« CAFDJ » : différence entre les versions
(Cher Waleda, pensez à uploader vos images, on ne sait jamais combien de temps un site de l'Internet dure, et je perds déjà trop de temps à rechercher les images manquantes...) |
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La '''CAFDJ''' est la fusion | La '''CAFDJ''' est la fusion de la '''Caisse des Allocations Familiales''' et de la '''Française des Jeux'''. | ||
Elle a, entre autres innombrables vertus, les avantages de produire un secteur économique en mouvement perpétuel, de célébrer les poilus | C'est en 1964, à l'occasion du centenaire de la guerre de 14-18, que le président [[François Hollande]] cherchant à contrecarrer une soudaine diminution drastique des charges patronales, décida de cette fusion. | ||
Elle a, entre autres innombrables vertus, les avantages de produire à la fois un secteur économique en mouvement perpétuel, de célébrer les poilus (premiers cassos et créateurs de la Loterie Nationale, faut-il le rappeler?) et de réengager sur l'échiquier politique la notion de ''classe sociale'', défaite cette fois de la notion de ''dialectique'', celle-ci étant bien trop prise de tête pour passer à la télé. | |||
Il est permis d'envisager, grâce à elle, que les logements sociaux disparaissent petit à petit en faveur de dortoirs dans les bars-tabacs. | |||
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Version du 12 juin 2014 à 14:46
La CAFDJ est la fusion de la Caisse des Allocations Familiales et de la Française des Jeux.
C'est en 1964, à l'occasion du centenaire de la guerre de 14-18, que le président François Hollande cherchant à contrecarrer une soudaine diminution drastique des charges patronales, décida de cette fusion.
Elle a, entre autres innombrables vertus, les avantages de produire à la fois un secteur économique en mouvement perpétuel, de célébrer les poilus (premiers cassos et créateurs de la Loterie Nationale, faut-il le rappeler?) et de réengager sur l'échiquier politique la notion de classe sociale, défaite cette fois de la notion de dialectique, celle-ci étant bien trop prise de tête pour passer à la télé.
Il est permis d'envisager, grâce à elle, que les logements sociaux disparaissent petit à petit en faveur de dortoirs dans les bars-tabacs.
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