prêt à vous croire, si vous ne me demandez pas simplement que ce soit sur parole.

- Cessez de me prendre de haut en feignant de me donner une leçon. Un jugement de gout peut emporter avec lui tout une critique de l'esthétique et de la construction d'une oeuvre qui chez moi prime sur un jugement de "valeur" ou de critique-analyse si vous le voulez.

C'est en pensant comme vous que l'on finit par admirer de parfaits sots en pensant être intelligent et que l'on arrive jamais à aligner 3 vers qui se tiennent. Le rapport à la lecture et au jugement de l'art passe pour moi par la passion, l'analyse n'en est que l'effet.

Remarquez que je prends la même posture que vous pour vous la reprochez dans cotre future et hypothétique réponse.

PS : j'ai un autre reproche, débarrassez-vous de votre suffisance, je n'aime point ces faux esprits qui se galvanisent sur leur sempiternel "moi-j'en-ai-vu"...

L'érudition rigoureuse mène à la sottise

C'est quantitatif...

- C'est assez, je vous laisse là, nous avons tous les deux autre chose à faire que ce genre de chicaneries absurdes.

- Mais précisément, répondez-moi, que voulez vous des choses?

Autres choses

- Aussi très cher Toinou, je remarque que vous ne faites pas le moindre effort pour supprimer les éléments vraiment illégitimes, ceux dont la bêtise est si vive qu'elle nous force à l'indulgence pour pouvoir les lire, aimez vous que ça fasse sale ? --Trimard-tête-de-pelle 15 novembre 2013 à 23:15 (CET)

- Très cher trimard, il est malaisé dans ma disposition de juger de quelque sorte qu'il soit du désagrément que vous pensez que je vous ai fait. Sachez bien que je ne comprends guère l'articulation et la finalité de votre demande. --Toinou 16 novembre 2013 à 09:18 (CET)

- Oh, mince, ça tourne au tragique... Non, non pas de désagrément, je vous en prie. Rien là (dans ma précédente remarque) qui soit ironique (j'essaye d'éviter l'ironie dans les pages discussion), ni rien qui soit la marque d'une vexation (j'essaye d'éviter la vexation sur le internet).
Simplement : il est aisé de considérer la ardkorpedia comme un vrai déversoir à chiasse (ce que je fais un peu je vous l'avoue), ainsi je me demandais quelle était votre position quant à la perspective de produire le tri parfaitement autoritaire et arbitraire, que vous me semblez tout à fait capable de faire, à chaque fois qu'apparaissent de nouvelles contibution.
Violet fait très bien le good-cop, je me demande si vous ne prenez pas votre propre cop à la légère (j'imagine que vous avez tout simplement d'autres chats à fouéter).
Je vous prie de croire à ma sincérité. Ah ! et au passage : auriez vous une feuille à rouler ? --Trimard-tête-de-pelle 16 novembre 2013 à 11:07 (CET)

J'apprécie c'est fameux la précise satire
Celle qui se tord heureuse sous des sables, partir
Désert insaisissable mordant toute mon âme
Plouf ! C'est à côté, moitié tragédie femme
Suivez-moi je vous prie, je suis un bel esprit
Qui sans cesse se refuse, jamais LSD pris
Et Boileau dans son thé à confondu le crible
De sa boule enflammée à sa divine cible
J'aurais bien, j'aurais bien j'aurais bien voulu oui
Vous entendre chanter tel un chat de l'oubli
Mais vous êtes taré et finement perverti
Cessez belle âme pure de jouer à touchis

Maiiiiiiiison....Maiiiiiiiiiiiison

PS : 1.je ne suis pas ENCORE gracié administrateur de ce site waib formidable, ainsi je ne peux réguler. 2.Oui.

--Toinou 16 novembre 2013 à 12:50 (CET)

- Auriez vous la diligence de me répondre, j'apprécie fortement votre discussion. --Toinou 17 novembre 2013 à 15:55 (CET)

- Cher ami, je serais très motivé à l'idée de me lancer dans l'article Création du monde, uniquement à la condition qu'il apparaisse sur la page d'accueil une fois rédigé, que la vérité terrifique finisse enfin de balayer les résidus de la société que nous sommes tous, en l'attente d'une réponse dans le mouvement généralisé du nihilisme auquel je souscris à défaut d'idéologie, je me vois dans l'attrait de vous manifester mon intérêt pour l'avancement de toute vérité universelle,

Cordialement,

Antoine Hummel, ou :

--Toinou 30 avril 2014 à 16:19 (CEST)

- Il est effrayant que si les articles concernant la Fin du Monde sont légions sur la présente encyclopédie, aucun article à ce jour ne soit consacré à ses débuts - sans doute faut-il y voir une fois de plus le résultat déplorable du nihilisme ambiant qui pousse tant de nos contemporains à se vautrer dans la contemplation de la catastrophe. Faire un tel article relèverait à ce titre de la nécessité, ne serait-ce qu'à titre hygiénique. Faites-donc, il ne sera pas bien difficile de lui trouver une place à l'accueil. --Le Violet 30 avril 2014 à 19:12 (CEST)

- Je m'y attelle. --Toinou 30 avril 2014 à 19:22 (CEST)