« STAN » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
Fondateur du netlabel [[abYssa]], destiné à promouvoir la musique de hyppies illuminés croyant notamment en l’existence de [[Jacques | Fondateur du netlabel [[abYssa]], destiné à promouvoir la musique de hyppies illuminés croyant notamment en l’existence de [[Jacques Martin]], il doit malheureusement sa célébrité davantage à son penchant pour la vinasse qu’à ses productions musicales, vinasse, là est bien le mot, car il ne se soucie guère de la qualité du breuvage qu’il descend à raison de [[3]] voire [[4]] [[hectopoutre]]s quotidiennement. | ||
Membre du collectif-tout-seul [[Roswell | Membre du collectif-tout-seul [[Roswell]] Conspiracy à qui l’on doit des tubes comme « ''Rougner sur le parvis d'une [[cathédrale]]'' » ou encore « ''Brûler des bootlegs de Tangerine Dream'' ». Ses proches l’appelleront désormais STANOUNET. | ||
Ci-dessous STAN en entrainement pour le très primé | Ci-dessous STAN en entrainement pour le très primé [[con]]cours de rots de [[Palavas-lès-Astéroïdes]], mai [[2004]], concours qu'il remporta haut la main cette année-là face à de pourtant très belliqueux adversaires tels que le bavarois Hachdeguer ou encore le [[polonais]] [[Priotr Zlakouski]], et, au fond à gauche sur la photo, la délicieuse femme de STAN, JESSICA, qui sortait alors de chez son coiffeur... | ||
http://i96.photobucket.com/albums/l187/nadineemouck/alcoolique-biere.jpg | http://i96.photobucket.com/albums/l187/nadineemouck/alcoolique-biere.jpg |
Version du 28 juillet 2007 à 23:07
STAN
Fondateur du netlabel abYssa, destiné à promouvoir la musique de hyppies illuminés croyant notamment en l’existence de Jacques Martin, il doit malheureusement sa célébrité davantage à son penchant pour la vinasse qu’à ses productions musicales, vinasse, là est bien le mot, car il ne se soucie guère de la qualité du breuvage qu’il descend à raison de 3 voire 4 hectopoutres quotidiennement.
Membre du collectif-tout-seul Roswell Conspiracy à qui l’on doit des tubes comme « Rougner sur le parvis d'une cathédrale » ou encore « Brûler des bootlegs de Tangerine Dream ». Ses proches l’appelleront désormais STANOUNET.
Ci-dessous STAN en entrainement pour le très primé concours de rots de Palavas-lès-Astéroïdes, mai 2004, concours qu'il remporta haut la main cette année-là face à de pourtant très belliqueux adversaires tels que le bavarois Hachdeguer ou encore le polonais Priotr Zlakouski, et, au fond à gauche sur la photo, la délicieuse femme de STAN, JESSICA, qui sortait alors de chez son coiffeur...
STAN vit à Reims (ville réputée autant pour sa cathédrale que pour la boisson qui fit la renommée de cette région, et ce n’est pas un hasard si STAN décide de s’y installer) dans une sorte de squat fait de bric et de broc, d’amas d’objets récupérés ça et là et de cartons, squat qu’il appellera d’ailleurs LA CARTONNERIE, petit chez-lui dans lequel il passe le plus sombre de ses journées à sucer du goulot en fredonnant du Popol Vuh.
On lui doit la découverte du secret de fabrication des MALTESERS, petites sucreries chocolatées en forme de crottes de hamster, sujet à propos duquel il s’épanche dans son dernier et émouvant roman autobiographique MA REVELATION aux éditions du Père Benoît.
On retiendra de lui le désormais célèbre « QUEL TOPIC ! ».
Ci-dessous, JUPILER, le chat de STAN.