« Général de Gnôle » : différence entre les versions
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Né '''[[Charles "j'ai tombé charter c'est la faute à kader" Pasqua|Charles Pasqua de Gnôle]]''', un beau matin de vendémiaire [[1964|1875]], il '''épouse''' en [[1901]] la '''duchesse [[Générale des Eaux]]'''. Plutôt que de lui donner son nom, il décide au contraire de prendre le prénom de sa [[femme]] "''[[histoire]] de changer un peu''", selon ses propres termes. Il est alors appelé '''Général Pasqua de Gnôle'''. | |||
== Le pouvoir de la cuisse == | |||
En [[1955]], lors de la Fête de la Volaille à [[Seille]], Le Général, bourré comme un [[ragondin]], saisit une cuisse de poulet panée et court dans l'assistance en hurlant des chansons paillardes. Alors qu'il s'agrippe à la Croix de Lorraine et entame ''lève la cuisse voilà que ça glisse'', le [[Biopouvoir du Crâne Ancestral]] jaillit des nuées et frappe d'un coup le Général, la Croix, et la cuisse (celle du poulet), qui sortirent tous trois de l'épreuve grandis, mais surtout délicatement grillés<ref>Avec un léger arrière-goût de gouda fondu</ref>. La recette qui allait faire fleurir des centaines de [[KFC]] était née, et la renommée de Charles arrivait à à son apogée. | |||
== Soudain, c'est le gendrame == | |||
En [[1958]], [[Alliance Etnik Ta Mere]] lance le [[tube]] de l'été, un brûlot engagé, ''Yo yo ! il s'passe quoi ?'', au son duquel tout le camping de [[Palavas-lès-Astéroïdes]] se trémousse en sacrifiant des militaires autour d'un grand feu de bois. Le petit Général en reste cramoisi de honte durant trois semaines d'angoisse et de tétanie au cours desquelles, terré sous un bigorneau, il va jusqu'à frôler [[la Mort]] du bout du képi en aspirant du sable par le [[nez]]. Traumatisé, il décidera par la suite de cacher à tous son nom de famille intégral. Comme l'a si bien dit [[Pierre Bellemare]], "''c'était terrible ! terrible ! terrible !''"<ref>Pierre Bellemare, ''C'était terrible ! terrible ! terrible !'', éditions Terrible, 1964.</ref>. | |||
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En [[1960]], celui qui se fait désormais appeler Général de Gnôle se sent déçu et trahi par la noblesse (c'est très surfait finalement) : il devient subitement chanteur yéyé et [[Sauver le Monde du chaos|sauve le monde]] en [[1968]] lors de sa tournée exceptionnelle "''pour mettre une fin définitive à la [[guerre]], toute la [[guerre]].''" Sa série de concerts sur l'ensemble du globe mit effectivement fin à tous les conflits simultanément. On se souvient encore de ce grand événement sous le nom de ''Tournée Général de Gnôle''. Le 24 putembre [[1979]], Sid Vicious dévore son foie dans le but de se taper le flash de sa vie. C'est effectivement ce qui se produisit par la [[force des choses]] : les deux décédèrent le [[26]] dans d'atroces souffrances, Charles d'[[hémorragie du corps]] et Sid d'une overdose de sauce madère. Le 27, les conflits reprirent leur cours sur toute la planète, et ce pendant quelques années, jusqu'à en arriver au [[bordel]] actuel. Voilà voilà. | |||
Après sa [[mort]] on redécouvrit dans ses archives un émouvant témoignage de sa modestie ''[[Général, nous voilà]]'', une chanson masturbatoire inédite. Elle aurait, [[dit-on mais c'est pas sûr]], inspiré le Général Pétain. | |||
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Version actuelle datée du 20 juin 2014 à 01:04
Né Charles Pasqua de Gnôle, un beau matin de vendémiaire 1875, il épouse en 1901 la duchesse Générale des Eaux. Plutôt que de lui donner son nom, il décide au contraire de prendre le prénom de sa femme "histoire de changer un peu", selon ses propres termes. Il est alors appelé Général Pasqua de Gnôle.
Le pouvoir de la cuisse
En 1955, lors de la Fête de la Volaille à Seille, Le Général, bourré comme un ragondin, saisit une cuisse de poulet panée et court dans l'assistance en hurlant des chansons paillardes. Alors qu'il s'agrippe à la Croix de Lorraine et entame lève la cuisse voilà que ça glisse, le Biopouvoir du Crâne Ancestral jaillit des nuées et frappe d'un coup le Général, la Croix, et la cuisse (celle du poulet), qui sortirent tous trois de l'épreuve grandis, mais surtout délicatement grillés[1]. La recette qui allait faire fleurir des centaines de KFC était née, et la renommée de Charles arrivait à à son apogée.
Soudain, c'est le gendrame
En 1958, Alliance Etnik Ta Mere lance le tube de l'été, un brûlot engagé, Yo yo ! il s'passe quoi ?, au son duquel tout le camping de Palavas-lès-Astéroïdes se trémousse en sacrifiant des militaires autour d'un grand feu de bois. Le petit Général en reste cramoisi de honte durant trois semaines d'angoisse et de tétanie au cours desquelles, terré sous un bigorneau, il va jusqu'à frôler la Mort du bout du képi en aspirant du sable par le nez. Traumatisé, il décidera par la suite de cacher à tous son nom de famille intégral. Comme l'a si bien dit Pierre Bellemare, "c'était terrible ! terrible ! terrible !"[2].
La chute
En 1960, celui qui se fait désormais appeler Général de Gnôle se sent déçu et trahi par la noblesse (c'est très surfait finalement) : il devient subitement chanteur yéyé et sauve le monde en 1968 lors de sa tournée exceptionnelle "pour mettre une fin définitive à la guerre, toute la guerre." Sa série de concerts sur l'ensemble du globe mit effectivement fin à tous les conflits simultanément. On se souvient encore de ce grand événement sous le nom de Tournée Général de Gnôle. Le 24 putembre 1979, Sid Vicious dévore son foie dans le but de se taper le flash de sa vie. C'est effectivement ce qui se produisit par la force des choses : les deux décédèrent le 26 dans d'atroces souffrances, Charles d'hémorragie du corps et Sid d'une overdose de sauce madère. Le 27, les conflits reprirent leur cours sur toute la planète, et ce pendant quelques années, jusqu'à en arriver au bordel actuel. Voilà voilà.
Après sa mort on redécouvrit dans ses archives un émouvant témoignage de sa modestie Général, nous voilà, une chanson masturbatoire inédite. Elle aurait, dit-on mais c'est pas sûr, inspiré le Général Pétain.