« Proctopsychologue » : différence entre les versions
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Ce constat, au demeurant fort simple, est à l'origine de toute la philosophie de la Proctopsychologie. Si la tête est malade, il faut la soigner. Mais si elle n'écoute pas? Si elle n'écoute pas, dis-je, il faut parler au cul. Et s'il faut parler au cul, autant lui soigner ses hémorroides. | Ce constat, au demeurant fort simple, est à l'origine de toute la philosophie de la Proctopsychologie. Si la tête est malade, il faut la soigner. Mais si elle n'écoute pas? Si elle n'écoute pas, dis-je, il faut parler au cul. Et s'il faut parler au cul, autant lui soigner ses hémorroides. | ||
== Le saviez tu? == | |||
-“J’ai combien de doigts la? | |||
-Ca commence a tirer, je dirais au moins trois. » |
Version du 25 novembre 2009 à 22:32
Il arrive des fois où le sens commun rattrape la science, telle la réalité le fumeur de crack finissant son caillou.
C'est ainsi que voici près d'un siècle, a vu le jour une science encore trop méconnue.
Née de l'alliance des savoirs du Corps et de l'Esprit, La Proctopsychologie fraye difficilement son chemin vers une gloire inexorable certes, mais si difficile à atteindre. Entourée d'une aura de crainte, elle pâtit d'une terne réputation auprès des patientèles populaires, qui voient d'un oeil méfiant que l'on puisse voir le miroir de leur âme dans le trou de leur cul.
Le pouvoir de la langue
"Parle à mon cul", dit on pourtant, lorsque le stress vient à bout des nos réserves de civilités dans un contexte social de plus en plus agressif.
Ce constat, au demeurant fort simple, est à l'origine de toute la philosophie de la Proctopsychologie. Si la tête est malade, il faut la soigner. Mais si elle n'écoute pas? Si elle n'écoute pas, dis-je, il faut parler au cul. Et s'il faut parler au cul, autant lui soigner ses hémorroides.
Le saviez tu?
-“J’ai combien de doigts la? -Ca commence a tirer, je dirais au moins trois. »