« Ça vous brûle jamais l'anus quand vous baisez et que vous allez pisser juste après sans avoir complètement débandé ? Non parce que moi, si. » : différence entre les versions

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[[Antoine Hummel]] �tait un [[homme]] d'environ cinquante ans : de l'esprit, un caractere foible et irascible a l'exces, g�n�reux sans bornes, peu attach� a la fortune, bon [[ami]], bon [[amant]], fier [[Cheval|destrier]], faible �jaculateur. Plus de vingt mille individus de tout [[sexe]] et de tout �ge g�missaient, par ses ordres, dans les diff�rentes forteresses royales dont la [[R�publique D�mocratique de France|France]] �tait dot�e; et parmi ces vingt mille �tres, me disait-il un jour plaisamment, je te jure qu'il n'en est pas un seul de coupable. [[Charles VIII Ah Le Con]] �tait �galement du souper ; ce ne fut qu'en entrant que [[Pierre Fiala]] m'en pr�vint.
== Comment cracker le mot de passe d'une adresse hotmail ==


- Tu dois, me dit-il, les m�mes �gards � ce personnage-ci qu'� l'autre ; il n'y a pas douze heures qu'il �tait ma�tre de ta [[vie]], tu sers de d�dommagement aux �gards qu'il a eus pour toi ; pouvais-je le mieux acquitter ?
[[Antoine Hummel]] �tait un [[homme]] d'environ cinquante ans : de l'esprit, un caract�re foible et irascible a l'exces, g�n�reux sans bornes, peu attach� a la fortune, bon [[ami]], bon [[amant]], fier [[Cheval|destrier]], faible �jaculateur pr�coce. Plus de vingt mille individus de tout [[sexe]] et de tout �ge g�missaient, par ses ordres, dans les diff�rentes forteresses royales dont la [[R�publique D�mocratique de France|France]] �tait dot�e; et parmi ces vingt mille �tres, me disait-il un jour plaisamment, je te jure qu'il n'en est pas un seul de coupable. [[Charles VIII Ah Le Con]] �tait �galement du souper ; ce ne fut qu'en entrant que [[Pierre Fiala]] m'en pr�vint.


Quatre [[femme]]s charmantes composaient, avec [[Martine]] et moi, le s�rail offert ces messieurs. Ces cr�atures, [[pucelle]]s encore, �taient du choix de la Duvergier. On nommait �gl�e la plus [[Djeunz|jeune]], blonde, �g�e de treize ans et d'une figure enchanteresse. Lolotte suivait, c'�tait la physionomie de Flore m�me ; on ne vit jamais tant de fra�cheur ; � peine avait-elle quinze ans. Henriette en avait seize, et r�unissait � elle seule plus d'attraits que les po�tes n'en pr�t�rent jamais aux trois Gr�ces. Lindane avait dix-sept ans ; elle �tait faite � peindre, des yeux d'une singuli�re expression, et le plus beau corps qu'il f�t possible de voir.
- Tu dois, me dit-il, les m�mes �gards ce personnage-ci qu'� l'autre ; il n'y a pas 12 heures qu'il �tait ma�tre de ta [[vie]], tu sers de d�dommagement aux �gards qu'il a eus pour toi ; pouvais-je le mieux acquitter qu'en te demandant de [[pirater un compte Hotmail|pirater son compte hotmail]] ?
Six jeunes gar�ons, de quinze ans, nous servaient nus et coiff�s en [[femme]]s : chacun des libertins qui composaient le souper avait, ainsi que vous le voyez par cet arrangement, quatre objets de luxure � ses ordres : deux femmes et deux gar�ons. Comme aucun de ces individus n'�tait encore dans le salon lorsque j'y parus, d'Albert et Saint-Fond, apr�s m'avoir embrass�e, cajol�e, lou�e pendant un quart d'heure, me plaisant�rent sur mon aventure.


- C'est une charmante petite [[pute]], dit Noirceuil, et qui, par la soumission la plus aveugle aux passions de ses juges, vient les remercier de la [[vie]] qu'elle leur doit.
== La revanche du sexe avec des animaux ==


- J'aurais �t� bien f�ch� de la lui �ter, dit d'Albert : ce n'est pas pour [[rien]] que Th�mis porte un bandeau ; et vous m'avouerez que, quand il s'agit de juger de jolis petits �tres comme ceux-l�, nous devons toujours l'avoir sur les yeux.
Quatre [[femme]]s charmantes composaient, avec [[Martine]] et [[p�dophile|moi]], le s�rail offert � ces messieurs. Ces cr�atures, [[pucelle]]s encore, �taient des pirates informatiques du choix de la Duvergier. On nommait �gl�e la plus [[Djeunz|jeune]], blonde, �g�e de treize ans et d'une figure enchanteresse. Lolotte suivait, c'�tait la physionomie de Flore m�me ; on ne vit jamais tant de fra�cheur ; � peine avait-elle quinze ans. Henriette en avait seize, et r�unissait � elle seule plus d'attraits que les [[po�te]]s n'en pr�t�rent jamais aux trois Gr�ces. Lindane avait dix-sept ans ; elle �tait faite � peindre, des yeux d'une singuli�re expression, et le plus beau corps qu'il f�t possible de voir.


- Je lui promets pour sa [[vie]] l'impunit� la plus enti�re, dit Saint-Fond ; elle peut faire absolument tout ce qu'elle voudra, je lui proteste de la prot�ger dans tous ses �carts et de la venger, comme elle l'exigera, de tous ceux qui voudraient troubler ses plaisirs, quelque criminels qu'ils puissent �tre.
Six jeunes hackers, de quinze ans, nous servaient nus et coiff�s en [[femme]]s : chacun des libertins qui composaient le souper avait, ainsi que vous le voyez par cet arrangement, quatre objets de luxure � ses ordres : deux femmes et deux gar�ons. Comme aucun de ces individus n'�tait encore dans le salon lorsque j'y parus, [[Pierre Fiala]] et [[Charles VIII Ah Le Con]], apr�s m'avoir embrass�e, cajol�e, lou�e pendant un quart d'heure, me plaisant�rent sur mon aventure.


- Je lui en jure autant, dit d'Albert ; je lui promets, de plus, de lui faire avoir demain une lettre du chancelier qui la mettra � l'abri de toutes les poursuites qui, par tel tribunal que ce soit, pourraient �tre intent�es contre elle dans toute l'�tendue de la [[R�publique D�mocratique de France|France]]. Mais, Saint-Fond, j'exige quelque chose de plus ; tout ce que nous faisons ici n'est qu'absoudre le crime, il faut l'encourager : je te demande donc des brevets de pensions pour elle, depuis deux mille francs jusqu'� vingt-cinq, en raison du crime qu'elle commettra.
== Une bien �trange [[Star Academy|Star Academy nue]] ==


- [[Martine]], dit Noirceuil, voil� je crois de puissants motifs, et pour donner � tes passions toute l'extension qu'elles peuvent avoir, et pour ne nous cacher aucun de tes �carts. Mais il en faut convenir, messieurs, poursuivit aussit�t mon amant sans me donner le [[temps]] de r�pondre, vous faites l� un merveilleux usage de l'autorit� qui vous est confi�e par les lois et par le monarque.
- C'est une charmante petite [[pute]], dit [[Charles VIII Ah Le Con]], et qui, par la soumission la plus aveugle aux passions de ses juges, vient les remercier de la [[vie]] qu'elle leur doit.


- Le meilleur possible, r�pondit Saint-Fond ; on n'agit [[jamais]] mieux que lorsqu'on travaille pour soi ; cette autorit� nous est confi�e pour faire le bonheur des [[homme]]s : n'y travaillons-nous pas en faisant le n�tre et celui de cette aimable [[enfant]] ?
- J'aurais �t� bien f�ch� de la lui �ter, dit [[Pierre Fiala]] : ce n'est pas pour [[rien]] que Th�mis porte un bandeau ; et vous m'avouerez que, quand il s'agit de juger de jolis petits �tres comme ceux-l�, nous devons toujours l'avoir sur les yeux.


- En nous rev�tant de cette autorit�, dit d'Albert, on ne nous a pas dit : vous ferez le bonheur de tel ou tel individu, abstractivement de tel ou tel autre ; on nous a simplement dit : les pouvoirs que nous vous transmettons sont pour faire la f�licit� des hommes ; or, il est impossible de rendre tout le monde �galement heureux ; donc, d�s qu'il en est parmi nous quelques-uns de contents, notre but est rempli.
- Je lui promets pour sa [[vie]] l'impunit� la plus enti�re, dit [[Charles VIII Ah Le Con]] ; elle peut faire absolument tout ce qu'elle voudra, je lui proteste de la prot�ger dans tous ses �carts et de la venger, comme elle l'exigera, de tous ceux qui voudraient troubler ses plaisirs, quelque criminels qu'ils puissent �tre.


- Mais, dit Noirceuil, qui ne controversait que pour mieux faire briller ses amis, vous travaillez pourtant au malheur g�n�ral en sauvant la coupable et perdant l'innocent.
- Je lui en jure autant, dit [[Pierre Fiala]] ; je lui promets, de plus, de lui faire avoir demain une lettre du chancelier qui la mettra � l'abri de toutes les poursuites qui, par tel tribunal que ce soit, pourraient �tre intent�es contre elle dans toute l'�tendue de la [[R�publique D�mocratique de France|France]]. Mais, [[Antoine Hummel]], j'exige quelque chose de plus ; tout ce que nous faisons ici n'est qu'absoudre le crime, il faut l'encourager : je te demande donc des brevets de pensions pour elle, depuis deux mille francs jusqu'� vingt-cinq, en raison du crime qu'elle commettra.


- Voil� ce que je nie, dit Saint-Fond ; le [[vice]] fait beaucoup plus d'heureux que la [[vertu]] : je sers donc bien mieux le bonheur g�n�ral en prot�geant le vice qu'en r�compensant la vertu.
- [[Martine]], dit [[Charles VIII Ah Le Con]], voil� je crois de puissants motifs, et pour donner � tes passions toute l'extension qu'elles peuvent avoir, et pour ne nous cacher aucun de tes �carts. Mais il en faut convenir, messieurs, poursuivit aussit�t mon amant sans me donner le [[temps]] de r�pondre, vous faites l� un merveilleux usage de l'autorit� qui vous est confi�e par les lois et par le monarque. Je, mais, ne, arrh ...


- Voil� des syst�mes bien dignes de [[coquin]]s comme vous ! dit [[BobArdKor]].
== La sonnerie de t�l�phone portable avait un furoncle ==


- Mon [[ami]], dit [[Error]], puisqu'ils font aussi votre joie, ne vous en plaignez point.
- ... Ahahah. Halte-l� ; le meilleur possible, r�pondit [[Antoine Hummel]] ; on n'agit [[jamais]] mieux que lorsqu'on travaille pour soi ; cette autorit� nous est confi�e pour faire le bonheur des [[homme]]s : n'y travaillons-nous pas en tuant des [[enfant]]s moches ?


- Vous avez raison, dit Noirceuil ; il me semble, au surplus, que nous devrions un peu plus agir que jaser. Voulez-vous [[Martine]] seule un moment, avant que l'on n'arrive ?
- En nous rev�tant de cette autorit�, dit [[Pierre Fiala]], on ne nous a pas dit : vous ferez le bonheur de tel ou tel individu, abstractivement de tel ou tel autre ; on nous a simplement dit : les pouvoirs que nous vous transmettons sont pour faire la f�licit� des hommes ; or, il est impossible de mettre sur chaque bulletin de bonnes appr�ciations, surtout en maths ; donc, d�s qu'il en est parmi nous quelques-uns de contents, notre but est rempli, mais si fait, excusez-moi donc car voici que sonne mon t�l�phone portable.


- Non, pas moi, dit [[JeRe]], je ne suis nullement curieux des t�te-�-t�te, j'y suis d'un [[gauche]]... L'extr�me besoin que j'ai d'�tre toujours aid� dans ces choses-l� fait que j'aime autant patienter jusqu'� ce que tout le [[monde]] y soit.
- Mais, l'interrompit [[Antoine Hummel]], ne dit-on pas cellulaire ?


- Je ne pense pas tout � fait ainsi, dit Saint-Fond, et je vais entretenir un instant Juliette au fond de ce boudoir.
- Oui-da, en Suisse, le corrigea [[Charles VIII Ah Le Con]], mais � moins que vous n'y soyez oppos�, Pierre parle la langue de son [[peuplature|peuple]].
A peine y f�mes-nous, que Saint-Fond m'engagea � me mettre nue. Pendant que j'ob�issais :


- On m'a assur�, me dit-il, que vous seriez d'une complaisance aveugle � mes fantaisies ; elles r�pugnent un peu, je le sais, mais je compte sur votre reconnaissance. Vous savez ce que j'ai fait pour vous, je ferai plus encore : vous �tes m�chante, vindicative ; eh bien, poursuivit-il en me remettant six lettres de cachet en [[blanc]] qu'il ne s'agissait plus que de remplir pour faire perdre la [[libert�]] � qui bon me semblerait, voil� pour vous amuser ; prenez, de plus, ce diamant de mille louis, pour payer le plaisir que j'ai de faire connaissance avec vous ce soir... Prenez, prenez, tout cela ne me co�te rien : c'est l'argent de l'�tat.
- Certes, rench�rit [[Antoine Hummel|Antoine]] qui ne controversait que pour mieux faire briller ses amis, vous travaillez pourtant au malheur g�n�ral en savatant des [[enfant|gosses]] � longueur de journ�es avec vos bites toujours-d�j� baveuses, et votre logo de t�l�phone portable gratuit mais r�pugnant ; de sus, il appert que votre sonnerie est d'une telle disgr�ciosit� qu'on en viendrait � inventer des mots pour la qualifier.


- En [[v�rit�]], monseigneur, je suis confuse de vos bont�s.
- Voil� ce que je nie, dit [[Charles VIII Ah Le Con]] ; le [[vice]] fait beaucoup plus d'heureux que la [[vertu]] : je sers donc bien mieux le bonheur g�n�ral en savatant des [[enfant|gosses]] qu'en les f�licitant ; par ailleurs, et c'est ici hors de propos, je ne peux pas vous forcer � aimer Stockhausen.
 
- Voil� des r�f�rences bien dignes de [[coquin]]s comme vous ! dit [[BobArdKor]].
 
- Mon [[ami]], dit [[Error]], puisqu'elles font aussi votre joie, ne vous en plaignez point, hin hin hin.
 
- Vous avez raison, dit [[Antoine Hummel]] ; il me semble, au surplus, que nous devrions un peu plus agir que jaser, car nous ne sommes pas encore �g�s � g�sir. Voulez-vous [[Martine]] seule un moment, avant que l'on n'arrive ?
 
- Non, pas moi, dit [[JeRe]], je ne suis nullement curieux des t�te-�-queues, j'y suis d'un [[gauche]]... L'extr�me besoin que j'ai d'�tre toujours aid� dans ces choses-l� fait que j'aime autant patienter jusqu'� ce que tout le [[monde]] y soit.
 
- Je ne pense pas tout � fait ainsi, dit [[Charles VIII Ah Le Con]], et je vais entretenir un instant Juliette au fond de ce boudoir.
 
A peine y f�mes-nous, que [[Charles VIII Ah Le Con]] m'engagea � me mettre nue. Pendant que j'ob�issais :
 
- On m'a assur�, me dit-il, que vous seriez d'une complaisance aveugle � mes fantaisies ; elles r�pugnent un peu, je le sais, mais je compte sur votre reconnaissance. Vous savez ce que j'ai fait pour vous, je ferai plus encore : vous �tes m�chante, vindicative ; eh bien, poursuivit-il en me remettant six lettres de cachet en [[blanc]] qu'il ne s'agissait plus que de remplir pour faire perdre la [[libert�]] � qui bon me semblerait, voil� pour vous amuser ; prenez, de plus, ce diamant de mille louis, pour payer le plaisir que j'ai de faire connaissance avec vous ce soir... Prenez, prenez, tout cela ne me co�te rien : c'est l'argent de la publicit� sur [[internet]].
 
- En [[v�rit�]], Monseigneur, je suis confuse de vos bont�s.
 
 
[[Cat�gorie:Litt�rature]][[Cat�gorie:Po�sie]]

Version actuelle datée du 18 novembre 2006 à 23:56