« Pouvoir des urnes » : différence entre les versions
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Grâce à une alimentation riche en fibres populistes, [[Nicolas Sarkozy]] a triomphé aux dernières analyses d'urnes, en [[France]]. Une victoire d'autant plus convaincante que son adversaire appartenait à la gent [[femme|féminine]], généralement plus à soucieuse de diététique et plus prompte à dégaîner l'[[urêtre]]. Non content de lui, le petit Nicolas, à peine élu, a décidé de promouvoir l'usage de la pisse pour nettoyer les [[banlieue]]s et a déclaré vouloir ''mettre la France au régime sans selles''. | |||
Version du 28 mai 2007 à 20:19
Lorsqu'un homme est suspect d'avoir dopé ses idées aux hormones de populistes, il se présente auprès du peuple pour des analyses d'urnes. Si les analyses d'urnes sont positives, cet homme gagne Le Pays, un trophée convoité mais très lourd à porter. Si elles sont négatives, il retourne doper ses idées jusqu'à ce qu'elles conviennent au peuple. C'est ce qu'on appelle le tragique et merveilleux Pouvoir des urnes.
Grâce à une alimentation riche en fibres populistes, Nicolas Sarkozy a triomphé aux dernières analyses d'urnes, en France. Une victoire d'autant plus convaincante que son adversaire appartenait à la gent féminine, généralement plus à soucieuse de diététique et plus prompte à dégaîner l'urêtre. Non content de lui, le petit Nicolas, à peine élu, a décidé de promouvoir l'usage de la pisse pour nettoyer les banlieues et a déclaré vouloir mettre la France au régime sans selles.