Christian Sépulcre

Sa vie, son oeuvre, son foulard

Né à une époque difficle ou 102,3% des femmes de la planète étaient stériles de mère en fille, le jeune Christian, appellé alors Eugénie, vient au monde dans une famille du Larzac, à 23 kilomètres de New-York (Belgique).

Initié très tôt aux joies de la chasse au ligre ardéchois, du bizutage d'asperges et de la sculpture sur bois, Christian, nommé dans sa tendre enfance Bérénice (en hommage à l'acteur Bérénice Denysse) s'épanouit.

A 46 ans, la tête pleine de rêves d'enfant, il part s'installer à Bogota (Belgique) avec son demi-frère maternel Eustache Petrofier. A la faculté de Peines Appliquées, il suit les cours du Professeur Cointreau-Nenfault, hystérithérapute et rongeur d'ongles agréé de l'université de Palourde-en-Jarret (Californie).

Le matin de ses trente ans, Chrsitian se réveille nu et ivre mort dans la forêt bordant l'autoroute Bogota-Jusse-sur-Bivouac. Couvert de terre, de guano d'aigle et de son propre vomi, il prend soudain conscience de sa véritable vocation: il sera charpentier-philosophe.

Actuellement, il vit à Bogota avec son demi-frère et l'aide dans sa campagne publicitaire. Christian Sépulcre est mondialement reconnu comme meilleur sculpteur-panoramiste sur bois de Sapine Oku, le célèbre sapin grec.

Ses citations célèbres

Malheureusement muet suite à un accident de chaise, Christian Sépulcre n'a jamais rien dit d'intéressant.