« Bach » : différence entre les versions
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Le nom ''Bach'' ne doit pas se prononcer ''B�che'' (du type de celle dont on couvre les camions ou qu'on peut se prendre � l'occasion d'un r�teau). | Le nom ''Bach'' ne doit pas se prononcer ''B�che'' (du type de celle dont on couvre les camions ou qu'on peut se prendre � l'occasion d'un r�teau). | ||
Sauf � vouloir passer pour un inculte on se doit de prononcer ''BAC'', comme dans ''come-BACK'' ou dans ''nique la BAC''. | Sauf � vouloir passer pour un inculte on se doit de prononcer ''BAC'', comme dans ''come-BACK'' ou dans ''nique la BAC''. | ||
En dernier recours la prononciation gutturale '' | En dernier recours la prononciation gutturale ''BARRRR'', comme Raymond ou Jean-Marc, est admise, bien qu'un peu p�teuse quand m�me et faisant mal � la gorge (voir filmographie). | ||
==Biographie== | ==Biographie== | ||
Jean-S�bastien Bach, aussi appel� ''Ji-Seb'' ou ''Jiesseb�'' par ses proches, est n� le jour m�me de son anniversaire, le 21 mars 1685. Enfant dou� d'une libido pr�coce et tr�s dissip� pour son �poque, il fait des fugues monumentales, puis des suites. Envoy� au bagne � l'�ge de 8 ans, il s'en �chappe trois ans plus tard, traverse l'atlantique � la nage et envahit la Bretagne en 1687. Apr�s un CAP de musique classique au CES Malaurie Nataf de Lorient, il s'initie � la m�canique des cantiques et produit de nombreuses pi�ces pour clavecin, notamment 3 poign�es (BWV 512 � 514), 15 couvercles (BWV 1032-46) et beaucoup d'enjoliveurs aujourd'hui perdus ou inutilisables. Par la suite il travaille pour le grand orque du C�tac�-Club de Weimar (CCW), dont il aura beaucoup d'enfants malheureusement non viables. Vers la fin de sa vie, il meurt d'une extinction globale et inconditionnelle et n'a jamais �t� revu depuis lors (d'aucuns pr�tendent que, comme Yves Montant, il fut enterr�, mais, contrairement � Yves Montant, on n'en est pas s�r). | Jean-S�bastien Bach, aussi appel� ''Ji-Seb'' ou ''Jiesseb�'' par ses proches, est n� le jour m�me de son [[anniversaire]], le 21 mars 1685. Enfant dou� d'une [[libido]] pr�coce et tr�s dissip� pour son �poque, il fait des fugues monumentales, puis des suites. Envoy� au [[bagne]] � l'�ge de 8 ans, il s'en �chappe trois ans plus tard, traverse l'atlantique � la nage et envahit la [[Bretagne]] en 1687. Apr�s un CAP de musique classique au CES [[Malaurie Nataf]] de [[Lorient]], il s'initie � la m�canique des cantiques et produit de nombreuses pi�ces pour clavecin, notamment 3 poign�es (BWV 512 � 514), 15 couvercles (BWV 1032-46) et beaucoup d'enjoliveurs aujourd'hui perdus ou inutilisables. Par la suite il travaille pour le grand [[orque]] du C�tac�-Club de Weimar ([[CCW]]), dont il aura beaucoup d'enfants malheureusement non viables. Vers la fin de sa vie, il meurt d'une extinction globale et inconditionnelle et n'a jamais �t� revu depuis lors (d'aucuns pr�tendent que, comme [[Yves Montant]], il fut enterr�, mais, contrairement � [[Yves Montant]], on n'en est pas s�r). | ||
Son oeuvre marque � la fois l'apog�e et la fin de la musique baroque occidentale, et porte � des sommets inconnus jusqu'alors l'art rigoureux et aust�re du contrep�t. Malheureusement pour la post�rit�, tout est �crit en allemand et reste donc impossible � lire tant que cette langue ancestrale n'aura pas �t� d�chiffr�e. | Son oeuvre marque � la fois l'apog�e et la fin de la musique baroque occidentale, et porte � des sommets inconnus jusqu'alors l'art rigoureux et aust�re du contrep�t. Malheureusement pour la post�rit�, tout est �crit en [[allemand]] et reste donc impossible � lire tant que cette langue ancestrale n'aura pas �t� d�chiffr�e. | ||
==Discographie Critique== | |||
* ''Le clavier bien enjoliv� (Das wolhenjolieviert Klavier)'', pi�ces pour le Klavire, interpr�t� par Danielle Gilbert sur Klavire d'�poque, DG, 1972 | |||
* ''Le clavier � jolie poign�e (Das sch�nepoigniert Klavier)'', autres pi�ces pour le Klavire, interpr�t� par Danielle Gilbert sur Klavire d'�poque, DG, 1973 | |||
==Filmographie Critique== | ==Filmographie Critique== | ||
* ''Petite Chronique d'Amygdale Bach''. R�al: Richard Strauss et Monsieur Juillet, Germanie, 1967. Un film tr�s �mouvant sur son op�ration de l'appendicite, suite � une petite infection chronique. | * ''Petite Chronique d'Amygdale Bach''. R�al: Richard Strauss et Monsieur Juillet, Germanie, 1967. Un film tr�s �mouvant sur son op�ration de l'appendicite, suite � une petite infection chronique. | ||
[[Category:Musique]] | [[Category:Musique]] | ||