« Théorie de la Partouze Infinie » : différence entre les versions

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Théorie avancée par le politologue et mathématicien François [[Mitterrand|Mitterrandom]] selon laquelle les caractères sexués de personnes du même sexe tendent à être présents en nombre égal quand le nombre de participants tend vers l'Infini.
Théorie avancée en 1969 par le politologue et mathématicien François [[Mitterrand|Mitterrandom]] selon laquelle les caractères sexués de personnes du même sexe tendent à être présents en nombre égal quand le nombre de participants d'une partouze tend vers l'[[Infini]].


== Démonstration appliquée aux différents sexes ==
== Démonstration appliquée aux différents sexes ==


- Pour les hommes: on peut établir une fonction bijective entre le nombre de couilles et le nombre de bites, tels qu'à chaque élément de l'ensemble (couilles) soit associé un élément et un seul de l'ensemble (bites)
- '''Pour les hommes:''' on peut établir une fonction bijective entre le nombre de couilles et le nombre de bites, tels qu'à chaque élément de l'ensemble (couilles) soit associé un élément et un seul de l'ensemble (bites)


'''f:(couilles)->(bites)
'''f:(couilles)->(bites)
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'''couille(n)->bite(n+1/2)''' si (n) est impair
'''couille(n)->bite(n+1/2)''' si (n) est impair


Le nombre de bites est donc égal au nombre de couilles quand les participants mâles d'une partouze tend vers l'Infini.


- Pour les femmes: on peut établir une fonction bijective entre le nombre de couilles et le nombre de bites, tels qu'à chaque élément de l'ensemble (fouffes) soit associé un élément et un seul de l'ensemble (seins)
 
- '''Pour les femmes:''' on peut établir une fonction bijective entre le nombre de couilles et le nombre de bites, tels qu'à chaque élément de l'ensemble (fouffes) soit associé un élément et un seul de l'ensemble (seins)


'''f:(fouffes)->(seins)
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'''fouffe(n)->sein(n+1/2)''' si (n) est impair
'''fouffe(n)->sein(n+1/2)''' si (n) est impair
Le nombre de seins est donc égal au nombre de fouffes quand les participants femelles d'une partouze tend vers l'Infini.




- Pour les [[homosexuel]]s: nous vous demandons de quitter les lieux. La Police est prévenue.
- '''Pour les [[homosexuel]]s:''' nous vous demandons de quitter les lieux. La Police est prévenue.






[[Category:Mathématiques]]
[[Category:Mathématiques]]

Version du 21 août 2012 à 19:16

Théorie avancée en 1969 par le politologue et mathématicien François Mitterrandom selon laquelle les caractères sexués de personnes du même sexe tendent à être présents en nombre égal quand le nombre de participants d'une partouze tend vers l'Infini.

Démonstration appliquée aux différents sexes

- Pour les hommes: on peut établir une fonction bijective entre le nombre de couilles et le nombre de bites, tels qu'à chaque élément de l'ensemble (couilles) soit associé un élément et un seul de l'ensemble (bites)

f:(couilles)->(bites)

couille(n)->bite(n/2) si (n) est pair

couille(n)->bite(n+1/2) si (n) est impair

Le nombre de bites est donc égal au nombre de couilles quand les participants mâles d'une partouze tend vers l'Infini.


- Pour les femmes: on peut établir une fonction bijective entre le nombre de couilles et le nombre de bites, tels qu'à chaque élément de l'ensemble (fouffes) soit associé un élément et un seul de l'ensemble (seins)

f:(fouffes)->(seins)

fouffe(n)->sein(n/2) si (n) est pair

fouffe(n)->sein(n+1/2) si (n) est impair

Le nombre de seins est donc égal au nombre de fouffes quand les participants femelles d'une partouze tend vers l'Infini.


- Pour les homosexuels: nous vous demandons de quitter les lieux. La Police est prévenue.