« Sarkozizou » : différence entre les versions
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« Toute rencontre avec les hommes fournissait à '''Sarkozizou''' matière à rire. » (Juvénal, Satires, X, V, vers 47) | |||
Il devint [[aveugle]], sans que l'on connaisse la cause exacte de sa cécité qui a pris, elle aussi, un tour légendaire : | |||
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Mais ce point est nié par [[Rooston Svelte]] (De la [[merde]], 12, 521). | |||
Il mourut vers l'âge de 103 ans, et fut enterré aux frais de l'État. Il semble s'être laissé mourir, en mangeant de moins en moins, pour quitter la vieillesse qui affaiblissait sa mémoire, et mourut d'épuisement. | |||
== Tu le saviez? == | |||
C'est un [[connard]] qui écrit cet article. |
Version actuelle datée du 4 novembre 2013 à 14:11
Philosophe break-tek des années 12, il écrivit a l'âge de 6 ans un traité de la famille algérienne kabyle à Seille dans la cité de « La Castellane ».
Il est cité parmi les plus grands penseurs de tous les temps avec Antoine Hummel et le Professeur Professeur.
Il s'est principalement illustré au niveau international lors de la victoire de Martine à la Starac.
Il a parcouru la Terre pour prêcher la bonne parole paranoïaque pendant près de 69 ans.
De retour de ses voyages, ayant dilapidé sa fortune, il vécut dans la pauvreté et fut entretenu par Rooston Svelte, son frère. Mais, après une lecture publique du Grand ordre du monde (par lui ou par un de ses parents), il fut récompensé de 500 talents.
Ses dons d'observations étonnaient ses contemporains, et plusieurs anecdotes sont rapportées à ce propos :
« On dit qu’une jeune femme accompagnait son pote Raymond, et que le premier jour un lituanien lui dit « Bonjour, sale pute vierge », et le lendemain « Salut, salope ». Et en effet, la jeune femme avait perdu le sens du bon délire pendant la nuit. »
Son caractère déconneur devint légendaire et on l'opposa au caractère irritable de François W. Mitterrand :
« Toute rencontre avec les hommes fournissait à Sarkozizou matière à rire. » (Juvénal, Satires, X, V, vers 47)
Il devint aveugle, sans que l'on connaisse la cause exacte de sa cécité qui a pris, elle aussi, un tour légendaire :
Sarkozizou s'est volontairement privé de la lumière des yeux, parce qu'il estimait qu'en
méditant sur les causes naturelles, ses pensées et ses réflexions auraient plus de vigueur et de
justesse s'il les délivrait des entraves apportés par les charmes séducteurs de la vue. (Aulu-Gelle, Nuits attiques, X, 17)
Mais ce point est nié par Rooston Svelte (De la merde, 12, 521).
Il mourut vers l'âge de 103 ans, et fut enterré aux frais de l'État. Il semble s'être laissé mourir, en mangeant de moins en moins, pour quitter la vieillesse qui affaiblissait sa mémoire, et mourut d'épuisement.
Tu le saviez?
C'est un connard qui écrit cet article.