Peindre la Loire à l'aquarelle
Pratique d'autogestion, peindre la Loire à l'aquarelle nous montre que les chemins de la réappropriation sont souvent sinueux... Incapables de dompter les eaux ligériennes, peu fiers de n'en point connaître la source[1], les natifs de la région Pays de la Loire trouvèrent dans l'art figuratif un moyen valable, bien que laborieux pour se sentir maître de leur fleuve.
Suite à un apprentissage méthodique, les petites palettes chatoyantes, offertes dans chaque mairie de la région, peuvent donner vie à un fleuve intérieur, dont qui en est l'acteur en devient source, savant, amant, créateur, seul maître de la réalité processuelle de ces eaux au calme trompeur. Et suffit-il de regarder pour que vienne un vertige auquel chaque subjectivité apportera un solutionnement universel.
Le succès de cette pratique aura réduit, dans toute la région Pays de la Loire, l'influence néfaste aussi bien de la psychanalyse en salle, que de Michel Sardou, de Hegel et de la branlette.
Les charmes de la contemplation représentés : un paradoxe intellectuel
Ce que les biologistes nous en disent
Un caractère spécifiquement umain
C'est avec le concours de la course folle en laquelle consiste l'invention de produits manufacturés, qu'a été mise à bas, en autres objets enfantés par devers les fossés d'une route parsemée d'embûches (qui sont autant de défis), cette pratique aujourd'hui unanimement reconnue comme un caractère spécifiquement umain : l'aquarelle ligérienne.
Une posologie singulière
Tu n'utilisera pas de métaphysique liquide ou de colle-tiqqun en guise de diluant pour l'aquarelle. Elles produiraient une réaction chimique dégoutante en entrant en contact avec la métaphysique dure, présente dans la matière même de l'aquarelle, rendant les petits blocs de peinture chatoyante "tout collant" et particulièrement poisseux.
Notes
- ↑ L'urètre turgescente du DocteurWiki