« Martin Hachdegger » : différence entre les versions
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Et pour cause, il habitait dans la | Et pour cause, il habitait dans la Forêt Noire d’[[Allemagne]], haut lieu européen d’intoxication à la [[chouflorine]], après la [[Lozère]]. Provoquant des dégâts irrémédiables sur son cerveau, les molécules choufloriniques le poussèrent très tôt à l’hallucination philosophique (« ''Primum sniffere, deinde philosophari'' » - '''[[Sénèque]]'''), pour laquelle dès l’âge de [[5]] ans il montre des prédispositions étonnantes. | ||
En effet, | En effet, à [[5]] ans Heidegger démonte la structure existentiale de sa luge. Il découvre qu’elle est faite de [[bois]]. | ||
Cela le conduit, | Cela le conduit, à l’âge de [[20]] ans, à émettre l’hypothèse que ''[[l’hêtre]]'' est à la source de toute chose. '''[[Husserl]]''' en est tout excité. | ||
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* ''' | * '''L’hêtre-quoi :''' l’hêtre dont on sait pas trop ce-que-c’est. Peut-être un [[chêne]]. L’hêtre-quoi est l’essence la plus intime de [[l’homme]]. Mais [[l’homme]] on ne sait pas ce que c’est non plus, si ce n’est l’hêtre-quoi. L’hêtre-quoi est hanté, il est même ''tenté'' au plus profond de son hêtre par la tente. (cela est vraiment très bien montré dans la '' [[Tente de l’angoisse]]'', chef-d’œuvre du cinéma autrichien alpiniste, dont le scénario fut co-écrit par Martin Heidegger). | ||
* ''' | * '''L’hêtre-pour-ça :''' l’hêtre qui est fait pour quelque chose. Par exemple, une luge. | ||
*''' | *'''L’hêtre-loin :''' l’hêtre qu’on ne peut pas toucher. | ||
*''' | *'''L’hêtre-las :''' il se repose dans la Clairière parce qu’il y fait beau. | ||
*''' | *'''L’hêtre-en-dépit-de-lui-même :''' le destin tragique de [[l’homme]] face à la tente. | ||
*''' | *'''L’oubli de l’hêtre :''' maintenant tout se construit en [[béton]]. C’est le règne de la [[Technique]]. | ||
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Prônant un retour aux racines, Heidegger inspira les chansons à texte du crooner Jean-Paul [[Sartre]], alias [[Jésus]] Christ. | |||
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* ''Nicole Croisille's not dead'', 1957 | * ''Nicole Croisille's not dead'', 1957 | ||
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* Il | * Il écrivit aussi des cours sur [[Nietzsche]], un autre [[penseur à moustache]] ainsi que sur [[Jean-Michel Ettori]], ancien gardien moustachu de l'[[AS Monaco]]. | ||
== | == Œuvres à l’index == | ||
* ''Nique la Police'', [[1905]]. | * ''Nique la Police'', [[1905]]. | ||
La chanson phare de l' | La chanson phare de l'éphémère groupe [[punk]] du jeune Heidegger. Philippe Manoeuvre écrira alors dans sa critique de leur premier (et dernier) album qu'il est "''mal venu. Ni drôle ni original, du jeunisme merdique, c'est tout.''" ([[Les Inrockuptibles]], octobre 1905) | ||
* '' | * ''Hêtres et tentes'', [[1927]]. | ||
Le chef- | Le chef-d’œuvre de l’arbrologie herméneutique, hélas toujours incompris. Il fut censuré par [[Jean Paul II]]. | ||
== Citations == | == Citations == | ||
'''[[Adorno]] :''' | '''[[Adorno]] :''' « Tout ça pour ça. » | ||
'''[[Snap]]:''' "I've got the power" | '''[[Snap]]:''' "I've got the power" | ||
'''[[Sartre]]''' : "Pour moi, ce sera un | '''[[Sartre]]''' : "Pour moi, ce sera un crème sans sucre, garçon" | ||
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Version du 4 février 2007 à 03:46
Heidegger en 1935 : le monde est un système d’indices.
Biographie
Né en 1889, M. Heidegger fut le grand théoricien de l’arbrologie existentialiste herméneutique.
Et pour cause, il habitait dans la Forêt Noire d’Allemagne, haut lieu européen d’intoxication à la chouflorine, après la Lozère. Provoquant des dégâts irrémédiables sur son cerveau, les molécules choufloriniques le poussèrent très tôt à l’hallucination philosophique (« Primum sniffere, deinde philosophari » - Sénèque), pour laquelle dès l’âge de 5 ans il montre des prédispositions étonnantes. En effet, à 5 ans Heidegger démonte la structure existentiale de sa luge. Il découvre qu’elle est faite de bois. Cela le conduit, à l’âge de 20 ans, à émettre l’hypothèse que l’hêtre est à la source de toute chose. Husserl en est tout excité.
Les principaux concepts de Heidegger pour emmerder les étudiants
- L’hêtre-quoi : l’hêtre dont on sait pas trop ce-que-c’est. Peut-être un chêne. L’hêtre-quoi est l’essence la plus intime de l’homme. Mais l’homme on ne sait pas ce que c’est non plus, si ce n’est l’hêtre-quoi. L’hêtre-quoi est hanté, il est même tenté au plus profond de son hêtre par la tente. (cela est vraiment très bien montré dans la Tente de l’angoisse, chef-d’œuvre du cinéma autrichien alpiniste, dont le scénario fut co-écrit par Martin Heidegger).
- L’hêtre-pour-ça : l’hêtre qui est fait pour quelque chose. Par exemple, une luge.
- L’hêtre-loin : l’hêtre qu’on ne peut pas toucher.
- L’hêtre-las : il se repose dans la Clairière parce qu’il y fait beau.
- L’hêtre-en-dépit-de-lui-même : le destin tragique de l’homme face à la tente.
Influences
Prônant un retour aux racines, Heidegger inspira les chansons à texte du crooner Jean-Paul Sartre, alias Jésus Christ. Pour ce qui est de lui-même, il a beaucoup lu Aristote ainsi que l’humoriste I.J.F. Kant.
Adversaires
- Le cercle de Vienne ne mangeait que des croissants pendant ses réunions.
- La prétention post-moderne à la reformulation pédagogique des grandes idées philosophiques n'a rien compris à Heidegger.
Le Tournant
En 1930, il part rejoindre Wittgenstein dans sa cabane au Canada. Malheureusement, Russell les surprend. Ce sera la fin du cercle de Vienne.
Heidegger et Wittgenstein organisant un jeu de pistes dans la forêt irlandaise.
Œuvres majeures
- Nicole Croisille's not dead, 1957
- Boucler la boucle : Prolégomènes à une propédeutique du kilométrage inédit d'Eddy Merckx envisagé comme parangon des devenirs dans des conditions déterminées d'humidité et de température, collection Chemins qui tournent en rond (et autres pistes pour sortir de nulle part), 1950.
- Il écrivit aussi des cours sur Nietzsche, un autre penseur à moustache ainsi que sur Jean-Michel Ettori, ancien gardien moustachu de l'AS Monaco.
Œuvres à l’index
- Nique la Police, 1905.
La chanson phare de l'éphémère groupe punk du jeune Heidegger. Philippe Manoeuvre écrira alors dans sa critique de leur premier (et dernier) album qu'il est "mal venu. Ni drôle ni original, du jeunisme merdique, c'est tout." (Les Inrockuptibles, octobre 1905)
- Hêtres et tentes, 1927.
Le chef-d’œuvre de l’arbrologie herméneutique, hélas toujours incompris. Il fut censuré par Jean Paul II.
Citations
Adorno : « Tout ça pour ça. »
Snap: "I've got the power"
Sartre : "Pour moi, ce sera un crème sans sucre, garçon"