« Peuple » : différence entre les versions
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« Le dégoût me monte aux lèvres chaque fois que j'imagine cette espèce de masse gélatineuse dont les tressauts font penser à une méduse agitée par un crabe. On pourrait naïvement la croire dotée d'une vie propre, mais cette [[matière molle]] ne se meut en vérité que sous les coups | « Le dégoût me monte aux lèvres chaque fois que j'imagine cette espèce de masse gélatineuse dont les tressauts font penser à une méduse agitée par un crabe. On pourrait naïvement la croire dotée d'une vie propre, mais cette [[matière molle]] ne se meut en vérité que sous les coups de ses maîtres. » | ||
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Version du 26 février 2007 à 18:19
Le peuple est une entité fort bien décrite par Antoine Hummel dans ses derniers écrits apocryphes:
« Le dégoût me monte aux lèvres chaque fois que j'imagine cette espèce de masse gélatineuse dont les tressauts font penser à une méduse agitée par un crabe. On pourrait naïvement la croire dotée d'une vie propre, mais cette matière molle ne se meut en vérité que sous les coups de ses maîtres. »
Voir aussi : peuplature