« Louis-Ferdinand Céline-Dion » : différence entre les versions
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Louis-Ferdinand C�line-Dion (1939-1945), fruit d'une idylle peu rago�tante entre une femelle de la famille des [[k�ribous]] canadiens et la XIVeme Panzerdivision, �crivit quelques obscurs fascicules de conchyliculture et pogroms compar�s (Notamment le trop fameux '[[G�nocidons les hu�tres]]', [[1941]] ou encore '[[Fromage au bout de ma bite]]' [[1943,6]]). | Louis-Ferdinand C�line-Dion (1939-1945), fruit d'une idylle peu rago�tante entre une femelle de la famille des [[k�ribous]] canadiens et la XIVeme Panzerdivision, �crivit quelques obscurs fascicules de conchyliculture et pogroms compar�s (Notamment le trop fameux '[[G�nocidons les hu�tres]]', [[1941]] ou encore '[[Fromage au bout de ma bite]]' [[1943,6]]). | ||
Lorsqu'on s'appelle Louis-Ferdinand, on a le droit de tout �crire. En effet, Louis-Ferdinand est un pr�nom rare et laid, et il faut avoir piti� des minorit�s. C'est pourquoi le petit Louis-Ferdinand se r�pandit en �nonnages baveux durant de bien trop longues ann�es sans que personne n'os�t lui baffer le claque-merde. | Lorsqu'on s'appelle Louis-Ferdinand, on a le droit de tout �crire. En effet, Louis-Ferdinand est un pr�nom rare et laid, et il faut avoir piti� des minorit�s (en effet, quoiqu'il ne le reconn�t jamais, Loulou-f�f�, comme l'appelait affectueusement sa vieille m�man, �tait mal-nomm�, noir, borgne, et [[juif]]). C'est pourquoi le petit Louis-Ferdinand se r�pandit en �nonnages baveux durant de bien trop longues ann�es sans que personne n'os�t lui baffer le claque-merde. | ||
Ignorant que ce qu'il �ructait n'�tait pas de la litt�rature , il mourut seul, aigri, et plus laid encore que son propre pr�nom. | Ignorant que ce qu'il �ructait n'�tait pas de la litt�rature , il mourut seul, aigri, et plus laid encore que son propre pr�nom. |