« Dreadloque » : différence entre les versions
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Parasites de la tête, fuis à ce titre comme la peste par tout [[être umain]] qui se respecte, le Dredloque entretient en revanche avec le [[rastaffarien]] une relation symbiotique, les drreadloques se nourrissant du surplus de fumée produit par le rastaffarien, lui permettant ainsi de s'étouffer moins vite dans ses propres effluves.<br> | '''Parasites de la tête''', fuis à ce titre comme la peste par tout [[être umain]] qui se respecte, le Dredloque entretient en revanche avec le '''[[Rastafareich|rastaffarien]]''' une '''relation symbiotique''', les drreadloques se nourrissant du surplus de fumée produit par le rastaffarien, lui permettant ainsi de s'étouffer moins vite dans ses propres effluves.<br> | ||
Le rastaffarien évite également ainsi la totale asphyxie cérébrale, ce qui lui permet (en général) de garder assez de capacité intellectuelle pour se rouler un stick, dire "Yes man!" ou chanter ''[[Houiller]]'' au quasi-unisson avec son disque de [[Bob Marley-Davidson]]. | Le rastaffarien évite également ainsi la totale asphyxie cérébrale, ce qui lui permet (en général) de garder assez de capacité intellectuelle pour se rouler un stick, dire "''Yes man!''" ou chanter ''[[Houiller]]'' au quasi-unisson avec son disque de [[Bob Marley-Davidson]]. | ||
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Version actuelle datée du 15 juin 2014 à 17:19
Parasites de la tête, fuis à ce titre comme la peste par tout être umain qui se respecte, le Dredloque entretient en revanche avec le rastaffarien une relation symbiotique, les drreadloques se nourrissant du surplus de fumée produit par le rastaffarien, lui permettant ainsi de s'étouffer moins vite dans ses propres effluves.
Le rastaffarien évite également ainsi la totale asphyxie cérébrale, ce qui lui permet (en général) de garder assez de capacité intellectuelle pour se rouler un stick, dire "Yes man!" ou chanter Houiller au quasi-unisson avec son disque de Bob Marley-Davidson.