« Emil Kostadinov » : différence entre les versions

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Emil Kostadinov inventa les [[chien]]s, flau des [[socit]]s modernes. Accessoirement [[cousin]] d'un des fondateurs de [[Google]].


Int�gre [[Le Club des Cinq]] en [[1895]]
Remarquablement perspicace, Emil Kostadinov ,[[cousin]] d'un des fondateurs de [[Google], est le premier homme à s'être élevé contre Pétain, qu'il combattra dès [[1914]] dans les rangs de la Wehrmacht.
 
[[Avocat]] des bébés-phoques, il crée dès [[1940]] la Société Protectrice des Avocats de Bébés-phoques qui, en [[1945]], s'élèvera avec passion contre les lois interdisant la chasse aux bébés-phoques sur [[le internet]], qui risquaient de mener à la ruine son petit commerce.
 
Brièvement emprisonné pour avoir ensemencé de maïs transgénique les rives de [[Paris]]-Plage, mais gracié pour services rendus à l'apatrie, il milite un temps pour la parité dans l'esclavage et la légalisation de la [[chouflorine]]. Le [[grand public]] boudant ces prises de position originales, il revient alors à sa passion première, déclarant à la [[Presse people ]] en [[1968]] : "un bon bébé-phoque mort est un bébé-phoque mort dans ma circonscription".
 
'''Le saviez-tu ?'''
 
* 15 pour 100 des impôts perçus en [[2004]] ont indirectement fini dans les poches de Maître Egolas.
* Selon [[Nostradanus]], Maître Egolas sera à l'origine de la [[Mort de Ardkorpedia]].
 
Intégre [[Le Club des Cinq]] en [[1895]]
 
[[Category:Gens]]

Version du 22 mars 2007 à 22:39

Remarquablement perspicace, Emil Kostadinov ,cousin d'un des fondateurs de [[Google], est le premier homme à s'être élevé contre Pétain, qu'il combattra dès 1914 dans les rangs de la Wehrmacht.

Avocat des bébés-phoques, il crée dès 1940 la Société Protectrice des Avocats de Bébés-phoques qui, en 1945, s'élèvera avec passion contre les lois interdisant la chasse aux bébés-phoques sur le internet, qui risquaient de mener à la ruine son petit commerce.

Brièvement emprisonné pour avoir ensemencé de maïs transgénique les rives de Paris-Plage, mais gracié pour services rendus à l'apatrie, il milite un temps pour la parité dans l'esclavage et la légalisation de la chouflorine. Le grand public boudant ces prises de position originales, il revient alors à sa passion première, déclarant à la Presse people en 1968 : "un bon bébé-phoque mort est un bébé-phoque mort dans ma circonscription".

Le saviez-tu ?

  • 15 pour 100 des impôts perçus en 2004 ont indirectement fini dans les poches de Maître Egolas.

Intégre Le Club des Cinq en 1895