« Auto-irrumation » : différence entre les versions
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(A trimard, Non jamais je ne cautionnerai une telle barbarie) |
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''Selon un récent rapport de l'[[OTAN]], l'auto-irrumation, malgré son fondement strictement méditerranéen, reste encore aujourd'hui le'' <br/> | ''Selon un récent rapport de l'[[OTAN]], l'auto-irrumation, malgré son fondement strictement méditerranéen, reste encore aujourd'hui le'' <br/> | ||
''moyen d'expression privilégié des anciennes colonies européennes.'' | ''moyen d'expression privilégié des anciennes colonies européennes.'' | ||
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L'auto-irrumation peut en cacher une autre. C'est le principe de la colonisations sans passer par le colon et la mort d'enfants. |
Version du 10 juillet 2015 à 20:20
Pratique latrine venue directement de l’arôme antique, l’auto-irrumation est une pratique dissidente, souvent qualifié d'acte de résistance paradoxal, défendue par les timides, auto-dépréciateurs et autres troublés de la personnalité limites. Elle consiste à se faire fermer sa gueule soi-même en s’introduisant soudainement un pénis, le sien propre si le praticien en est doué ou celui d’un autre s’il en est privé, dans la gorge en un mouvement de va et vient souvent douloureux. Bien pratiquée, l'auto-irrumation peut causer une irritation assez gênante pour se dissuader plusieurs jours durant de s'essayer à toute prise de parole.
Selon un récent rapport de l'OTAN, l'auto-irrumation, malgré son fondement strictement méditerranéen, reste encore aujourd'hui le
moyen d'expression privilégié des anciennes colonies européennes.
Le saviez-tu?
L'auto-irrumation peut en cacher une autre. C'est le principe de la colonisations sans passer par le colon et la mort d'enfants.