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Mach 2 du scepticisme. Il suit le [[Simpeul Bof]] ("bof") et pr�c�de le [[Toteul Bof]] ("mouais..."). Le scepticisme a �t� th�oris� dans les 80's par [[Alexis de Tocqtown]], stylisticien des temps modernes, et sa charmante assistante [[Martine]].  
Mach 2 du scepticisme. Il suit le [[Simpeul Bof]] ("bof") et précède le [[Toteul Bof]] ("mouais..."). Le scepticisme a été théorisé dans les 80's par [[Alexis de Tocqtown]], stylisticien des temps modernes, et sa charmante assistante [[Martine]].  


== HISTOIRE ==
== HISTOIRE ==


Le Deueul Bof ("bof bof") est n� de la commutation du terme "bof" (du latin "scepticius" = "[[du nutella sur les seins de Martine Aubry]]" en emploi pr�dicatif pr�positionnel) et de "bof", son covalent d'origine balkano-helv�te ("bov" = "[[le doute est un divin cadeau]]").  
Le Deueul Bof ("bof bof") est de la commutation du terme "bof" (du latin "scepticius" = "[[du nutella sur les seins de Martine Aubry]]" en emploi prédicatif prépositionnel) et de "bof", son covalent d'origine balkano-helvète ("bov" = "[[le doute est un divin cadeau]]").  


La premi�re occurrence du deubeul bof est indatable. On recense un premier emploi litt�raire dans "L'arriv�e du train en la gare des Michards" (roman exp�rimental sur l'[[esp�rience mentale]]).
La première occurrence du deubeul bof est indatable. On recense un premier emploi littéraire dans "L'arrivée du train en la gare des Michards" (roman expérimental sur l'[[espérience mentale]]).




== GRAMMAIRE ==
== GRAMMAIRE ==


L'origine pr�dicative du covalent balkano-helv�te du "bof" latin donne la forme contemporaine du deubeul bof un comportement grammatical plurifonctionnel, la d�r�alisation du sujet �tant, selon l'approche [[Break-Kor]]ienne, fonction du r�gime du pr�sentatif ("voil�", "voici", "venu", "le temps", "des rires et des chants"). Ainsi "bof bof", syntaxiquement faible hors contexte, s'av�re �tre en situation un redoutable �missaire du "doute", auquel on peut adjoindre cette phrase de [[Braque]] pour initier ses incultes interlocuteurs la formule po�tique : "Les preuves fatiguent la v�rit�". Soit, finalement :
L'origine prédicative du covalent balkano-helvète du "bof" latin donne à la forme contemporaine du deubeul bof un comportement grammatical plurifonctionnel, la déréalisation du sujet étant, selon l'approche [[Break-Kor]]ienne, fonction du régime du présentatif ("voilà", "voici", "venu", "le temps", "des rires et des chants"). Ainsi "bof bof", syntaxiquement faible hors contexte, s'avère être en situation un redoutable émissaire du "doute", auquel on peut adjoindre cette phrase de [[Braque]] pour initier ses incultes interlocuteurs à la formule poétique : "Les preuves fatiguent la vérité". Soit, finalement :


" - Mon p�re est mort. La preuve, il ne respire plus.
" - Mon père est mort. La preuve, il ne respire plus.


- Bof bof, tu sais, comme disais [[Braque]], les preuves fatiguent la v�rit�"
- Bof bof, tu sais, comme disais [[Braque]], les preuves fatiguent la vérité"




== GEOSTRATEGIE DU DEUBEUL BOF ==  
== GEOSTRATEGIE DU DEUBEUL BOF ==  


On n'emploiera le deubeul bof qu'en France ou dans les pays dont la langue est aussi ridicule que la n�tre (le quebecon, le fuife, le croment). Le deubeul bof provoquera partout ailleurs l'hilarit�, sauf chez les [[japonais]] qui ne peuvent vraisemblablement pas [[rire]].
On n'emploiera le deubeul bof qu'en France ou dans les pays dont la langue est aussi ridicule que la nôtre (le quebecon, le fuife, le croment). Le deubeul bof provoquera partout ailleurs l'hilarité, sauf chez les [[japonais]] qui ne peuvent vraisemblablement pas [[rire]].


[[Category:Philosophie]] [[Category:Concept! concept!]]
[[Category:Philosophie]] [[Category:Concept! concept!]]

Version du 26 mars 2007 à 14:28

Mach 2 du scepticisme. Il suit le Simpeul Bof ("bof") et précède le Toteul Bof ("mouais..."). Le scepticisme a été théorisé dans les 80's par Alexis de Tocqtown, stylisticien des temps modernes, et sa charmante assistante Martine.

HISTOIRE

Le Deueul Bof ("bof bof") est né de la commutation du terme "bof" (du latin "scepticius" = "du nutella sur les seins de Martine Aubry" en emploi prédicatif prépositionnel) et de "bof", son covalent d'origine balkano-helvète ("bov" = "le doute est un divin cadeau").

La première occurrence du deubeul bof est indatable. On recense un premier emploi littéraire dans "L'arrivée du train en la gare des Michards" (roman expérimental sur l'espérience mentale).


GRAMMAIRE

L'origine prédicative du covalent balkano-helvète du "bof" latin donne à la forme contemporaine du deubeul bof un comportement grammatical plurifonctionnel, la déréalisation du sujet étant, selon l'approche Break-Korienne, fonction du régime du présentatif ("voilà", "voici", "venu", "le temps", "des rires et des chants"). Ainsi "bof bof", syntaxiquement faible hors contexte, s'avère être en situation un redoutable émissaire du "doute", auquel on peut adjoindre cette phrase de Braque pour initier ses incultes interlocuteurs à la formule poétique : "Les preuves fatiguent la vérité". Soit, finalement :

" - Mon père est mort. La preuve, il ne respire plus.

- Bof bof, tu sais, comme disais Braque, les preuves fatiguent la vérité"


GEOSTRATEGIE DU DEUBEUL BOF

On n'emploiera le deubeul bof qu'en France ou dans les pays dont la langue est aussi ridicule que la nôtre (le quebecon, le fuife, le croment). Le deubeul bof provoquera partout ailleurs l'hilarité, sauf chez les japonais qui ne peuvent vraisemblablement pas rire.