« Réforme linguistique » : différence entre les versions

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Réforme votée et instituée par [[Antoine Hummel]], entrée en vigueur le 17 juin [[1997]]. Elle était explicitement destinée à endormir le peuple et à l'empêcher de communiquer dans la dignité et le respect de l'autre des informations subversives.
Réforme votée et instituée par [[Antoine Hummel]], entrée en vigueur le 17 juin [[1997]]. Elle était explicitement destinée à endormir le peuple et à l'empêcher de communiquer dans la dignité et le respect de l'autre des informations subversives.


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''Le peuple essayanbt de communiquer après la réforme''


=== Détails de la réforme ===
=== Détails de la réforme ===

Version du 30 octobre 2007 à 10:35

Réforme votée et instituée par Antoine Hummel, entrée en vigueur le 17 juin 1997. Elle était explicitement destinée à endormir le peuple et à l'empêcher de communiquer dans la dignité et le respect de l'autre des informations subversives.

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Le peuple essayanbt de communiquer après la réforme

Détails de la réforme

Tous les mots sont remplacés par essieu et l'usage de polices sans empattement est interdit. La métaphore automobile préside à tout court de grammaire.


  • Exemples de la réforme:

Dissident à l'amiable -> Essieu
Rupture d'anévrisme -> Essieu
Eloge funèbre -> Essieu


Entretien avec M. Hummel au sujet de la réforme

- Qu'est-ce qui vous fait penser que votre réforme tient la route ?

- Jante

- Pourquoi votre réforme supporterait-elle la pression populaire ?

- Jante

Cette réforme fut bruyamment dénoncée par les intellectuels. Nathalie Quintane composa pour l'occasion une chnasson très caustique sur ce sujet brûlant (la bielle de ma 106 à l'essieu de velours, 1998)

La contre-réforme de juillet 2007

Dans la correspondance qu'il entretient avec Antoine Hummel, l'auteur de ces lignes soutient depuis longtemps que le mot « jante » est bien supérieur au mot « essieu ». Ainsi il a pu écrire le 29 mai 2007 : « J'aurais pu venir à votre expo si je n'avais pas plié la jante du camion dans un virage ».

Enflammé, il prétend désormais que le mot jante, auquel on pourrait éventuellement adjoindre le mot « enjoliveur », est le seul mot que le peuple français pourra pleinement comprendre et accepter lors de l'imposition de la contre-réforme par une société privée concessionnaire de l'Education Nationale.

Loïc le Moeurs soutient cette croisade contre les staliniens de la langue.

Loic_jante.jpg


A rapprocher de "Le internet" et "cédérome"