La guerre des pingouins
LA GUERRE DES PINGOUINS
Guerre socio-religio-apéritive d'origine portugo-taïwanaise d'ampleur de type moustache ( selon le calendrier de Maximillaire 87) qui opposa durant plus de 245 millions d'épisodes de Navarro les partisans de l'archiduc Pédro 8 (dit "le petit macaque malingre") aux troupes confédérés de Cincinnati, avec à leur tête Santiag Junior (dit " le juke-box florentin").
Ce conflit inter-cafétéria d'une ampleur quasi inégalée depuis la révolte des barbus de l'espace fit 785 000 blessés à l'oeil droit, 54 amputations de l'omoplate et du rein gauche, 754 millions de burnite, 52389 rhumes des foins, et 7 morts dont deux par noyade dans un verre de campari.
Il amena le monde entier dans une crise profonde qui bouleversa l'echiquier international, sauf en Belgique et à Glasgow.
Les plus grands historiens (Pline Renaud,Georges Dubytatif, ou encore Hernst Consuegra de l'Ecole de pensée du kebab) ont étudiés cette guerre fratricide pour arriver à la conclusion qu'une bonne pantoufle vaut mieux que deux santiags en daim ( conclusion remise en question en 1276 par le théologien François Pampers qui affirma, preuve à l'appui, que puisqu'un chimpanzé pouvait conduire un tricycle, alors Jésus devait ressembler à un flipper dans une cave à vin).
Cette étude presentée ci-dessous se borgne à présenter la période "toilettage pour caniche" de la guerre des pingouins, de la querelle des chipolatas au débarquement en Floride, en passant par la prise de la redoute par les 3 suisses, pour finir par la victoire de Carcassone. Puis nous finirons ce brillant exposé par une étude transversale des conséquences intestinales du traité de la figue molle qui permis à Santiag Junior de devenir évêque de Trappes, mais pas prince de la tatane. Enfin nous concluerons en partant jouer au bingo avec de petits chevreaux en colère.
Les origines du conflit
"L'origine du conflit est à chercher dans la Bible en couleur" nous rappele Bob le sacristain, dans son fameux livre "Comment manger des côtelettes en chantant". Pour notre part, nous préférons botter en touche et reprendre la thèse de Mamadou Keller selon laquelle la guerre des pingouins procède de 34 raisons intrinséques et 4 raisons humides :
- raison 1 : le beurre
- raison 2 : à l'époque ( 45 après Clovis 23) les troupes flamandes mangeaient du beurre
- raison 3 : au même moment, à Macao, on inventait le sandwich sans pain
- raison 4 : John Lee Hooker n'était pas encore né
- raison 5 : le Pape Pi 7 avait un fils qui mangeait du beurre
- raison 6 : les raisons 7 à 28 n'existent pas
- raison 29 : l'empereur de Floride d'alors, Hugues Papet, était un caillou
- raison 30 : si les moines du Bronx ont un tonton, il s'appelle Bruce lee
- raison 31 : le beurre sans sel était alors interdit dans toute la Lombardie
- raison 32 : on venait de découvrir enfoui sous un meuble en rotin les restes de Moïse
- raison 33 : Hubert Capet, fils de Bourgogne d'Aquitaine et d'Anjou Poitevin naquit avec un piedbot
- raison 34 : l'empereur de Bouc-Bel-Air fit construire sa statue en beurre
- raison humide n°1 : Galilée était un avant-centre de Badmington hors-pair
- raison humide n°2 : les chevaliers bretons de l'époque adoraient l'huile d'olive
- raison humide n°3 : Bobby John refusa le verset 437 de la Bible en couleur en déclarant : "le samedi existe".
- raison humide n°4 et dernière raison expiquant le pourquoi du déclenchement de la guerre des pingouins : Le Viandox avait élu Miss Caracas par un jury de trois tournevis.
Une version certes plus sérieuse, étayée par le témoignage d'époque d'un tailleur de pierre de Saint-Maclou (Bulgarie Asiatique), rapporte que la guerre des pingouins voit son origine dans la querelle des chipolatas qui débuta le 79 therminator de l'An 45 après Chuck Maurice. Cette hypoténuse de thèse, bien que particulièrement macabre, nous parait être l'oeuvre d'un fou qui préfère vivre avec des oies blanches parlant le prussien qu'avec une truelle endiablée. En fait, et après réflexion, nous pouvons un jour de mars pluvieux accréditer cette théorie pour autant qu'un espagnol aille chanter au Karaoké sans sa moustache à Kaboul. La querelle des chipolatas débuta par un appel de l'anti-pro-Pape Clément 78 envers les paysans de Moscou les incitant à abandonner les champs de courgettes pour prendre la route de Mathusalem et faire des mots croisés. Le Pape de l'époque, Pi 7, allié au baron d'Argenteuil Samos 80 qui par coutumace n'était autre que l'archi-filleul du supra-sénéchal de Digne-les-Bains Humbert "le pied froid", fils de Godefroi le Martien marié à l'époque à Jeanne l'édentée dont son arrière-petit-filleul,cousin par copulation avec un âne d'Anvers, était prétendant par droit d'aînesse à la couronne du Luxembourg appartenant à l'époque au grand cadet de Tokyo Charles "le mignon", fils de Stuart Galabru comte de Belgrade et de la reine Francine d'Ajaccio, morte mangée par un dauphin carnivore sur la route de Madison.