« Maurice Paponce-Pilate » : différence entre les versions

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Célèbre délateur, fan frustré de [[Jesus de Bite]]. Souvent confondu avec [[Boris Quinconce "Pirate"]], égérie pop seventies des matelots pinés-haut de la [[Tare-Académie III]], Maurice est né avec une salopette de mécano qui pue-du-cul.
Célèbre délateur, fan frustré de [[Jesus de Bite]], Maurice Paponce-Pilate s'agit dans la touffe champignonnée de sa mère pendant trente-deux ans, gestation record, avant d'en sortir le groin en 0 après et avant lui. Membre émérite, inique et turgescent de l'[[Etat Français]] pendant la [[Guerre Froide de l'Espace]], il entame rapidement des études de plomberie analytique pour dénicher son [[identité]] de la [[chatte]] méandreuse de sa pouilleuse de mère, avant de se lancer dans la [[vie politique française]] auprès du [[Maréchal Nouvouala]].


Parfois confondu avec [[Boris Quinconce "Pirate"]], égérie des matelots pinés-haut de la [[Star Academy]], Maurice est le premier représentant du genre Homo-Sapin. Sa salopette de mécano qui pue du cul est en fait sa peau. On le dit vilain.


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http://www.gamerevolution.com/oldsite/games/ps2/action/celebrity_deathmatch_ron.jpg <br>
Maurice Paponce-Pilate en plein spectale de statue vivante, non [[loin]] de la [[fontaine du Chapelet]].


Maurice Paponce-Pilate en plein spectale de statue vivante, non [[loin]] de la [[fontaine du Chapelet]].


== Faits marquants ==
== Faits marquants ==


0    : Maurice nait dans un trou de MontCuq.
0    : Naissance de Maurice dans un trou de MontCuq.<br>
10  : dix ans plus tard.<br>
20  : dix ans plus tard.<br>
30  : dix ans plus tard.<br>
40  : dix ans plus tard.<br>
50  : dix ans plus tard.<br>
60  : dix ans plus tard.<br>
70  : Disparition de Maurice. Dans sa niche il prononcera ces derniers mots : "je m'en bave les reins, tas de ch'ti poliomyélites.", d'où l'expression.<br>
71  : Réapparition furtive de Maurice au cours d'une soirée revival Stooges.<br>
71, 2e jour :  Puis redisparition après une orgie de raisins-sec/cahuettes/pina-colada/dirty-martini au macumba.
Septente-deux : invasion de la [[Belgique]] par les [[frites]].<br>
63 : dix ans plus tard.<br>


10  : dix ans plus tard.


20  : dix ans plus tard.
=== Nota Bene ===


=== Nota Bene ===
* Maurice Paponce-Pilate n'est pas la tante de [[Marion Brosse]], ni son [[furoncle]].


Maurice Paponce-Pilate n'est pas la tante de [[Mario Bosse]], ni son furoncle.
* Ne pas confondre avec : [[Maurice Philipon|Maurice Philiponce-Colon]] et [[Jean-Pierre Papon]].

Version actuelle datée du 3 octobre 2007 à 08:10

Célèbre délateur, fan frustré de Jesus de Bite, Maurice Paponce-Pilate s'agit dans la touffe champignonnée de sa mère pendant trente-deux ans, gestation record, avant d'en sortir le groin en 0 après et avant lui. Membre émérite, inique et turgescent de l'Etat Français pendant la Guerre Froide de l'Espace, il entame rapidement des études de plomberie analytique pour dénicher son identité de la chatte méandreuse de sa pouilleuse de mère, avant de se lancer dans la vie politique française auprès du Maréchal Nouvouala.

Parfois confondu avec Boris Quinconce "Pirate", égérie des matelots pinés-haut de la Star Academy, Maurice est le premier représentant du genre Homo-Sapin. Sa salopette de mécano qui pue du cul est en fait sa peau. On le dit vilain.

celebrity_deathmatch_ron.jpg
Maurice Paponce-Pilate en plein spectale de statue vivante, non loin de la fontaine du Chapelet.


Faits marquants

0  : Naissance de Maurice dans un trou de MontCuq.
10  : dix ans plus tard.
20  : dix ans plus tard.
30  : dix ans plus tard.
40  : dix ans plus tard.
50  : dix ans plus tard.
60  : dix ans plus tard.
70  : Disparition de Maurice. Dans sa niche il prononcera ces derniers mots : "je m'en bave les reins, tas de ch'ti poliomyélites.", d'où l'expression.
71  : Réapparition furtive de Maurice au cours d'une soirée revival Stooges.
71, 2e jour : Puis redisparition après une orgie de raisins-sec/cahuettes/pina-colada/dirty-martini au macumba. Septente-deux : invasion de la Belgique par les frites.
63 : dix ans plus tard.


Nota Bene