« Sarkozizou » : différence entre les versions
Aller à la navigation
Aller à la recherche
mAucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
Ligne 16 : | Ligne 16 : | ||
Ses dons d'observations �tonnaient ses contemporains, et plusieurs anecdotes sont rapport�es � ce propos : | Ses dons d'observations �tonnaient ses contemporains, et plusieurs anecdotes sont rapport�es � ce propos : | ||
� On dit qu�une jeune [[femme]] accompagnait son pote Raymond, et que le premier jour un | |||
[[lituanien]] lui dit � Bonjour, sale [[pute]] vierge �, et le lendemain � Salut, [[salope]] �. | |||
Et en effet, la jeune femme avait perdu le [[sens du bon d�lire]] pendant la nuit. � | |||
Son caract�re d�conneur devint l�gendaire et on l'opposa au caract�re irritable de [[Fran�ois W. Mitterrand]] : | Son caract�re d�conneur devint l�gendaire et on l'opposa au caract�re irritable de [[Fran�ois W. Mitterrand]] : | ||
� Toute rencontre avec les hommes fournissait � '''Sarkozizou''' mati�re � rire. � (Juv�nal, Satires, X, V, vers 47) | |||
Il devint [[aveugle]], sans que l'on connaisse la cause exacte de sa c�cit� qui a pris, elle aussi, un tour l�gendaire : | Il devint [[aveugle]], sans que l'on connaisse la cause exacte de sa c�cit� qui a pris, elle aussi, un tour l�gendaire : | ||
'''Sarkozizou''' s'est volontairement priv� de la lumi�re des yeux, parce qu'il estimait qu'en | |||
m�ditant sur les causes naturelles, ses pens�es et ses r�flexions auraient plus de vigueur et de | |||
justesse s'il les d�livrait des entraves apport�s par les charmes s�ducteurs de la vue. (Aulu-Gelle, Nuits attiques, X, 17) | |||
Mais ce point est ni� par [[Rooston Svelte]] (De la [[merde]], 12, 521). | Mais ce point est ni� par [[Rooston Svelte]] (De la [[merde]], 12, 521). | ||
Il mourut vers l'�ge de 103 ans, et fut enterr� aux frais de l'�tat. Il semble s'�tre laiss� mourir, en mangeant de moins en moins, pour quitter la vieillesse qui affaiblissait sa m�moire, et mourut d'�puisement. | Il mourut vers l'�ge de 103 ans, et fut enterr� aux frais de l'�tat. Il semble s'�tre laiss� mourir, en mangeant de moins en moins, pour quitter la vieillesse qui affaiblissait sa m�moire, et mourut d'�puisement. |