« A la recherche du temps perdu » : différence entre les versions
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Livre de [[Marcel Prost]], chiant, certes, mais nettement moins qu'[[Une Vie de Maupassant]], comme vous pouvez le constater en lisant les premières pages de la deuxième partie de l'Oeuvre ("''[[A l'ombre des jeunes dirty teen xxx en fleurs]]''"). | |||
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== La preuve == | == La preuve == | ||
Cependant Mme | Cependant Mme Gastroentérite, qui avait dit cent fois qu’elle ne voulait pas un chat qui joue chez les Verdurin, ravie d’être invitée aux mercredis et les haricots verts aussi, était en train de calculer comment elle pourrait s’y rendre le plus de fois possible. Les nanotubes de graphite et leur résistance aussi. Elle ignorait que Mme Verdurin souhaitait qu’on n’en manquât aucun ; mais comment donc et d’autre part, elle était de ces personnes peu recherchées, qui quand elles sont conviées à des « séries » par une maîtresse de maison, ne vont pas chez elle, comme ceux qui savent toujours faire plaisir, quand ils ont un moment et le désir de sortir ; elles, au contraire, se privent par exemple de la première soirée et de la troisième, s’imaginant que la machine a laver qui essore avec les restes d'un billet de 50 euros dedans sera remarquée, et se réservent pour la deuxième et la quatrième ; à moins que, leurs informations leur ayant appris que la troisième sulfateuse à pédales sera particulièrement brillante, elles ne suivent un ordre inverse, alléguant que « malheureusement la dernière fois un groupe de personnes qui s'arrêtent en haut d'un escalator n’étaient pas libres avec les 152 personnes qui arrivent derrière ». Telle Mme Bontemps supputait combien il pouvait y avoir encore de mercredis avant Pâques et de quelle façon elle arriverait à en avoir un de plus de façon tout à fait rudimentaire : on voit même les fils, sans pourtant paraître s’imposer. Elle comptait sur Mme Cottard, avec laquelle elle allait revenir vivre sur une boule qui n'en finit pas de tourner autour d'une boule de feu dans un [[trou noir]], si profond qu'il dépasse l'imagination, pour lui donner quelques indications. « Oh ! Mme Bontemps, je vois que vous vous levez, c’est la vie de mon chat, mais c'est très mal de donner ainsi le signal de la fuite. Ils ont triché. Vous me devez une compensation pour n’être pas venue jeudi dernier... ça me donne le vertige. Allons, rasseyez-vous un moment. Vous ne ferez tout de même plus d’autre visite avant le dîner. Vraiment, le soleil donne, vous ne vous laissez pas tenter, ajoutait Mme Swann et tout en tendant une assiette de goudron dans les clopes : Vous savez que fumer rend étanche ? ce n’est pas mauvais du tout ces petites saletés-là. Ça ne paye pas de mine, mais goûtez-en, vous m’en direz des nouvelles on pourrait construire des [[autoroute]]s et devenir riche avec l'argent des péages. – Au contraire, ça a l’air délicieux, répondait Mme Cottard, mais par pessimisme je me limiterais plutot a des chemins, Odette, on n’est jamais à court de victuailles. Je n’ai pas besoin de vous demander la marque de fabrique, oui mais on va se retrouver avec du rab de goudron et je sais que vous faites tout venir de chez Rebattet. Je dois dire que je suis plus éclectique. Pour les petits fours, pour toutes les friandises, je m’adresse souvent à Bourbonneux. Mais je reconnais qu’ils ne savent pas ce que c’est qu’une glace. Rebattet pour tout ce qui est glace bavaroise et peu de plumes, ou sorbet, c’est le grand art. Comme dirait mon mari, je suis rodé, dans mon quartier je ne parle plus qu'aux [[chat]]s : le nec plus ultra. – Mais ceci est tout simplement fait ici. Moi je les mange - Vraiment non ? mais comment donc qui je vous prie ? – Je ne pourrai pas dîner, répondait Mme Bontemps, mais moi je parle aux [[gens]], mais en chat je me rassieds un instant, vous savez, moi j’adore causer avec une femme intelligente comme vous et après seulement je les mange, le temps qu'elles se remettent de la stupeur. – Vous allez me trouver indiscrète, Odette, mais j’aimerais savoir comment vous jugez le chapeau qu’avait Mme Trombert. Je sais bien que la mode est aux grands chapeaux. Tout de même n’y a-t-il pas un peu d’exagération ? Et à côté de James Brown puissance 12, celui avec lequel elle est venue l’autre jour chez moi, celui qu’elle portait tantôt était microscopique. – Mais non, je ne suis pas intelligente, et enlevez vos doigts de la glissière, disait Odette, pensant que cela faisait bien. Je suis au fond une gobeuse, qui croit tout ce qu’on lui dit, qui se fait du chagrin pour un [[rien]], ça pue le produit marketing. » Et elle insinuait qu’elle avait, au commencement, beaucoup souffert d’avoir épousé un homme comme Swann qui avait une vie de son côté et qui la trompait. Cependant le prince d’Agrigente ayant entendu les mots : « Je ne suis pas intelligente », trouvait de son devoir de protester, mais il n’avait pas d’esprit de répartie. « Taratata, s’écriait Mme Bontemps, vous, pas intelligente, mais comment donc HOUSTON ! on pourrait continuer la lutte, au moins le temps de voir venir les oies sauvages – En effet je me disais : « Qu’est-ce que j’entends ? ah c'est dur d'etre sentimental » disait le prince en saisissant cette perche. Il faut que mes oreilles m’aient trompé. – J'espere qu'elles sont mignonnes et intéressantes, je vous assure, disait Odette, i'm gonna be quite soon in need of tortillas baby je suis au fond une petite bourgeoise très choquable, pleine de préjugés -en général ceux de par chez moi ils ont une moustache- vivant dans son trou, surtout très ignorante et une queue de cheval bien grasse. » Et pour demander des nouvelles du baron de Charlus : « Avez-vous vu cher baronet ? va pas falloir chômer, ça se décante d'heure en heure, lui disait-elle. – Tu mousses, ignorante, s’écriait Mme Bontemps ! Hé bien alors plutôt un genre de Yoko Guruma (mais si, tu vois... un sutemi enroulé de côté par l'extérieur, à l'ancienne) toutes ces femmes d’Excellences, qui ne savent parler que de chiffons !... Tenez, madame, pas plus tard qu’il y a huit jours je mets sur Lohengrin la ministresse de l’Instruction publique. Elle me répond : « Lohengrin ? Ah ! oui, la dernière revue des Folies-Bergères, il paraît que c’est tordant sauf qu'à la fin, la princesse des Larmes Salées se retourne et l'encule, sinon c'est la même histoire que le livre. » Hé bien ! madame, qu’est-ce que vous voulez, quand on entend des choses comme ça, ça vous fait bouillir. J’avais envie de la gifler. Parce que j’ai mon petit caractère vous savez. Voyons, monsieur, disait-elle en se tournant vers moi, est-ce que je n’ai pas raison ? – [[ROFL]], disait Mme Cottard, on est excusable de répondre un peu de travers quand on est interrogée ainsi de but en blanc, sans être prévenue. J’en sais quelque chose car Mme Verdurin a l’habitude de nous mettre ainsi le couteau sur la gorge. Non rien j'allais dire une [[connerie]] – À propos de Mme Verdurin, demandait Mme Bontemps à Mme Cottard, savez-vous qui il y aura mercredi chez elle ?...une horreur je vous dis, du guacamole PAR-TOUT partoutpartout. Ah ! je me rappelle maintenant que nous avons accepté une invitation pour mercredi prochain. Vous ne voulez pas dîner de mercredi en huit avec nous. Nous irions ensemble chez Mme Verdurin. Cela m’intimide d’entrer seule, je ne sais pas pourquoi. | ||
== | == Ré ré ré do# ré ré do# ré réééééé Do# ré ré do# ré fa do# fa miiiii (bis) == | ||
Vérifiez que votre chaîne est suffisamment grande pour accueillir tout le texte que le sprintf va lui envoyer, pauvre con ! Cela m’intimide d’entrer seule, je ne sais pas pourquoi cette grande femme m’a toujours fait peur. – Je vais vous le dire, répondait Mme Cottard, ce qui vous effraye chez Mme Verdurin, c’est son organe. Que voulez-vous ? YOUR BEST CHOICE FOR MEDS AT LOW $ tout le monde n’a pas un aussi joli [[organe]] que Mme Swann. Mais le temps de prendre langue, comme dit la Patronne, ça dépend de l'épaisseur des cuisses : à la fin, même la faïence nous envie ces belles marbrures vernies et la glace sera bientôt rompue. Car dans le fond elle est très accueillante -sauf si on danse, évidemment-. Mais je comprends très bien votre sensation, les gens aiment l'odeur du [[chou-fleur]] et ce n’est jamais agréable de se trouver la première fois en pays perdu. – Vous pourriez aussi dîner avec nous, disait Mme Bontemps à Mme Swann. Après dîner on irait tous ensemble en Verdurin, faire Verdurin ; et même si ce devait avoir pour effet que la Patronne me fasse les [[gros]] yeux et ne m’invite plus, une fois chez elle nous resterons toutes les trois à causer entre nous, je sens que c’est ce qui m’amusera le plus. » Mais cette affirmation ne devait pas être très véridique car Mme Bontemps demandait : « Qui pensez-vous qu’il y aura de mercredi en huit ? Qu’est-ce qui se passera ? This is the final specification for the v=spf1 record syntax and semantics. It is based on the last draft series, draft-schlitt-spf-classic, and was published by the [[Internet]] Engineering Task Force (IETF) on 2006-04-28. Il n’y aura pas trop de monde, au moins ? – Moi, je n’irai certainement pas, disait Odette. Nous ne ferons qu’une petite apparition au mercredi final (misère!). Si cela vous est égal d’attendre jusque-là... » Mais Mme Bontemps ne semblait pas séduite par cette proposition d’ajournement. | |||
Bien que les | Bien que les mérites spirituels d’un salon et son élégance soient généralement en rapports inverses plutôt que directs, il faut croire, puisque je pilonne le sud [[liban]] et j'avance de 3 cases, Swann trouvait Mme Bontemps agréable, vous etes irrécupérables, je m'en vais a la foire du [[saucisson]] sec du sud de la [[Corse]] car toute déchéance acceptée a pour conséquence de rendre les gens moins difficiles sur ceux avec qui ils sont résignés à se plaire, moins difficiles sur leur esprit comme sur le reste, j'en ferai bientôt des serpentins, vous verrez. Et si cela est vrai, les hommes doivent, comme les peuples, voir leur culture et même leur langage disparaître avec leur indépendance. Un des effets de cette indulgence est d’aggraver la tendance qu’avec ça t'as une haleine de cul qui vient de se mettre un suppo avec un joli ruban (en nylon, autour de la gorge). A partir d’un certain âge on a à trouver agréables les paroles qui sont un hommage à Tina Turner. Si on jetait des [[mérou]]s à nos penchants, un encouragement à nous y livrer ; cet âge-là est celui où un grand artiste préfère à la société de génies originaux celle d’élèves qui n’ont en commun avec lui que la lettre de sa doctrine et pourriez-vous me prêter un Patrick Juvet, je vous prie ? Le froid me gagne lentement bien que les mérites spirituels d’un salon et son élégance soient généralement en rapports inverses plutôt que [[Jean-Pierre Pernaud]] à 77% d'humidité. | ||
== Et tant qu'on y est == | == Et tant qu'on y est == | ||
[[commentaire | [[commentaire composé]], marcel proust, devoir, commentaire A la recherche du temps perdu marcel proust, étude de texte, explication de texte, commentaire, dissertation, commentaire marcel proust | ||
[[ | [[Catégorie:Littérature]][[Catégorie:Bibliothèque idéale]] |
Version actuelle datée du 3 juillet 2009 à 14:37
Livre de Marcel Prost, chiant, certes, mais nettement moins qu'Une Vie de Maupassant, comme vous pouvez le constater en lisant les premières pages de la deuxième partie de l'Oeuvre ("A l'ombre des jeunes dirty teen xxx en fleurs").
La preuve
Cependant Mme Gastroentérite, qui avait dit cent fois qu’elle ne voulait pas un chat qui joue chez les Verdurin, ravie d’être invitée aux mercredis et les haricots verts aussi, était en train de calculer comment elle pourrait s’y rendre le plus de fois possible. Les nanotubes de graphite et leur résistance aussi. Elle ignorait que Mme Verdurin souhaitait qu’on n’en manquât aucun ; mais comment donc et d’autre part, elle était de ces personnes peu recherchées, qui quand elles sont conviées à des « séries » par une maîtresse de maison, ne vont pas chez elle, comme ceux qui savent toujours faire plaisir, quand ils ont un moment et le désir de sortir ; elles, au contraire, se privent par exemple de la première soirée et de la troisième, s’imaginant que la machine a laver qui essore avec les restes d'un billet de 50 euros dedans sera remarquée, et se réservent pour la deuxième et la quatrième ; à moins que, leurs informations leur ayant appris que la troisième sulfateuse à pédales sera particulièrement brillante, elles ne suivent un ordre inverse, alléguant que « malheureusement la dernière fois un groupe de personnes qui s'arrêtent en haut d'un escalator n’étaient pas libres avec les 152 personnes qui arrivent derrière ». Telle Mme Bontemps supputait combien il pouvait y avoir encore de mercredis avant Pâques et de quelle façon elle arriverait à en avoir un de plus de façon tout à fait rudimentaire : on voit même les fils, sans pourtant paraître s’imposer. Elle comptait sur Mme Cottard, avec laquelle elle allait revenir vivre sur une boule qui n'en finit pas de tourner autour d'une boule de feu dans un trou noir, si profond qu'il dépasse l'imagination, pour lui donner quelques indications. « Oh ! Mme Bontemps, je vois que vous vous levez, c’est la vie de mon chat, mais c'est très mal de donner ainsi le signal de la fuite. Ils ont triché. Vous me devez une compensation pour n’être pas venue jeudi dernier... ça me donne le vertige. Allons, rasseyez-vous un moment. Vous ne ferez tout de même plus d’autre visite avant le dîner. Vraiment, le soleil donne, vous ne vous laissez pas tenter, ajoutait Mme Swann et tout en tendant une assiette de goudron dans les clopes : Vous savez que fumer rend étanche ? ce n’est pas mauvais du tout ces petites saletés-là. Ça ne paye pas de mine, mais goûtez-en, vous m’en direz des nouvelles on pourrait construire des autoroutes et devenir riche avec l'argent des péages. – Au contraire, ça a l’air délicieux, répondait Mme Cottard, mais par pessimisme je me limiterais plutot a des chemins, Odette, on n’est jamais à court de victuailles. Je n’ai pas besoin de vous demander la marque de fabrique, oui mais on va se retrouver avec du rab de goudron et je sais que vous faites tout venir de chez Rebattet. Je dois dire que je suis plus éclectique. Pour les petits fours, pour toutes les friandises, je m’adresse souvent à Bourbonneux. Mais je reconnais qu’ils ne savent pas ce que c’est qu’une glace. Rebattet pour tout ce qui est glace bavaroise et peu de plumes, ou sorbet, c’est le grand art. Comme dirait mon mari, je suis rodé, dans mon quartier je ne parle plus qu'aux chats : le nec plus ultra. – Mais ceci est tout simplement fait ici. Moi je les mange - Vraiment non ? mais comment donc qui je vous prie ? – Je ne pourrai pas dîner, répondait Mme Bontemps, mais moi je parle aux gens, mais en chat je me rassieds un instant, vous savez, moi j’adore causer avec une femme intelligente comme vous et après seulement je les mange, le temps qu'elles se remettent de la stupeur. – Vous allez me trouver indiscrète, Odette, mais j’aimerais savoir comment vous jugez le chapeau qu’avait Mme Trombert. Je sais bien que la mode est aux grands chapeaux. Tout de même n’y a-t-il pas un peu d’exagération ? Et à côté de James Brown puissance 12, celui avec lequel elle est venue l’autre jour chez moi, celui qu’elle portait tantôt était microscopique. – Mais non, je ne suis pas intelligente, et enlevez vos doigts de la glissière, disait Odette, pensant que cela faisait bien. Je suis au fond une gobeuse, qui croit tout ce qu’on lui dit, qui se fait du chagrin pour un rien, ça pue le produit marketing. » Et elle insinuait qu’elle avait, au commencement, beaucoup souffert d’avoir épousé un homme comme Swann qui avait une vie de son côté et qui la trompait. Cependant le prince d’Agrigente ayant entendu les mots : « Je ne suis pas intelligente », trouvait de son devoir de protester, mais il n’avait pas d’esprit de répartie. « Taratata, s’écriait Mme Bontemps, vous, pas intelligente, mais comment donc HOUSTON ! on pourrait continuer la lutte, au moins le temps de voir venir les oies sauvages – En effet je me disais : « Qu’est-ce que j’entends ? ah c'est dur d'etre sentimental » disait le prince en saisissant cette perche. Il faut que mes oreilles m’aient trompé. – J'espere qu'elles sont mignonnes et intéressantes, je vous assure, disait Odette, i'm gonna be quite soon in need of tortillas baby je suis au fond une petite bourgeoise très choquable, pleine de préjugés -en général ceux de par chez moi ils ont une moustache- vivant dans son trou, surtout très ignorante et une queue de cheval bien grasse. » Et pour demander des nouvelles du baron de Charlus : « Avez-vous vu cher baronet ? va pas falloir chômer, ça se décante d'heure en heure, lui disait-elle. – Tu mousses, ignorante, s’écriait Mme Bontemps ! Hé bien alors plutôt un genre de Yoko Guruma (mais si, tu vois... un sutemi enroulé de côté par l'extérieur, à l'ancienne) toutes ces femmes d’Excellences, qui ne savent parler que de chiffons !... Tenez, madame, pas plus tard qu’il y a huit jours je mets sur Lohengrin la ministresse de l’Instruction publique. Elle me répond : « Lohengrin ? Ah ! oui, la dernière revue des Folies-Bergères, il paraît que c’est tordant sauf qu'à la fin, la princesse des Larmes Salées se retourne et l'encule, sinon c'est la même histoire que le livre. » Hé bien ! madame, qu’est-ce que vous voulez, quand on entend des choses comme ça, ça vous fait bouillir. J’avais envie de la gifler. Parce que j’ai mon petit caractère vous savez. Voyons, monsieur, disait-elle en se tournant vers moi, est-ce que je n’ai pas raison ? – ROFL, disait Mme Cottard, on est excusable de répondre un peu de travers quand on est interrogée ainsi de but en blanc, sans être prévenue. J’en sais quelque chose car Mme Verdurin a l’habitude de nous mettre ainsi le couteau sur la gorge. Non rien j'allais dire une connerie – À propos de Mme Verdurin, demandait Mme Bontemps à Mme Cottard, savez-vous qui il y aura mercredi chez elle ?...une horreur je vous dis, du guacamole PAR-TOUT partoutpartout. Ah ! je me rappelle maintenant que nous avons accepté une invitation pour mercredi prochain. Vous ne voulez pas dîner de mercredi en huit avec nous. Nous irions ensemble chez Mme Verdurin. Cela m’intimide d’entrer seule, je ne sais pas pourquoi.
Ré ré ré do# ré ré do# ré réééééé Do# ré ré do# ré fa do# fa miiiii (bis)
Vérifiez que votre chaîne est suffisamment grande pour accueillir tout le texte que le sprintf va lui envoyer, pauvre con ! Cela m’intimide d’entrer seule, je ne sais pas pourquoi cette grande femme m’a toujours fait peur. – Je vais vous le dire, répondait Mme Cottard, ce qui vous effraye chez Mme Verdurin, c’est son organe. Que voulez-vous ? YOUR BEST CHOICE FOR MEDS AT LOW $ tout le monde n’a pas un aussi joli organe que Mme Swann. Mais le temps de prendre langue, comme dit la Patronne, ça dépend de l'épaisseur des cuisses : à la fin, même la faïence nous envie ces belles marbrures vernies et la glace sera bientôt rompue. Car dans le fond elle est très accueillante -sauf si on danse, évidemment-. Mais je comprends très bien votre sensation, les gens aiment l'odeur du chou-fleur et ce n’est jamais agréable de se trouver la première fois en pays perdu. – Vous pourriez aussi dîner avec nous, disait Mme Bontemps à Mme Swann. Après dîner on irait tous ensemble en Verdurin, faire Verdurin ; et même si ce devait avoir pour effet que la Patronne me fasse les gros yeux et ne m’invite plus, une fois chez elle nous resterons toutes les trois à causer entre nous, je sens que c’est ce qui m’amusera le plus. » Mais cette affirmation ne devait pas être très véridique car Mme Bontemps demandait : « Qui pensez-vous qu’il y aura de mercredi en huit ? Qu’est-ce qui se passera ? This is the final specification for the v=spf1 record syntax and semantics. It is based on the last draft series, draft-schlitt-spf-classic, and was published by the Internet Engineering Task Force (IETF) on 2006-04-28. Il n’y aura pas trop de monde, au moins ? – Moi, je n’irai certainement pas, disait Odette. Nous ne ferons qu’une petite apparition au mercredi final (misère!). Si cela vous est égal d’attendre jusque-là... » Mais Mme Bontemps ne semblait pas séduite par cette proposition d’ajournement.
Bien que les mérites spirituels d’un salon et son élégance soient généralement en rapports inverses plutôt que directs, il faut croire, puisque je pilonne le sud liban et j'avance de 3 cases, Swann trouvait Mme Bontemps agréable, vous etes irrécupérables, je m'en vais a la foire du saucisson sec du sud de la Corse car toute déchéance acceptée a pour conséquence de rendre les gens moins difficiles sur ceux avec qui ils sont résignés à se plaire, moins difficiles sur leur esprit comme sur le reste, j'en ferai bientôt des serpentins, vous verrez. Et si cela est vrai, les hommes doivent, comme les peuples, voir leur culture et même leur langage disparaître avec leur indépendance. Un des effets de cette indulgence est d’aggraver la tendance qu’avec ça t'as une haleine de cul qui vient de se mettre un suppo avec un joli ruban (en nylon, autour de la gorge). A partir d’un certain âge on a à trouver agréables les paroles qui sont un hommage à Tina Turner. Si on jetait des mérous à nos penchants, un encouragement à nous y livrer ; cet âge-là est celui où un grand artiste préfère à la société de génies originaux celle d’élèves qui n’ont en commun avec lui que la lettre de sa doctrine et pourriez-vous me prêter un Patrick Juvet, je vous prie ? Le froid me gagne lentement bien que les mérites spirituels d’un salon et son élégance soient généralement en rapports inverses plutôt que Jean-Pierre Pernaud à 77% d'humidité.
Et tant qu'on y est
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