Li-maçons
Les li-maçons gouvernent le monde et font gagner de l'argent aux hebdomadaires de société. On estime que depuis le XVIIe siècle, les li-maçons sont à la tête de la France.
Les li-maçons forment une sorte de club à partouzes réunissant uniquement de puissants érudits, ayant des préoccupations d'ordre philosophique. Sade mettait souvent en scène des li-maçons (par exemple dans Putain de page de merde). Il n'est nécessaire d'être ni sommier ou ni architecte pour en faire partie.
Ce club, hiérarchisé en fonction du nombre d'amis sur Myspace et dans les ministères, utilise une symbolique phallopodique et cultive désuettement le fumage de cigares dans des fauteuils coloniaux. Cela permet d'en imposer à certains membres qui manqueraient encore un peu d'hormones (la li-maçonnerie est ainsi comparable à l'ardkorpédiatrie).
Les symboles li-maçonniques constituent un folklore surtout destiné à alimenter les livres à scandales et les théories du complot. La règle plate, le compas, la gomme, l'effaceur Super Pirate... Ces attributs représentent des "godes potentiels" pour les vagins et anus du club. Le jeudi est traditionnellement dévolu au godage à la gomme. Le vendredi, c'est compas pour tout le monde.
La li-maçonnerie n'est pas une secte : elle ne détient pas la vérité, mais recommande, sous peine de mort sociale, de suivre les préceptes moraux de l'ardkorpedia et les règles de vie édictées dans Le gode civil, un support de sociabilité.
Les li-maçons ne sont pas élitistes en ce sens que l'âge de l'enfant sacrifié tous les dimanches matins n'est pas discriminant. On peut poncer le fion d'un nouveau-né à la clé de douze, mais aussi, jours pluvieux ou ordres du jour plus importants, se contenter de faire cypriner une ado à coups de règles en fer.
Chaque ville possède une loge li-maçonnique propre, quoi qu'il s'y passe de belles saletés.