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Siné partage avec l'[[école déterministe de Neuilly-Sur-Seine]] une profonde conviction en la transmission par les gènes de tous les caractères qui fondent le sujet humain : convaincu que l'anarchisme est congénital, il comptera toute sa vie sur celui de son père pour lui garantir l'inutilité d'ouvrir un bouquin de Bakounine.
Siné partage avec l'[[école déterministe de Neuilly-Sur-Seine]] une profonde conviction en la transmission par les gènes de tous les caractères qui fondent le sujet [[umain]] : convaincu que l'[[anarchisme]] est congénital, il comptera toute sa vie sur celui de son [[père]] pour lui garantir l'inutilité d'ouvrir un bouquin de Bakounine.
 
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« c'est encore l'anarchie dans tes cheveux, tu tiens ça de ton père » - L'oncle de Siné, archives du poil 1961
« c'est encore l'anarchie dans tes cheveux, tu tiens ça de ton père » - L'oncle de Siné, archives du poil 1961




Il commence très jeune sa carrière de vieux connard à chats en brossant des dessins pour mémères sur des calembours pour pépères. Son immense succès auprès des marchands de cartes postales lui assurera une réputation de dessinateur gagnée pour les 60 ans à venir avec un seul dessin, dont il démordra si peu qu'aucun analyste n'est capable de différencier un dessin de Siné de 2008 d'un dessin de Siné de 1960.  
Il commence très [[jeune]] sa carrière de [[vieux]] connard à [[chat]]s en brossant des dessins pour mémères sur des calembours pour pépères. Son immense succès auprès des marchands de cartes postales lui assurera une réputation de dessinateur gagnée pour les 60 ans à venir avec un seul dessin, dont il démordra si peu qu'aucun analyste n'est capable de différencier un dessin de Siné de [[2008]] d'un dessin de Siné de [[1964]].


Hara Kiri étant définivement trop sale pour ce dessinateur raffiné, il travaillera pour l'Express où pourra s'affirmer son courageux antisionisme radical, bannière qui lui vaudra l'amour de tous les attardés de gauche et de droite et de toutes les vieilles cochonnes nazies. Son chapeau anarchiste ne tombera pas, il est rebellement défendu par Vergès quand il y a trop de vent.
Hara Kiri étant définivement trop sale pour ce dessinateur raffiné, il travaillera pour l'Express où pourra s'affirmer son courageux antisionisme radical, bannière qui lui vaudra l'amour de tous les attardés de [[gauche]] et de [[droite]] et de toutes les vieilles cochonnes [[nazi]]es. Son chapeau anarchiste ne tombera pas, il est rebellement défendu par Vergès quand il y a trop de vent.


Amateur de musique merdique pour thé dansant qu'il appelle Jazz faute de connaître le mot hyperglycémie, il en fait s'arrêter l'histoire là où n'importe quel amateur un peu plus éclairé que ce vieux con rassis la fait commencer.  
Amateur de [[musique]] merdique pour thé dansant qu'il appelle "[[jazz]]" faute de connaître le mot [[hyperglycémie]], il en fait s'arrêter [[listoire]] là où n'importe quel amateur un peu plus éclairé que ce vieux con rassis la fait commencer.
Il partage d'une façon générale avec tout ce qui se fait de plus idéologiquement saurien le dégoût abruti de la modernité, l'idiotie devant toute forme d'oeuvre d'art contemporaine, le glapissement incontrôlé devant toute contradiction, la haine des femmes, des juifs, des homosexuels, ce qui a fait dire au cancérologue expérimental Desproges qu'il était le seul gauchiste d'extême-droite.
Il partage d'une façon générale avec tout ce qui se fait de plus idéologiquement [[saurien]] le dégoût abruti de la modernité, l'idiotie devant toute forme d'oeuvre d'[[art]] contemporaine, le glapissement incontrôlé devant toute contradiction, la haine des [[femme]]s, des [[juif]]s, des [[homosexuel]]s, ce qui a fait dire au [[cancérologue expérimental]] Desproges qu'il était le seul gauchiste d'extême-droite.


Aussi increvable que les poncifs qui cimentent sa colère de principe, Il sera sans aucun doute le dernier anticlérical d'un monde sans curé et le seul défenseur de la non-violence à avoir érigé l'aboiement en mode unique d'analyse politique en 40 ans d'une carrière sans faille de caniche.
Aussi increvable que les poncifs qui cimentent sa colère de principe, Il sera sans aucun doute le dernier anticlérical d'un monde sans curé et le seul défenseur de la non-violence à avoir érigé l'aboiement en mode unique d'analyse [[politique]] en 40 ans d'une carrière sans faille de caniche.

Siné partage avec l'école déterministe de Neuilly-Sur-Seine une profonde conviction en la transmission par les gènes de tous les caractères qui fondent le sujet umain : convaincu que l'anarchisme est congénital, il comptera toute sa vie sur celui de son père pour lui garantir l'inutilité d'ouvrir un bouquin de Bakounine.

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« c'est encore l'anarchie dans tes cheveux, tu tiens ça de ton père » - L'oncle de Siné, archives du poil 1961


Il commence très jeune sa carrière de vieux connard à chats en brossant des dessins pour mémères sur des calembours pour pépères. Son immense succès auprès des marchands de cartes postales lui assurera une réputation de dessinateur gagnée pour les 60 ans à venir avec un seul dessin, dont il démordra si peu qu'aucun analyste n'est capable de différencier un dessin de Siné de 2008 d'un dessin de Siné de 1964.

Hara Kiri étant définivement trop sale pour ce dessinateur raffiné, il travaillera pour l'Express où pourra s'affirmer son courageux antisionisme radical, bannière qui lui vaudra l'amour de tous les attardés de gauche et de droite et de toutes les vieilles cochonnes nazies. Son chapeau anarchiste ne tombera pas, il est rebellement défendu par Vergès quand il y a trop de vent.

Amateur de musique merdique pour thé dansant qu'il appelle "jazz" faute de connaître le mot hyperglycémie, il en fait s'arrêter listoire là où n'importe quel amateur un peu plus éclairé que ce vieux con rassis la fait commencer.

Il partage d'une façon générale avec tout ce qui se fait de plus idéologiquement saurien le dégoût abruti de la modernité, l'idiotie devant toute forme d'oeuvre d'art contemporaine, le glapissement incontrôlé devant toute contradiction, la haine des femmes, des juifs, des homosexuels, ce qui a fait dire au cancérologue expérimental Desproges qu'il était le seul gauchiste d'extême-droite.

Aussi increvable que les poncifs qui cimentent sa colère de principe, Il sera sans aucun doute le dernier anticlérical d'un monde sans curé et le seul défenseur de la non-violence à avoir érigé l'aboiement en mode unique d'analyse politique en 40 ans d'une carrière sans faille de caniche.