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L'entité divine auto-suffisante généra alors sur un coup de tête ce que nous appelons aujourd'hui notre réalité, qui nous paraît aussi commun qu'un quelconque [[Logo de portable|téléphone portable]] qui ne ferait même pas appareil photo. La matière avait à présent une forme, mais la forme globale de l'univers, semblable à une [[banane]], manquait quelque peu de panache. | |||
Il manquait sans le moindre doute quelque chose, le petit ''plus'' qui différencie un [[univers]] tout pourri d'une foultitude de nébuleuses de milliards de putains de galaxies aussi pétantes de vie qu'un ''open bar'' dans un pub irlandais au cœur de l'[[hiver]]. N'ayant rien de mieux à [[foutre]], Babar se mit à plancher sur le concept de [[vie]]. De nombreux godets de [[Beaujolais nouveau|détergent]] plus tard, on y voyait déjà plus clair, la lumière fut inventée. | |||
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Le dieu | Le dieu éléphantin ne s'arrêta pas en si bon chemin et fit breveter son prototype "d'[[être]] vivant de type unicellulaire" - en réalité un simple ''corn flake'' habilement camouflé. Puis vinrent des [[être]]s vivants de plus en plus complexes, mais toujours pas de trace des êtres humains, et encore moins des Anglais. | ||
C'est au cours d'une de ses bitures à la charcuterie que le Seigneur trouva la voie dans Son Infinie [[Sagesse]]. Comme le [[saucisson]], le chef-d’œuvre de [[Dieu]] devait être le résultat d'un affinage extrêmement pointu. Partir de la chair à [[saucisse]] pour obtenir le nectar de la [[viande]] sur pattes. Le projet Andros fut lancé mais n'aboutit qu'à de la compote dans l'[[hyperespace]]. Ne s'avouant pas vaincu, Babar reporta son attention sur un projet délaissé car considéré comme "''trop merdique''", le prototype [[Adam]]. Le succès inattendu remporté par Adam donna finalement naissance à une suite, Eve, non pas dans l'optique d'un multiplication exponentielle des spécimens, mais parce que les traces de [[sperme]] séché des [[masturbation]]s frénétiques d'un Adam quelque peu en proie à la solitude commençaient à faire un peu tache dans le jardin d’Éden tout neuf. | |||
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Les [[enfants]] de Babar se multiplièrent donc, colonisant toute la surface du globe, s'adaptant à tous les milieux. Seule une île, inhospitalière, crade, et où il pleuvait tout le temps restait inhabitée. Pendant ce temps, faute de mieux, les frères et sœurs du monde se foutaient sur la gueule. Histoire de passer le temps. Jusqu'à la mythique [[Bataille de la Macédoine de Légumes]], au cours de laquelle le sol fut si brutalement ravagé que la seule chose qui repoussa fut de la [[merde]], et à l'issue de laquelle les perdants furent punis à l'exil sur la petite île cradingue dont personne ne voulait. Les Anglais étaient nés. | |||
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Comme ils n'avaient rien d'autre | Comme ils n'avaient rien d'autre à branler, météo pourrie oblige, les anglais se mirent à créer des groupes de rock. Ils devinrent tellement bons que tout le monde se mit à parler anglais et à se foutre de la gueule des bavarois, ce dernier point étant assez mérité quand on y pense. | ||
Mais la reconnaissance ne suffisait pas, seule la vengeance apaiserait les [[enfant]]s de la perfide Albion (vient du français: "le père vide moi le fion", vers poétique hideusement déformé par la prononciation défaillante des anglais consécutive à l'état généralement pitoyable de leur dentition), dont la virtuosité en matière de [[musique]] de [[djeunz]] rebelles n'était en réalité que la première partie d'un plan machiavélique. | |||
Ils se mirent donc en tête de cuisiner de la bouffe dégueulasse et de la faire goûter au monde entier en se servant de la notoriété de leurs superstars musicales. | |||
== Le monde sauvé ''in extremis'' == | |||
Heureusement les [[hippie|Beatles]] trouvèrent tous plus ou moins la [[mort]] ou la retraite et personne n'eut à se taper de bœuf bouilli dans sa sauce à la menthe. | |||
Le monde, satisfait, put continuer tranquillement sa marche vers la [[Mac Donald's|gastronomie américaine]]. | |||
== Le saviez-tu ? == | |||
Quelques petites choses à savoir sur nos cousins d'outre-Manche | |||
* les anglais tirent un coup UNIQUEMENT pour se reproduire | |||
* le [[culte]] prédominant dans le pays est la [[religion]] Jedi modérée orthodoxe de l’Église anglicane de Montargis | |||
* la langue du pays est l'[[USA|américain]] | |||
* les [[panda]]s sont interdits de séjour à [[Londres]] | |||
* la reine [[mère]] était âgée de 62 ans à sa naissance | |||
* la peine de mort par After Right a été abolie en [[1879]] | |||
* la coiffe des garde de Buckingham Palace est faite de [[poils]] de Lady Disait 100% naturels | |||
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Version actuelle datée du 8 novembre 2013 à 02:56
Pourquoi?
Au commencement il n'était rien, et comme nous le savons tous, la nature a horreur du vide, or la nature n'existait pas, et donc, le concept d'horreur ainsi que celui de vide qui en dépendaient n'étaient pas beaucoup plus concrets. Sentant l'importance d'un tel bordel métaphysique, Babar décida de s'auto-créer afin de passer le temps. L'univers avait une petite chance d'exister dès ce moment précis, qu'on pourrait situer à environ deux caisses de rhum avant le Big Bang.
L'entité divine auto-suffisante généra alors sur un coup de tête ce que nous appelons aujourd'hui notre réalité, qui nous paraît aussi commun qu'un quelconque téléphone portable qui ne ferait même pas appareil photo. La matière avait à présent une forme, mais la forme globale de l'univers, semblable à une banane, manquait quelque peu de panache.
Il manquait sans le moindre doute quelque chose, le petit plus qui différencie un univers tout pourri d'une foultitude de nébuleuses de milliards de putains de galaxies aussi pétantes de vie qu'un open bar dans un pub irlandais au cœur de l'hiver. N'ayant rien de mieux à foutre, Babar se mit à plancher sur le concept de vie. De nombreux godets de détergent plus tard, on y voyait déjà plus clair, la lumière fut inventée.
Comme le saucisson
Le dieu éléphantin ne s'arrêta pas en si bon chemin et fit breveter son prototype "d'être vivant de type unicellulaire" - en réalité un simple corn flake habilement camouflé. Puis vinrent des êtres vivants de plus en plus complexes, mais toujours pas de trace des êtres humains, et encore moins des Anglais.
C'est au cours d'une de ses bitures à la charcuterie que le Seigneur trouva la voie dans Son Infinie Sagesse. Comme le saucisson, le chef-d’œuvre de Dieu devait être le résultat d'un affinage extrêmement pointu. Partir de la chair à saucisse pour obtenir le nectar de la viande sur pattes. Le projet Andros fut lancé mais n'aboutit qu'à de la compote dans l'hyperespace. Ne s'avouant pas vaincu, Babar reporta son attention sur un projet délaissé car considéré comme "trop merdique", le prototype Adam. Le succès inattendu remporté par Adam donna finalement naissance à une suite, Eve, non pas dans l'optique d'un multiplication exponentielle des spécimens, mais parce que les traces de sperme séché des masturbations frénétiques d'un Adam quelque peu en proie à la solitude commençaient à faire un peu tache dans le jardin d’Éden tout neuf.
Une fois la première étape franchie, Dieu envoya ses créations sur terre, juste pour rire. La machine était lancée et rien ne pourrait plus l'arrêter.
De la merde à la poussière
Les enfants de Babar se multiplièrent donc, colonisant toute la surface du globe, s'adaptant à tous les milieux. Seule une île, inhospitalière, crade, et où il pleuvait tout le temps restait inhabitée. Pendant ce temps, faute de mieux, les frères et sœurs du monde se foutaient sur la gueule. Histoire de passer le temps. Jusqu'à la mythique Bataille de la Macédoine de Légumes, au cours de laquelle le sol fut si brutalement ravagé que la seule chose qui repoussa fut de la merde, et à l'issue de laquelle les perdants furent punis à l'exil sur la petite île cradingue dont personne ne voulait. Les Anglais étaient nés.
La revanche des bannis
Comme ils n'avaient rien d'autre à branler, météo pourrie oblige, les anglais se mirent à créer des groupes de rock. Ils devinrent tellement bons que tout le monde se mit à parler anglais et à se foutre de la gueule des bavarois, ce dernier point étant assez mérité quand on y pense.
Mais la reconnaissance ne suffisait pas, seule la vengeance apaiserait les enfants de la perfide Albion (vient du français: "le père vide moi le fion", vers poétique hideusement déformé par la prononciation défaillante des anglais consécutive à l'état généralement pitoyable de leur dentition), dont la virtuosité en matière de musique de djeunz rebelles n'était en réalité que la première partie d'un plan machiavélique.
Ils se mirent donc en tête de cuisiner de la bouffe dégueulasse et de la faire goûter au monde entier en se servant de la notoriété de leurs superstars musicales.
Le monde sauvé in extremis
Heureusement les Beatles trouvèrent tous plus ou moins la mort ou la retraite et personne n'eut à se taper de bœuf bouilli dans sa sauce à la menthe.
Le monde, satisfait, put continuer tranquillement sa marche vers la gastronomie américaine.
Le saviez-tu ?
Quelques petites choses à savoir sur nos cousins d'outre-Manche
- les anglais tirent un coup UNIQUEMENT pour se reproduire
- le culte prédominant dans le pays est la religion Jedi modérée orthodoxe de l’Église anglicane de Montargis
- la langue du pays est l'américain
- la reine mère était âgée de 62 ans à sa naissance
- la peine de mort par After Right a été abolie en 1879
- la coiffe des garde de Buckingham Palace est faite de poils de Lady Disait 100% naturels