Eden eden eden

D'ArdKorPedia
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Un extrait de ce monument de la littérature d'avant-garde :

caresse la carapace du succédané de trionyx, se retire, lisse sa fine verge stipite entre ses deux doïgts, le gland étincelle, lance des éclairs de foutre ciselé frôlant les bourrelets de peau olivâtre du Monstre, le foutre séché glisse en poudre sur la carapace du Monstre, iceluy le recueille dans un petit sachet, Tintin s’en empare, le sniffe, débande, et voilà pour luy /// Ségolène, belle gouge et de bonne troigne, avale les chauds-froids de bonite, les steaks de biche préparés au calament, les pommes de terre sautées, les saucisses à choucroute, revient à la charcuterie, au saucisson aux herbes, enchaîne sur un roquefort, l’arrose de vin de Bourgogne, de Picon, de marc de champagne, elle s’enfile à la petite cuillère un cassoulet en boîte sans le réchauffer, et c’est l’heure du dessert, meringues, flan de Tournesol, cerises à l’eau de vie, île flottante, Ségolène engloutit tout, éructe entre les plats, prends une cuisse de poulet, la place dans son vagin, la tourne plusieurs fois, la fait goûter à Tintin et Tournesol, la mange, Tournesol sort une corde, entrave Ségolène, la pend par les pieds à un crochet, Ségolène blêmit, Tournesol la secoue, Tintin s’installe nu sous Ségolène, il imprime des mouvements de va-et-vient sur la base de son gland spongieux, léchouille la vulve de Ségolène, continue à se branler, Tournesol secoue de plus belle, Ségolène vomit le festin, des cataractes de vomi se déversent sur Tintin, iceluy avale avecque jocondité ce qu’il peut, se branle, lubrifie son gland avecque le vomi, décharge son jus de nuit lacticin jusque sur le con de Ségolène, reçoit un peu de bile sur le sommet du crâne, Tournesol libère Ségolène, elle s’allonge dans le vomi aux côtés de Tintin, Tournesol sort son vit frippé, le fait sucer par Tintin, la bouche de Tintin encore pleine de vomi, Tournesol engage précipiteusement son vit plus en avant dans la bouche, Tintin a des renvois, il vomit à son tour et lèche les grumeaux en suspension sur la vergette jangleresse du vieillard, Tournesol échauffé par le vomi enlève son vit de la bouche de Tintin, le retourne, arrache le slip par son bouffant soyeux, sa vergette rougeoie, il élargit les boucles d’ouverture du cu, pénètre l’anus recuit de vomi de Tintin et fête son corps effervescent : « tu iras chercher le Monstre, qui se branle le pendule dans les alcoves du château de granit… il te poncera les ailes et t’aculera dans la nuit sexuelle de l’abreuvoir », Tintin prend sa vespa, parcourt les dunes lunaires, s’arrête au kiosque, achète le Nouveau Détective, essuie les résidus de bile entreposés sur la surface rugueuse de son zob, suce le tenancier du kiosque, luy sectionne le frein, se repaît du sang, le tenancier luy attrappe la nuque baignée de sueur séminale, le force à lécher ses poils, à panser son gros sexe tavelé, Tintin rejette son collier anti-puces sur sa nuque, saisit une perceuse, troue le crâne sineux du tenancier, luy urine dedans, compte jusqu’à 56 le temps de la pissée, le tenancier rebande malgré l’abondance de sang évacuant le sexe, malgré son cerveau baigné d’urine pétillante, Tintin luy frappe le ventre, le retourne, tape ses fesses avecque son vit, prend congé de luy, mouche la morve acide qui s’écoule de ses narine rétricies par le froid, enfourne à nouveau sa vespa fonctionnelle, prend la route qui mène au château, fonce, la route est invisible, il manque de se tomber et de s’écraser, il appuie sur l’accélérateur, voit une auto-stoppeuse enveloppée dans une burqa filasse en peau de lynx, s’arrête, fait monter icelle, démarre, prend la main de l’auto-stoppeuse, la place sur son vit, l’auto-stoppeuse gratte les prurits vergeaux de Tintin, s’accroupit, le suce, manque de luy trancher le vit de ses incisives, Tintin bande son sexe cuivré, dilate son méat, l’auto-stoppeuse y introduit brutalement une pâquerette, la fait tourner, Tintin jouit de ce curetage urêtral, éjacule du foutre rougi par le sang aqueux, la pâquerette blanche peu à peu rutile rouge, Tintin l’enlève de son vit, l’offre à l’auto-stoppeuse, icelle s’en caresse le cli-cli bondé de sel de guérande, range la pâquerette dans son cafourniot, Tintin aux portes du château freine, le Monstre regarde la déboulade, débagoule sur Tintin, s’empare de l’auto-stoppeuse, luy arrache un ongle, la prend en cuisses, en fesses, en con, dédouble sa bite, la prend en cul et en con, le con écume, Tintin s’essuie, insère sa bite meurtrie dans la bouche de l’auto-stoppeuse, foule le sol herbu parsemé d’œufs d’escargot, de marmelade, de carcasses suintantes de lièvres, d’écorces vibrantes de baobab, Tintin sort son opinel, dénude l’os du fémur de l’autostoppeuse, sa langue gonflée touche l’os, le Monstre s’empare des nerfs, les élonge, l’auto-stoppeuse prend son briquet, brûle ses nerfs, brûle les poils pubiens de Tintin, fait passer http://marelle.cafewiki.org/?SensSonTrois