« Art colonial » : différence entre les versions
Ligne 16 : | Ligne 16 : | ||
Par des étrons gigantesques, les [[poète]]s affirment que l'art colonial est un art parfait. Il suffit de voir l'ampleur démesurée de la création des plus grands poètes coloniaux tels que [[François Sassenpala]] ou encore les artistes des [[nouvelles textualités]] qui se font, de manière volontaire, [[poncer le colon]] afin d'être plus créatifs. | Par des étrons gigantesques, les [[poète]]s affirment que l'art colonial est un art parfait. Il suffit de voir l'ampleur démesurée de la création des plus grands poètes coloniaux tels que [[François Sassenpala]] ou encore les artistes des [[nouvelles textualités]] qui se font, de manière volontaire, [[poncer le colon]] afin d'être plus créatifs. | ||
Version du 24 juillet 2007 à 21:59
Art du colon, précurseur de la journée, éphémère de par sa propension à partir dans la cuvette ou à se faire bouffer par les mouches - qui s'y connaissent.
On note plusieurs mouvements dans l'art colonial :
L'art colonial du matin
Créé en général après le café dans un estomac vide, celui s'avère bien souvent mou et sans consistance. Il est très répandu chez les travailleurs à plein temps qui s'adonnent à ce type d'art de façon amateur. Les plus grands artistes coloniaux du matin sont en général caféïnomanes.
Artistes coloniaux du matin: Bob Ardkor, Cognet, Golombe
L'art colonial du macdo
Se caractérise par sa consistance compacte et sa création rapide. Son aspect à priori plaisant n'est en réalité qu'une illusion : ces sculptures sont creuses et dénuées d'intérêt.
L'art colonial des poètes
Par des étrons gigantesques, les poètes affirment que l'art colonial est un art parfait. Il suffit de voir l'ampleur démesurée de la création des plus grands poètes coloniaux tels que François Sassenpala ou encore les artistes des nouvelles textualités qui se font, de manière volontaire, poncer le colon afin d'être plus créatifs.