« Caca » : différence entre les versions

Le caca est une forme d'expression créatrice à la portée de tout un chacun, artiste ou non. C'est une matière très repandue.

Interdit à la consommation mais toutefois autorisé dans le monde de l'art, les dérives sont fréquentes. Chaque année, de nombreux couples homosexuels, privés du droit de procréation et d'adoption, sont incarcérés après avoir été découverts en train d'elever des faux enfants en caca. L'addiction au caca est forte, mais toutefois, la campagne basée sur le déshonneur lancée par Rooston Svelte en 2006 a su dissuader de nombreux merdophiles.

Il existe une multitude de modèles, de la simple chiasse au caca milésimé, autant de bijoux de l'art colonial.

Le marché du caca

Etrangement, le caca a rarement fait l'objet de pénurie et les fabriques sont innombrables. En vérité, il existe même aujourd'hui une surproduction considérable qui n'est pas sans présager des conséquences inquiétantes, dont les premiers signes sont déjà visibles (proliférations des blogs, de teknivals ou de poètes, par exemple).

• Les causes de la surproduction

Contrairement aux idées reçues, les obèses n'ont qu'un rôle moindre dans cette explosion de caca. Les obèses, en tant que race futuriste, et complexée, s'octroient de bonnes éducations et envoient leurs merdes directement dans la cuvette des WC, ce qui est une sorte d'auto-régulation de leur propre production, massive s'il en est.

Les vrais surproducteurs de merde sont généralement des artistes tachant de percer en pondant une bouse plus épaisse que celle du voisin.