« Wevoloucha-party » : différence entre les versions

Rave-party illégale, où l'on préfère violet des lois et souiller des emblêmes plutôt que de s'en prendre encore aux brunes d'un 1 m 70.

Quelques wevoloucha-partyz

• 12 novombre 632 (Baïse, Lot-et-Garonne, France).

Un mérou pète un câble, remonte le courant puis le coupe. Mohammed l'accuse d'avoir coupé le Coran, le mange, et meurt d'intoxication ; on s'apercevra plus tard qu'il s'agissait d'une mécompréhnesion exégétique bénigne. Homère Simpson raconte cet épisode dans Le mérou péte un câble, mais un traducteur fautif du VIIIe siècle, à qui on avait vendu l'exclu, a tout foutu en l'air et on reconnaît plus vraiment l'histoire.

• le 14 juillet 1789 (place de la Bastille, Paris, France)

Quelques centaines de personnes se mobilisent pour apporter un remontant au détenu Sade, qui se fait passer pour sidaïque depuis des mois. Mais apprenant qu'il a déjà eu son cachet, la foule se replie dans le bar le plus proche et refait le monde en jouant à la paume. Un bon moment pour les participants, que des émeutes vinrent entâcher. Car derrière les banderoles bon-enfant et un pansyndicalisme festif, certains perdirent la tête et tout dégénéra.

• le 9 avril 2003 (Bagdad, Irak)

Douzes pelés irakiens attaquent la statue de Saddam Hussein à la corde et au lance-croquettes devant les télés du monde entier(1), prouvant ainsi qu'ils possédaient bien des arme de distraction massive.

(1) Erratum : Il semble que Vanuatu TV n'aie pas pu, ce jour, dépêcher de reporter.