Sophie de Chirac

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Sophie de Meyrac est une compteuse.

Connue pour son exentricité et sa diction expérimentale, qui, par un jeu de "second degré" , cherche à destabiliser l'auditeur. D'histoires ancrées dans la culture de l'extrème-orient, qu'elle décortique et dont elle coupe les syllabes de façon aléatoire, elle les transforme en un flot de mots sans réel sens, chaotique. Son intention première étant de détruire l'aura, et la magie des comptes qu'elle considère comme un "fantasme romantique, lyrique et mystique" de la culture populaire. Sophie de Meyrac s'acharne a rendre visible le côté moraliste des comptes, pour mieux le rapporter à l'absurde.

Sophie de Meyrac a effectué plusieurs voyages en Chine dont elle rapporte qu'elle a été "profondément déçue par ce que ce peuple a fait de la richesse de sa culture passée", ce qui l'a ammenné a penser que la richesse d'une culture n'empêchait pas d'accéder à la déchéance, et de fait qu'il était inutile d'aspirer a y accéder. Ce pourquoi, aujourd'hui elle réside en France, pour diffuser son message au occidentaux. Anarchiste, elle s'est aussi engagée a lutter contre ce qu'elle appelle "le fruit de l'acculturation" : "le communisme".

Sophie de Meyrac est arrivée a se faire accepter au sein du milieu Bobo-Boudhiste français, mais aussi à l'internationnal, afin de mieux en faire la critique depuis l'intérieur. Elle cherche ainsi a mettre en évidence cette mode actuelle qui veut que l'on s'intéresse à la culture d'extrême-orient, ou même que l'on s'en dise rattaché en tant que Boudhiste. Car elle considère que l'on ne peut se dire boudhiste et en connaître les subtilités que si l'on est né dans cette culture. Le reste n'étant qu'un "délire Bourgeois, à la manière dont certains se trouvent une occupation ou une quelconque dans les milieux aisés pour se sentir différent et passionnés dans une crise de la quarantaine propre à notre société occidentale".