« Union pour le réchauffement climatique » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
L'Union Pour Le Réchaufement Climatique est une association à but lucratif | L'Union Pour Le Réchaufement Climatique est une association à but lucratif | ||
dont le but est de gagner de l'argent. | dont le but est de gagner de [[l'argent]]. | ||
Le XIème congrès de UPRF s'est tenu à Coleville-sur-Mer en 2007 uniquement | Le XIème congrès de UPRF s'est tenu à Coleville-sur-Mer en 2007 uniquement | ||
| Ligne 20 : | Ligne 20 : | ||
Les UPRFistes fucking modérés l'emportèrent faisant valoir que leurs propriétés | Les UPRFistes fucking modérés l'emportèrent faisant valoir que leurs propriétés | ||
du Puis de Dôme acquises à vil prix devaient d'abord pouvoir être revendues | du Puis de Dôme acquises à vil prix devaient d'abord pouvoir être revendues | ||
à prix d'or à des anglo-saxons lorsqu'elles seraient en bord de mer. | à prix d'or à des [[anglo-saxons]] lorsqu'elles seraient en bord de mer. | ||
Version du 19 novembre 2007 à 18:23
L'Union Pour Le Réchaufement Climatique est une association à but lucratif dont le but est de gagner de l'argent.
Le XIème congrès de UPRF s'est tenu à Coleville-sur-Mer en 2007 uniquement pour pouvoir savourer le plaisir indicible d'observer cette ville avant qu'elle ne finisse sous le niveau de la mer. Là oû elle appartient.
La ligne modérée de l'UPRM a fait voter sa motion demandant une accélération plus franche du réchauffement en question, faisant valoir que ça trainait un peu depuis le temps qu'on en parle.
"On paie nos impôts, on veut des résultats tangibles, pas des paroles" conclua le leader de cette ligne, la célèbre Martine (5 ans).
La ligne dure avait déposé une mention exigeant une élévation du niveau de la mer de 5.7%/an (hors TVA) pendant 1954 années consécutives ainsi que la reformation du continent unique du Gondwana, disparu à l'époque idéale du haut Précambrien ancien.
Les UPRFistes fucking modérés l'emportèrent faisant valoir que leurs propriétés du Puis de Dôme acquises à vil prix devaient d'abord pouvoir être revendues à prix d'or à des anglo-saxons lorsqu'elles seraient en bord de mer.