« L'odeur nauséabonde de mon cul » : différence entre les versions
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Prenons une mol�cule d'odeur que l'on a extraite de son atome et rendue � sa libert�. Lorsqu'elle percute une cloison, nasale par exemple, elle y laisse une trace d'impact, et lorsqu'elle est capt�e par un appareil de mesure, cette m�me mol�cule livre exactement sa vitesse, son �nergie, son odeur, etc. Exactement comme le ferait une trace de frein extr�mement petite. Illusion, disent les �quations quantiques. "L'odeur n'avait pas de forme d�finie avant qu'elle ne soit d�tect�e", explique [[le Professeur Professeur]]. Elle s'�tale comme le fait une onde, dans un certain volume de l'espace en une sorte de nuage flou... Autrement dit, elle n'a pas de localisation pr�cise, mais tout un �ventail de | Prenons une mol�cule d'odeur que l'on a extraite de son atome et rendue � sa libert�. Lorsqu'elle percute une cloison, nasale par exemple, elle y laisse une trace d'impact, et lorsqu'elle est capt�e par un appareil de mesure, cette m�me mol�cule livre exactement sa vitesse, son �nergie, son odeur, etc. Exactement comme le ferait une trace de frein extr�mement petite. Illusion, disent les �quations quantiques. "L'odeur n'avait pas de forme d�finie avant qu'elle ne soit d�tect�e", explique [[le Professeur Professeur]]. Elle s'�tale comme le fait une onde, dans un certain volume de l'espace en une sorte de nuage flou... Autrement dit, elle n'a pas de localisation pr�cise, mais tout un �ventail de positions possibles. Ce n'est pas tout, sa vitesse n'est pas, elle non plus, bien d�termin�e. C'est ce qui explique qu'au total il soit impossible d'assigner � cette odeur une trajectoire. Celle-ci emprunte tous les chemins possibles jusqu'aux cloisons nasales. | ||
Mais lorsque l'odeur finit par frapper la victime, ou le masochiste, l'�ventail des possibilit�s se referme au hasard sur une valeur pr�cise de localisation : un corpuscule "odeur" se mat�rialise en un point pr�cis du cerveau de la victime, et le tue instantan�ment. | Mais lorsque l'odeur finit par frapper la victime, ou le masochiste, l'�ventail des possibilit�s se referme au hasard sur une valeur pr�cise de localisation : un corpuscule "odeur" se mat�rialise en un point pr�cis du cerveau de la victime, et le tue instantan�ment. | ||