« Juif » : différence entre les versions

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S'il n'y en avait pas, les antis�mites s'emmerderaient copieusement.
S'il n'y en avait pas, les antis�mites s'emmerderaient copieusement.
''Nous recevons d'ailleurs un antisémite militant, Antoine Hummel bonjour.''
Bonjour
''Vous avez fait paraître aux Presses Uni-versitaires de France "''Les Juifs j'aime pas ça''" puis, radicalisant un propos un peu tiède, aux Presses Gud-iversitaires Aryennes "''Les Juifs je déteste carrément ça limite je suis allergique''". Enfin, vous venez de publier aux Presses Identitaires de France "''Ils ont les doigts longs et les dents aiguisées''". D'où remonte cette puissante animosité dans laquelle vous puisez votre talent ?''
Mon aversion pour les youpins remonte à ma plus tendre enfance ; elle a pour origine la mort de mon père, le lieutenant Huberhauser, mort sous des balles juives au cours d'une opération nazie visant à libérer le Ghetto de Varsovie de la présence juive. Depuis, voyez-vous, je considère le Juif comme un être franchement inférieur, peut-être même inférieur aux Poitevins, ce qui vous donne une idée du niveau de vulgarité où je les place. Il ne s'agit pas, dans mes ouvrages, de régler des comptes personnels avec le peuple sémite, mais d'analyser froidement, avec conviction tout de même car je ne suis pas un homme que le commerce et le profit corrompent, ce que l'apport juif a de pervers dans nos sociétés contemporaines et notamment le manque à gagner pour EDF tous les samedis
Merci Antoine Hummel pour cet éclaircissement, car, vous serez d'accord avec moi pour dire qu'un homme averti vaut deux Juifs.
Tout à fait, c'est d'ailleurs le propos central de mon oeuvre.

Version du 15 septembre 2005 à 00:06