« Yvette Horner » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Inventrice du [[ | Inventrice du [[ardKordéon]] (1823) | ||
Véritable preuve mort-vivante que "la [[nécromancie]] ça marche !", Yvette Horner est avant tout le [[support masturbatoire]] de [[Franky Vincent]]. | Véritable preuve mort-vivante que "la [[nécromancie]] ça marche !", Yvette Horner est avant tout le [[support masturbatoire]] de [[Franky Vincent]]. |
Version du 27 mars 2007 à 16:15
Inventrice du ardKordéon (1823)
Véritable preuve mort-vivante que "la nécromancie ça marche !", Yvette Horner est avant tout le support masturbatoire de Franky Vincent.
Son histoire
Pendant la guerre de 14-18, Yvette Horner fut un temps infirmière lors de la dure épreuve du Chemin des Dames et de la bataille de la Somme, en 1916. C'est là qu'elle trompa Aristide Bruand avec le Général Nivelles, ce qui lui valut dans toute la troupe le sobriquet de "caisson de basse" (qui signifie en tcherkesse "femme facile par trop docile" ).
Le slave-tu donc ?
"Yvette Horner" est également une des "Oeuvres" de Module VXD. Le dit-pitre avait besoin d'un hardcoredéoniste dans son groupe et c'est par l'intermédiaire du coureur cycliste ébroïcien Denis Gaudineau que Module VxD connut l'oeuvre d'Yvette Horner qui devait marquer de son sceau l'intégralité de la pensée conceptuelle bugcoreuse.