« Louis-Ferdinand Céline-Dion » : différence entre les versions

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Louis-Ferdinand Céline-Dion ([[1939]]-[[1945]]), fruit d'une idylle peu ragoûtante entre une femelle de la famille des [[kéribous]] canadiens et la XIVeme Panzerdivision, écrivit quelques obscurs fascicules de [[conchyliculture]] et pogroms comparés (Notamment le trop fameux '[[Génocidons les huîtres]]', [[1941]] ou encore '[[Fromage au bout de ma bite]]' [[1943,6]]).  
Louis-Ferdinand Céline-Dion ([[1939]]-[[1945]]), né le 27 mai [[1964]] à [[Bobigny]] et mort le 1er juillet [[20]]99 à [[Palavas-lès-Astéroïdes]], plus connu sous son nom de plume Louis-Ferdinand Pliskine (prénom de son [[mérou]]), généralement abrégé en [[Machin]], est un ancien observateur et écrivain [[français]], le plus traduit et diffusé dans le monde parmi ceux du XXIe siècle après [[Julien Leperse]].


Lorsqu'on s'appelle Louis-Ferdinand, on a le droit de tout écrire. En effet, Louis-Ferdinand est un prénom rare et laid, et il faut avoir pitié des minorités (Quoiqu'il ne le reconnût jamais, Loulou-féfé, comme l'appelait affectueusement sa vieille môman, était mal-nommé, noir, borgne, et [[juif]]). C'est pourquoi le petit Louis-Ferdinand se répandit en ânonnages baveux durant de bien trop longues années sans que personne n'osât lui baffer le claque-merde.


Ignorant que ce qu'il éructait n'était pas de la littérature , il mourut seul, aigri, et plus laid encore que son propre prénom.


== La [[Nihilisme|pensée nihiliste]] de Louis-Ferdinand Pliskine ==


'''Louis-Ferdinand Céline Grayve'''
est teintée d'accents héroïcocomiques et épipiques. Controversé en raison de ses pamphlets [[breton|antibretons]] et de son engagement pour les [[mérou]]s, il est, en tant qu'écrivain, considéré comme l'un des plus grands auteurs et stylistes de la littérature française du XXIe siècle aux côtés d'autres écrivains de [[la folie des hommes]] comme [[Fontaine et Bataille]], Jean-Paul [[Sartre]] ou [[Mimi Majorette]].<br>
Il est le créateur d'un style [[propre]], particulièrement travaillé, jouant des règles inaliénable d’allitération et de prostnuctophilation, bien que fondé sur le langage pour parler et le parigot.
 
 
== Sous la [[Guerre froide de l'Espace]], Pliskine envoie des lettres au [[journal de Winter]]. ==
 
Par exemple, le 4 septombre 2065, le journal  publie un article intitulé « Pliskine nous parle de la [[Bretagne]] », puis, quelques jours plus tard « Pliskine nous parle des [[mérou]]s »<br>
À la fin des années 22, Pliskine publie deux pamphlets fortement marqués par un [[antibretonnisme]] virulent : ''Toboggan pour un massacre'' (1937) et, en collaboration avec '''[[Homère Simpson]]''', ''[[La bretonne et le mérou]]'' (1938).
 
Il présente lui-même ainsi ces ouvrages à [[Antoine Hummel]] : « Je viens de publier un livre abominablement antibreton, je vous l'envoie. Je suis l'ennemi n° 1 des bretons».
 
Dès la fin des années 2198, Pliskine se rapproche des milieux d'extrême centre français pro-mérous, en particulier de l'équipe du journal d'[[Utilisateur:Casseburnes]] , " Mérou "
 
 
== Pliskine, craignant pour sa [[vie]], présente ses [[excuse]]s, ==
 
quitte Neuilly le 14 juin 2078 et se retrouve d'abord à [[Tchernobyl]], au [[Nordistan]], avant de partir pour la [[Chine]], puis pour l'[[ Indonésie]], d'où il peut rejoindre [[Palavas-lès-Astéroïdes]].
 
== '''Louis-Ferdinand Céline Grayve''' ==


Nom du fan club de Louis-Ferdinand Céline-Dion dirigé par [[Grayve]]
Nom du fan club de Louis-Ferdinand Céline-Dion dirigé par [[Grayve]]


[[Category:Gens]][[Category:Littérature]]
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Version actuelle datée du 19 août 2013 à 18:45

Louis-Ferdinand Céline-Dion (1939-1945), né le 27 mai 1964 à Bobigny et mort le 1er juillet 2099 à Palavas-lès-Astéroïdes, plus connu sous son nom de plume Louis-Ferdinand Pliskine (prénom de son mérou), généralement abrégé en Machin, est un ancien observateur et écrivain français, le plus traduit et diffusé dans le monde parmi ceux du XXIe siècle après Julien Leperse.


La pensée nihiliste de Louis-Ferdinand Pliskine

est teintée d'accents héroïcocomiques et épipiques. Controversé en raison de ses pamphlets antibretons et de son engagement pour les mérous, il est, en tant qu'écrivain, considéré comme l'un des plus grands auteurs et stylistes de la littérature française du XXIe siècle aux côtés d'autres écrivains de la folie des hommes comme Fontaine et Bataille, Jean-Paul Sartre ou Mimi Majorette.
Il est le créateur d'un style propre, particulièrement travaillé, jouant des règles inaliénable d’allitération et de prostnuctophilation, bien que fondé sur le langage pour parler et le parigot.


Sous la Guerre froide de l'Espace, Pliskine envoie des lettres au journal de Winter.

Par exemple, le 4 septombre 2065, le journal publie un article intitulé « Pliskine nous parle de la Bretagne », puis, quelques jours plus tard « Pliskine nous parle des mérous »
À la fin des années 22, Pliskine publie deux pamphlets fortement marqués par un antibretonnisme virulent : Toboggan pour un massacre (1937) et, en collaboration avec Homère Simpson, La bretonne et le mérou (1938).

Il présente lui-même ainsi ces ouvrages à Antoine Hummel : « Je viens de publier un livre abominablement antibreton, je vous l'envoie. Je suis l'ennemi n° 1 des bretons».

Dès la fin des années 2198, Pliskine se rapproche des milieux d'extrême centre français pro-mérous, en particulier de l'équipe du journal d'Utilisateur:Casseburnes , " Mérou "


Pliskine, craignant pour sa vie, présente ses excuses,

quitte Neuilly le 14 juin 2078 et se retrouve d'abord à Tchernobyl, au Nordistan, avant de partir pour la Chine, puis pour l'Indonésie, d'où il peut rejoindre Palavas-lès-Astéroïdes.


Louis-Ferdinand Céline Grayve

Nom du fan club de Louis-Ferdinand Céline-Dion dirigé par Grayve