« François W. Mitterrand » : différence entre les versions

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Fran�ois W. Mitterrand, n� d'une m�re [[Chinoise]] et d'un p�re [[Juif]]-[[breton]], fut pr�sident du monde durant quelques jours. On lui doit l'[[abolition du socialisme]] et la [[peine de mort]] pour [[Fran�ois Hollande]].
François W. Mitterrand, né en [[1964]] d'une mère [[éprouvette]], était un [[clone]] du politologue et mathématicien [[Mitterrand|François Mitterrandom]], qui est par conséquent ce qui se rapproche le plus d'un père pour lui.


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Réalisé avec 666.665 autres clones par Mitterrandom, lors d'un essai de démonstration pratique de sa fameuse [[théorie de la Partouze Infinie]], le petit François W. s'avéra impropre à cet usage quand Mitterrandom réalisa que, par un hasard dont la [[nature]] a le secret, une subtile anomalie génétique avait altéré l'ADN primordial: François W. était un [[japonuif]].
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Afin de terminer son mandat, il demanda � son m�decin de garder le secret, et, dans une crise de m�galomanie, d�clara que [[Charles Saucisse]] �tait "un gros beauf, j'vais lui niquer sa race � ce connard.". [[Charles Saucisse]], rendu furieux par l'injure, d�clara que �a suffisait les conneries. Il demanda donc son aide � [[Al Bundy]], qui la lui refusa, et se vit contraint de d�clarer la guerre, qui ne dura que deux heures, le temps de capturer Fran�ois W. Mitterrand dans ses toilettes et de l'envoyer en exil en [[pas-banlieue]].
Livré à lui-même et renié par son géniteur, François W. Mitterrand sut toutefois tirer le meilleur de sa particularité génétique pour se faire des contacts dans les médias, les Archevêques de Paris et les banquiers, et fit une carrière musicale qui, quoique n'atteignant pas les hauteurs de certains, fut quand même notable.


La, Fran�ois, furieux qu'on ne le reconnaisse plus dans la rue, vola une casquette et se mit � rapper. [[Antoine Hummel]], qui passait par la, ne put supporter ce spectacle et fuma Fran�ois sans plus de fa�on.
On lui doit quelques classiques de la [[chanson à texte]] franconnienne:


{{merde}}
* ''Alexandrie (Alexandra)''
 
* ''Le Téléphone pleure''
 
* ''Tcha tcha tcha des [[Mérou]]s''
 
* ''Je suis pour'' (dont on attribut trop souvent la paternité à [[Michel Sardou|Michel Sardou nue]], qui n'en est que le brillant interprète dans une reprise qui, quoique tout à fait honorable, n'atteint pas les hauteurs de l'original)
 
[[category:Art]]

Version actuelle datée du 30 juin 2013 à 03:57

François W. Mitterrand, né en 1964 d'une mère éprouvette, était un clone du politologue et mathématicien François Mitterrandom, qui est par conséquent ce qui se rapproche le plus d'un père pour lui.

Réalisé avec 666.665 autres clones par Mitterrandom, lors d'un essai de démonstration pratique de sa fameuse théorie de la Partouze Infinie, le petit François W. s'avéra impropre à cet usage quand Mitterrandom réalisa que, par un hasard dont la nature a le secret, une subtile anomalie génétique avait altéré l'ADN primordial: François W. était un japonuif.

Livré à lui-même et renié par son géniteur, François W. Mitterrand sut toutefois tirer le meilleur de sa particularité génétique pour se faire des contacts dans les médias, les Archevêques de Paris et les banquiers, et fit une carrière musicale qui, quoique n'atteignant pas les hauteurs de certains, fut quand même notable.

On lui doit quelques classiques de la chanson à texte franconnienne:

  • Alexandrie (Alexandra)
  • Le Téléphone pleure
  • Je suis pour (dont on attribut trop souvent la paternité à Michel Sardou nue, qui n'en est que le brillant interprète dans une reprise qui, quoique tout à fait honorable, n'atteint pas les hauteurs de l'original)