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Ville portuaire d'une importance strat�gique majeure, Koreback fut le th��tre d'affrontements [[violents]] unilat�raux. Ci-dessous une chronologie plus d�taill�e des �v�nements.
Ville portuaire d'une importance stratégique majeure, Koreback fut le théâtre de [[violents]] affrontements unilatéraux, n'opposant les troupes de la [[Fédération des Pays Producteurs de Chou-Fleur|FPPCF]] à presque personne.


== Un assault millim�tr� ==
== Un assaut millimétré ==


Les forces arm�es de la [[F�d�ration des Pays Producteurs de Chou-Fleur]] ont agi avec un sens de l'organisation frisant la perfection lors de la prise de la ville.  
Lors de la prise de Koreback, les forces armées de la [[Fédération des Pays Producteurs de Chou-Fleur]] ont agi avec un sens de l'organisation rasant de près la perfection.


* '''6:45 am''' [[Bl�ktre]].
* '''6:45 am''' [[Blêktre]] (rot matinal).


* '''8:00 am''' D�but de la premi�re vague d'assaut. Les 2000 fantassins envoy�s en premi�re ligne, ballonn�s par un d�jeuner trop copieux aux macarons-coco p�rim�s, sont mis en d�route par un paysan arm� d'une fourche. Ils se replient sur les hauteurs.
* '''8:00 am''' Début de la première vague d'assaut. Les 2000 fantassins envoyés en première ligne, ballonnés par un déjeuner trop copieux aux macarons-coco périmés, sont mis en déroute par un paysan armé d'une fourche. Ils se replient sur les hauteurs.


* '''8:15 am''' Passage en cour martiale express des fuyards, qui seront jug�s pour haute trahison envers la couronne de la galette des rois et ex�cut�s dans la demi-heure qui suit. Pr�paration de la deuxi�me vague d'assaut.
* '''8:15 am''' Passage en comparution martiale express des fuyards, qui sont jugés pour [[haute trahison]] envers la couronne de la galette des [[roi]]s et exécutés dans la demi-heure qui suit. Préparation de la deuxième vague d'assaut.


* '''8:36 am''' Apr�s qu'aient �t� retir�s les macarons des rations de survie, la seconde offensive est lanc�e. L'unit� lance-flammes charge et ouvre le feu tout en courant droit devant. Les pertes sont lourdes pour l'envahisseur, mais les d�fenses de la ville c�dent enfin.
* '''8:36 am''' Après qu'aient été retirés les macarons des rations de survie, la seconde offensive est lancée. L'unité ''lance-flammes'' tape un sprint toute flammes dehors. Les pertes sont lourdes pour l'envahisseur, mais les défenses de la ville finissent par céder.


* '''8:57 am''' Pas grand chose de plus.
* '''8:57 am''' Pause clope.


* '''9:23 am''' Intrusion des forces d'invasion dans la ville de Koreback.
* '''9:23 am''' Les forces d'invasion pénètrent dans la ville de Koreback.


* '''9:24 am''' La moiti� du contingent arm� chouflorique se perd dans les quartiers chauds de la ville. Une enqu�te men�e ult�rieurement r�v�lera que ces soldats �taient en r�alit� all�s tirer leur crampe avec des putes transsexuelles hollandaises. Le g�n�ral Makartur regroupe ses forces et commence � marcher sur la ville.
* '''9:24 am''' La moitié du contingent armé chouflorique se perd dans les quartiers chauds de la ville. Une enquête interne révélera plus tard que ces soldats étaient allés se "regonfler le moral et [se] dégonfler les couilles" dans les corps frais de jeunes putes de 14 ans. Une initiative saluée par le [[Syndicat de la Soldature]], qui y vit une "mission bénévole et spontanée d'éducation sexuelle, preuve s'il en fallait du rôle positif que peuvent jouer nos troupes en pays pauvre et anti-démocratique".


* '''11:56 am''' Les troupes pi�tinent et demeurent bloqu�es dans le quartier historique bien qu'elles n'aient rencontr� aucune forme de r�sistance. Le g�n�ral Makartur avoue alors qu'il ne sait pas lire une carte.
* '''11:56 am''' Curieusement, et bien qu'elles n'aient rencontré aucune forme de résistance, les troupes piétinent et demeurent bloquées dans les quartiers lubriques de la ville. Le [[général Bowl]] affirmera pour sa défense qu'une tâche de [[cyprine]] sur sa carte l'avait rendue illisible.


* '''12:40 am''' Changement de m�thode : l'infanterie rase les batiments un un afin de d�gager un sentier de la taille d'une autoroute jusqu'l'h�tel de ville. Cette tentative est un succ�s. Dans l'intervalle, [[Escota]] voit le jour.
* '''12:40 am''' Changement de méthode : l'infanterie rase les bâtiments un à un afin de dégager un sentier de la taille d'une quatre-voies jusqu'à l'Hôtel de Ville. Les victimes collatérales vivantes ont la possibilités de se confier auprès d'une cellule de crise ; malheureusement, aucun accès poussette n'est prévu pour y accéder, et les quatre survivants n'auront plus comme seul recours que de ronger leurs tétines en attendant la fin de l'assaut.


* '''01:53 pm''' Arriv�e des troupes du g�n�ral devant l'h�tel de ville.
* '''01:53 pm''' Arrivée des troupes du [[général Bowl]] devant l'Hôtel de Ville.  


* '''01:53 pm''' Reddition des dirigeants de Koreback au terme d'une r�sistance h�ro�que de plus de douze secondes qui leur laissera bien des �gratignures.
* '''01:53 pm''' Reddition des deux dirigeants de Koreback au terme d'une résistance héroïque de plus de douze secondes.


== Une occupation douloureuse ==
== Une occupation douloureuse ==


Les troupes d'invasion se heurtent une certaine frilosit� de la part de la population locale, sous pr�texte du massacre unilat�ral relatif � la prise de la ville. Les soldats choufluriens r�pondent � cette animosit� par la cl�mence, ce qui se traduira dans les faits par le viol des femmes de plus de 16 ans ''uniquement''. Le geste est d'abord accueilli favorablement par les vaincus. Mais le fait que les occupants se servent gratuitement dans leurs frigos provoque un soul�vement brutal et violent des habitants de Koreback. La r�volte sera r�prim�e dans le sang et la rillette. Puis, plus [[rien]].
Les troupes d'invasion se heurtent à une certaine mauvaise foi de la part de la population survivante, qui réclame expressemment d'être allaité au moins deux fois par jour. Les soldats choufluriens répondent à cette irrévérence par le larguage d'une douzaine de stocks cheeseburgers en poudre et le retrait des troupes.


== Le temps des cerises ==


Encourag�s � la d�lation par le comit� de propagande de la section d'investigation sp�ciale de la [[police]] secr�te, les Korebacks commencent � se d�noncer les uns les autres, tant et si bien que rien de jaune et courbu ne sera �pargn� dans un rayon de plus de 150 kilom�tres autour de la ville, c'est depuis qu'on appellera cette p�riode sombre de l'histoire de l'[[Indon�sie]] le "temps des cerises".
== Une liberté au parfum d'endive ==


== Un rythme � suivre ==
Libérés du joug de l'oppresseur chouflorique, les survivants s'organisent et créent le [[Comité de Lutte contre l'Impérialisme Chouflorique]] et cultivent des endives. Il s'agit encore aujourd'hui de la première ressource de la province de Koreback.


Toujours incits un rendement plus lev, les habitants en viennent se dnoncer entre eux, si bien que les services chargs des interrogatoires se retrouvent submergs. Du fait de la gravit de la situation, l'Etat-Major dcide de prendre des mesures radicales et prononce le retrait des troupes.


== Une libert� au parfum d'endive ==
[[Catégorie:Géographie]][[Catégorie:Histoire]]
 
Lib�r�s du joug de l'oppresseur chouflorique, les survivants se vengent des d�nonciations subies en s'entre-tuant jusqu'au dernier. Le terrain dera rachet� au prix du march�, c'est � dire pas grand chose du fait que la cit� �tait b�tie sur de la [[merde]]. Une fois la ville ras�e, la culture intensive des endives peut enfin d�buter. Il s'agit encore aujourd'hui de la premi�re ressource de la r�gion d'endive city, anciennement nomm�e province de Koreback.

Version actuelle datée du 24 mars 2007 à 11:41

Ville portuaire d'une importance stratégique majeure, Koreback fut le théâtre de violents affrontements unilatéraux, n'opposant les troupes de la FPPCF à presque personne.

Un assaut millimétré

Lors de la prise de Koreback, les forces armées de la Fédération des Pays Producteurs de Chou-Fleur ont agi avec un sens de l'organisation rasant de près la perfection.

  • 8:00 am Début de la première vague d'assaut. Les 2000 fantassins envoyés en première ligne, ballonnés par un déjeuner trop copieux aux macarons-coco périmés, sont mis en déroute par un paysan armé d'une fourche. Ils se replient sur les hauteurs.
  • 8:15 am Passage en comparution martiale express des fuyards, qui sont jugés pour haute trahison envers la couronne de la galette des rois et exécutés dans la demi-heure qui suit. Préparation de la deuxième vague d'assaut.
  • 8:36 am Après qu'aient été retirés les macarons des rations de survie, la seconde offensive est lancée. L'unité lance-flammes tape un sprint toute flammes dehors. Les pertes sont lourdes pour l'envahisseur, mais les défenses de la ville finissent par céder.
  • 8:57 am Pause clope.
  • 9:23 am Les forces d'invasion pénètrent dans la ville de Koreback.
  • 9:24 am La moitié du contingent armé chouflorique se perd dans les quartiers chauds de la ville. Une enquête interne révélera plus tard que ces soldats étaient allés se "regonfler le moral et [se] dégonfler les couilles" dans les corps frais de jeunes putes de 14 ans. Une initiative saluée par le Syndicat de la Soldature, qui y vit une "mission bénévole et spontanée d'éducation sexuelle, preuve s'il en fallait du rôle positif que peuvent jouer nos troupes en pays pauvre et anti-démocratique".
  • 11:56 am Curieusement, et bien qu'elles n'aient rencontré aucune forme de résistance, les troupes piétinent et demeurent bloquées dans les quartiers lubriques de la ville. Le général Bowl affirmera pour sa défense qu'une tâche de cyprine sur sa carte l'avait rendue illisible.
  • 12:40 am Changement de méthode : l'infanterie rase les bâtiments un à un afin de dégager un sentier de la taille d'une quatre-voies jusqu'à l'Hôtel de Ville. Les victimes collatérales vivantes ont la possibilités de se confier auprès d'une cellule de crise ; malheureusement, aucun accès poussette n'est prévu pour y accéder, et les quatre survivants n'auront plus comme seul recours que de ronger leurs tétines en attendant la fin de l'assaut.
  • 01:53 pm Arrivée des troupes du général Bowl devant l'Hôtel de Ville.
  • 01:53 pm Reddition des deux dirigeants de Koreback au terme d'une résistance héroïque de plus de douze secondes.

Une occupation douloureuse

Les troupes d'invasion se heurtent à une certaine mauvaise foi de la part de la population survivante, qui réclame expressemment d'être allaité au moins deux fois par jour. Les soldats choufluriens répondent à cette irrévérence par le larguage d'une douzaine de stocks cheeseburgers en poudre et le retrait des troupes.


Une liberté au parfum d'endive

Libérés du joug de l'oppresseur chouflorique, les survivants s'organisent et créent le Comité de Lutte contre l'Impérialisme Chouflorique et cultivent des endives. Il s'agit encore aujourd'hui de la première ressource de la province de Koreback.