Enculer
Inventé dans la foulée de l'anus (lui même créé juste après l'apparition de la merde, dans le but de l'évacuer), l'acte d'enculer consiste à enfoncer un organe ou un objet dont la nature peut varier dans le trou du cul d'un interlocuteur. Approuvée par l'académie française qui l'utilise plus ou moins à chaque fois que celle ci se réunit, cette pratique peut traduire divers sentiments: la colère, l'envie, la faim, le besoin de tendresse, la peur de l'avenir, le je-m'en-foutisme, la jalousie, la neutralité (en suisse)... A noter que seuls les humains s'enculent VOLONTAIREMENT, les animaux y ayant recours par erreur, ce qui pousse certains scientifiques à conclure que la pratique consciente et volontaire de la sodomie, et non le rire constitue le propre de l'homme. En effet, les hyènes et les dauphins peuvent rire comme des cons, et ils n'en sont pas plus intelligents. Une bien belle leçon.
Politique
Enculer est une pratique politique répandue sur tous les continents et possiblement sur toutes les planètes. Les conjonctures successives permettent cependant à chaque pays de passer au cours des siècles d'une position d'enculeur à une position d'enculé. La Pologne offre un exemple à la fois récent et édifiant d'un volte-face inattendu sur la scène politique internationale : d'une position de petite pays enculé par un gros consortium, elle a décidé de rentrer de plein fouet sans trop de préliminaires dans l'Union Européenne pour enculer le monde entier avec ses plombiers et leurs clefs de douze. Il a fallu le courage et la volonté d'un seul homme, Mr Gregorz Kaspersky, pour stopper l'enculade.
En 2001, lors du congrès de Nice, G. Kaspersky propose de stopper l'anal à l'amiable. Pris pour un con, il passera de force trois années plus tard.