Cercle de la Pop

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Célèbre émission radiophonique, diffusée tous les soirs en direct du bar-tabac de la rue des Martyrs depuis 1964, le Cercle de la Pop a finalement été interdit en 2005 pour avoir pendant des années incités ses auditeurs au suicide par des messages subliminaux, des symboles auditifs et surtout le ton de son présentateur vedette, Jaime Roundtable.

Générique

L'émission commençait invariablement par le générique chanté suivant:

En revenant du boulot, La radio est allumée,Y'a de quoi se faire péter le ciboulot,En écoutant Jaime. 

Les vagues successives de suicide agitent la France

Il est impossible de quantifier le nombre de suicide qu'aura provoqué le Cercle de la Pop. Néanmoins, une série de faits incontestables démontre assurément son effet néfaste sur le moral des gens.

Ainsi, dès la première semaine de diffusion de l'émission, vingt-cinq académiciens se jettent du toît du Panthéon en sifflant l'Hymne à la joie. Aucun lien n'est établi entre ces deux faits. Quelques années plus tard, Pompidou met fin à ses jours dans un cinéma porno après avoir écouté le Cercle de la Pop avec sa femme. On parle d'un accident.

Durant les années 70, les suicides collectifs se multiplient, tandis que l'émission gagne en audience et diffuse de plus en plus de musique. Une troupe entière de scout s'immole avec leurs cheftaines alors que Jaime Roundtable vante une pièce de théatre et complimente ses comédiens. Rien que dans le courant de l'année 1971, c'est cent-vingt trois techniciens de surface qu'ont retrouvera pendu au cordon électrique de leur shampouineuse. Dans les pensionnats de jeunes filles, on s'étouffe par dizaines avec les posters de Jaime Roundtable. Hélas, la diffusion simultanée aux suicides du Cercle de la Pop ne sera jamais mis en avant par les autorités.

En 1978, Cloclo Strauss manque de s'électrocuter en jetant violemment son poste de radio dans la baignoire tandis que Jaime Roundtable matraque sa revue de presse. « Je ne sais pas ce qui m'a pris, quelque chose m'y a poussé » expliquera-t-il par la suite. Le 21 jouillet 1984, l'émission reçoit un ancien membre du groupe Svinkels. Un incident technique évite heureusement la diffusion de leur titre. Des milliers d'auditeurs échappent ainsi à une mort certaine.

Protestations chaotiques à babord

Dès 2003, quelques artistes visionnaires perçoivent le danger réel que présente cette émission. JeRe toussote en insultant son pot de fleurs. Nathalie Quintane fait une conférence. Antoine Hummel découpe des formes dans du papier kraft et les collent sur la porte du frigidaire de la cuisine.

On s'insurge avec véhémence à tribord

Il faudra attendre 2004 pour qu'une star de la musique proteste publiquement contre l'émission, preuves à l'appui. Ce sera Georges-Alain, qui devant un parterre de media développera des arguments imparables.

Un vent de polémique souffle sur la plaine aride

Une enquête judiciaire est finalement ouverte en mars 2005. On perquisitionne le bar-tabac de la rue des Martyrs. On y découvre une sorte de bûcher dans la cave à vins, et l'analyse des cendres fait apparaître des traces d'ossements de petits animaux et de vinyle probablement d'origine allemande. On démonte les micros et des cristaux phosphorescents apparaissent. Malgré les soupçons, l'émission continue.

Une tempête dans un verre d'eau plate

En join 2005, quelques jours avant l'arrêt de l'émission, Jacques Martin explose en plein milieu du théatre de l'Empire, quelques minutes après avoir quitté le studio de Jaime Roundtable. S'en est trop. Le bar est fermé, l'émission supprimée de l'antenne, et les techniciens lavés de tout soupçon sont rembauchés par la Star Academy.