« Néo-québécois » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
En 2008, face à l'affront historique | En 2008, faisant face à l'affront historique que constitue le vol de la langue française par les québécois, suivi de sa séquestration avec torture et actes de barbarie, et ce durant plus de 500 ans, [[Charles Saucisse]], alors président de la république Française, avec le soutien de [[Rooston Svelte]] et de l'artiste [[Gérard Cognet]], organise le rapt du québécois pour le massacrer à titre de juste et légitime vengeance. Si le massacre orchestré par les québécois se situait principalement au niveau des expressions et de l'utilisation improbable de mots existants, le néo-québécois agit majoritairement au niveau phonétique et orthographique, riposte d'autant plus perverse. | ||
[[Google]] s'engagea très rapidement dans le néo-québécois de manière active en intégrant des traducteurs ''Foreign to Néo-québécois'' sur tous leurs outils. | [[Google]] s'engagea très rapidement dans le néo-québécois de manière active en intégrant des traducteurs ''Foreign to Néo-québécois'' sur tous leurs outils. | ||
Le concept fut rapidement dépassé par l'ampleur du mouvement et de nouvelles ramures étymologiques bourgeonnèrent de tous les côtés. Cette langue futuriste devrait selon les experts rapidement se propager, et garde le nom traditionnel de néo-québécois. | Le concept initial fut rapidement dépassé par l'ampleur du mouvement et de nouvelles ramures étymologiques bourgeonnèrent de tous les côtés. Cette langue futuriste devrait selon les experts rapidement se propager, et garde le nom traditionnel de néo-québécois. | ||
== Exemples == | == Exemples == | ||
Ligne 28 : | Ligne 28 : | ||
''* Je vais approfondir le métro'' (Jamiroquai) | ''* Je vais approfondir le métro'' (Jamiroquai) | ||
''* En criss with | ''* En criss with moustachent'' (formule de politesse) | ||
''* Damn | ''* Damn portierre, sounds like pineusse.'' (poncif éculé) | ||
''* Win the yes, need the no, to win. again the no !'' ([[Rastaffarin]]) | ''* Win the yes, need the no, to win. again the no !'' ([[Rastaffarin]]) |
Version du 9 avril 2008 à 09:05
Origine
En 2008, faisant face à l'affront historique que constitue le vol de la langue française par les québécois, suivi de sa séquestration avec torture et actes de barbarie, et ce durant plus de 500 ans, Charles Saucisse, alors président de la république Française, avec le soutien de Rooston Svelte et de l'artiste Gérard Cognet, organise le rapt du québécois pour le massacrer à titre de juste et légitime vengeance. Si le massacre orchestré par les québécois se situait principalement au niveau des expressions et de l'utilisation improbable de mots existants, le néo-québécois agit majoritairement au niveau phonétique et orthographique, riposte d'autant plus perverse.
Google s'engagea très rapidement dans le néo-québécois de manière active en intégrant des traducteurs Foreign to Néo-québécois sur tous leurs outils.
Le concept initial fut rapidement dépassé par l'ampleur du mouvement et de nouvelles ramures étymologiques bourgeonnèrent de tous les côtés. Cette langue futuriste devrait selon les experts rapidement se propager, et garde le nom traditionnel de néo-québécois.
Exemples
* Bonjours !
* Salut sa feel ? -En criss pantoute pis toi ? -Unpire, unpire
* J'aime bien les briochent
* Je vous het
* Funérailles de hamster ! (juron populaire)
* Bande de salopent
* Now that the Love is gone (David Guetta)
* Phoque date chite, je ne donne pas une baise
* Je vais approfondir le métro (Jamiroquai)
* En criss with moustachent (formule de politesse)
* Damn portierre, sounds like pineusse. (poncif éculé)
* Win the yes, need the no, to win. again the no ! (Rastaffarin)
Le saviez-tu ?
On trouve souvent du néo-québécois sur la désencyclopédie, mais ça n'est généralement pas intentionnel.