« Seille (commune libre de-) » : différence entre les versions
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Mauvais �tat dans le mauvais �tat, tous ses points frontaliers sont � �quidistance du centre-ville, fois [[Pi]]. On l'appelle Reviens, mais elle n'ob��t que quand �a lui chante. | Mauvais �tat dans le mauvais �tat, tous ses points frontaliers sont � �quidistance du centre-ville, fois [[Pi]]. On l'appelle Reviens, mais elle n'ob��t que quand �a lui chante. | ||
= Economie, la solution � tous vos soucis d'argent == | == Economie, la solution � tous vos soucis d'argent == | ||
Gard�e par deux gigantesques [[Yorkshire]] de granite rose, la Mairie de [[Seille]], plusieurs fois d�construite par Derrida avant, pendant et apr�s la guerre, est le si�ge d'une intense et moderne agriculture sous turbon�ons. On y cultive la sinc�rit� dans des pots en terre cuite de deux m�tres surtout. Les quelques voyageurs qui ont r�ussi � en revenir d�crivent un poulailler sans int�r�t jouxtant une fa�ade jaune ET AUSSI une atmosph�re irrespirable compos�e en majeure partie d'[[anxiog�ne liquide]]. En [[2005]], un trait� de paix avec la R�publique de [[l'Estak]] est sign� par les diplomates au marqueur orange du doux nom de "[[Babar]]" : il interdit aux [[�l�phants]] de plonger de plus des collines de plus 30 m�tres de haut ; la population se plaignait en effet depuis plusieurs ann�es de trop fr�quents [[d�bordements]]. | Gard�e par deux gigantesques [[Yorkshire]] de granite rose, la Mairie de [[Seille]], plusieurs fois d�construite par Derrida avant, pendant et apr�s la guerre, est le si�ge d'une intense et moderne agriculture sous turbon�ons. On y cultive la sinc�rit� dans des pots en terre cuite de deux m�tres surtout. Les quelques voyageurs qui ont r�ussi � en revenir d�crivent un poulailler sans int�r�t jouxtant une fa�ade jaune ET AUSSI une atmosph�re irrespirable compos�e en majeure partie d'[[anxiog�ne liquide]]. En [[2005]], un trait� de paix avec la R�publique de [[l'Estak]] est sign� par les diplomates au marqueur orange du doux nom de "[[Babar]]" : il interdit aux [[�l�phants]] de plonger de plus des collines de plus 30 m�tres de haut ; la population se plaignait en effet depuis plusieurs ann�es de trop fr�quents [[d�bordements]]. | ||