« Bolos » : différence entre les versions

Membre de seconde zone du mouvement Pitre, le bolos est toujours beau, blanc, apprêté, propre sur lui. Le bolos possède un compte bancaire en Suisse, il écoute Balavoine, Johnny Halliday et les sets de Justice le jeudi soir au Pulp. La soeur du bolos porte des jupes et adore parler de sexe à table en famille, le soir.

Bio-sociologie

Le bolos a tendance à perdre ses affaires lorsqu'il rentre le soir chez lui. Le bolos n'a rien contre les noirs et les arabes, mais pense à juste titre que sa présence de petit blondinet pourrait les incommoder, si bien qu'il préfère les éviter ou changer de trottoir quand il en croise.

La femelle du bolos s'appelle un fourreau.

Des racaillous déplumant un jeune bolos

Malaise social et confusion des espèces

Le bolos est souvent l'objet de confusions avec le pigeon (peut-être à cause de sa grise mine), en conséquence de quoi les racaillous s'amusent à le déplumer ou à le shooter au gun à billes. La chair du bolos est tendre mais le bolos est hlam, à l'instar du cochon : il ne faut pas le manger.

La racaille, masquée et généralement colorée, surgit des petites rues, prête à bolosser grave sa mère.

Terrorisme du coeur

Le tsaholos est une faction intégriste de bolosseurs, qui possède des liens fraternel avec les houmous. Ils s'attaquent surtout aux poubelles de Paris, sur lesquelles ils bombent leur blaze à la peinture noire.