Psychanalyse en salle
La psychanalyse en salle existe depuis le 14 juillet 1989[1], date à laquelle le Comité International Olympique décide d'intégrer la psychanalyse, dite de salon, aux J.O.
Comme pour la psychanalyse, les tournois sont organisées selon des catégories de poids relationnel, autrement appelés lourdeurs, et demande de s'équiper de traumatismes, de névroses, de psychoses, de tendances hystériques et souvent d'un chibre sauteur.
Il est nécessaire de s'acheter une licence à base de métaphysique liquide desservie dans un bocal fermé en contenant 543mL franco-belge afin de se lancer dans la Psychanalyse en salle.
Un sport plébiscité
Des propositions de lois ont vu le jour pour que la psychanalyse en salle vienne suppléer systématiquement la pratique de la psychanalyse de salon. Mais plusieurs études auront dissuadé les parlementaires de voter en leur faveur : il s'avère en effets que la psychanalyse en salle, trop répandue, entrainerait un bouleversement social soudain qui nous ferait dégringoler vers un monde moins chouette. En effet : "les plus riches, lorsqu'ils pratiquent ce sport, peuvent se payer des casiers où entreposer leurs survêtements, névroses, psychoses, tendances à l'hystérie et organe reproducteur. Par voie de conséquence, si tous les cadres et les patrons pratiquaient la psychanalyse en salle, cette classe serait réduite à la stérilité et deviendrait incapable d'empathie. Ainsi la pègre progresserait, la main d'œuvre, privée de tout instance médiatrice, s'entre-tuerait et les usines d'objets fermeraient"[2].
Vous le sais
- Les tournois de psychanalyse bénéficient de la couverture télévisuelle et radiophonique : vous pouvez regardez. Comme pour le sexe, il vous est fortement conseillé de laisser la pratique de la psychanalyse en salle aux professionnels.
Bernadette Chirac indique sa mère lors du 13ème tournois olympique de psychanalyse en salle, "4 pièces jaunes que c'est-elle", semble-t-elle nous dire