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La prise de conscience est fréquente chez les [[jeune]]s, et aussi chez les moins jeunes, à certains stades clés ([[crise de la quarantaine]]). | La '''prise de conscience''' est fréquente chez les [[jeune]]s, et aussi chez les moins jeunes, à certains stades clés ([[crise de la quarantaine]]). | ||
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La conscience se présente sous diverses formes (généralement poudre blanche ou pilule). Une fois prisée, la conscience monte rapidement au [[cerveau]] et alors le consommateur se retrouve avec d'étranges [[idée]]s qui sont souvent en [[réel]] [[paradoxe]] avec son existence : devenir [[végétarien]], supporter le [[commerce équitable]], manger [[bio]] ou encore voter [[écologie|écolo]] . Quand la conscience est vraiment bonne, cela peut durer longtemps. | |||
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''La conscience à priser est très recherchée chez les [[bolos]] pour ses effets euphorisants. | |||
== Risques et effets secondaires == | |||
Dans les cas les plus chroniques de prise de conscience, le consommateur devient un [[hippie]]. L'[[tuer|euthanasie non consentie]] est alors le seul traitement connu, quoiqu'on puisse, dans un but d'[[économie]], user de moyens indirects (''voir ci-dessous''). | |||
== Remèdes == | == Remèdes == | ||
Quand le trip est vraiment trop long, on envisage une ablation des vivres. Au stade du [[hippie|hippisme]], il est généralement trop tard, mais si les moyens peuvent être déployés, il est toujours possible de construire un HLM pour accueillir des [[immigré]]s en plein sur leur ferme du Larzac. | |||
=== La méthode Stanley Kubrik === | |||
Il s'agit de contraindre le toxicomane à [[tuer|assassiner]] un [[être]] cher (sa mère, sa sœur, sa [[femme]]), ou, faute de mieux, un parfait innocent. Suite à cela, la conscience prend un mauvais goût et le malade finit par s'abstenir. | |||
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Version actuelle datée du 8 avril 2020 à 20:59
La prise de conscience est fréquente chez les jeunes, et aussi chez les moins jeunes, à certains stades clés (crise de la quarantaine).
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Conscientologie
La conscience se présente sous diverses formes (généralement poudre blanche ou pilule). Une fois prisée, la conscience monte rapidement au cerveau et alors le consommateur se retrouve avec d'étranges idées qui sont souvent en réel paradoxe avec son existence : devenir végétarien, supporter le commerce équitable, manger bio ou encore voter écolo . Quand la conscience est vraiment bonne, cela peut durer longtemps.
La conscience à priser est très recherchée chez les bolos pour ses effets euphorisants.
Risques et effets secondaires
Dans les cas les plus chroniques de prise de conscience, le consommateur devient un hippie. L'euthanasie non consentie est alors le seul traitement connu, quoiqu'on puisse, dans un but d'économie, user de moyens indirects (voir ci-dessous).
Remèdes
Quand le trip est vraiment trop long, on envisage une ablation des vivres. Au stade du hippisme, il est généralement trop tard, mais si les moyens peuvent être déployés, il est toujours possible de construire un HLM pour accueillir des immigrés en plein sur leur ferme du Larzac.
La méthode Stanley Kubrik
Il s'agit de contraindre le toxicomane à assassiner un être cher (sa mère, sa sœur, sa femme), ou, faute de mieux, un parfait innocent. Suite à cela, la conscience prend un mauvais goût et le malade finit par s'abstenir.