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Effectivement, c'est à la puberté que les êtres [[umain]]s se retrouvent définitivement prisonniers de leurs corps | Effectivement, c'est à la puberté que les êtres [[umain]]s se retrouvent définitivement prisonniers de leurs corps, et deviennent par exemple incapables de prendre leur gros orteil dans la [[bouche]], de tomber sans se faire de [[bleu]]s et de crier longtemps sur des notes ultra-aigues. | ||
La puberté se caractérise aussi chez certains sujets mâles ou lusitaniennes par un hirsutisme des plus farfelus, qui les contraint parfois à avoir recours aux super-pouvoirs d'[[Antoine Hummel]] dans un de ses centres d'épilation laser ''[[You'll be beardless too]]''. | La puberté se caractérise aussi chez certains sujets mâles ou lusitaniennes par un hirsutisme des plus farfelus, qui les contraint parfois à avoir recours aux super-pouvoirs d'[[Antoine Hummel]] dans un de ses centres d'épilation laser ''[[You'll be beardless too]]''. | ||
Version du 8 février 2007 à 16:39
Le mot puberté est une contraction de l'expression "pupe au bercail sans liberté".
Effectivement, c'est à la puberté que les êtres umains se retrouvent définitivement prisonniers de leurs corps, et deviennent par exemple incapables de prendre leur gros orteil dans la bouche, de tomber sans se faire de bleus et de crier longtemps sur des notes ultra-aigues.
La puberté se caractérise aussi chez certains sujets mâles ou lusitaniennes par un hirsutisme des plus farfelus, qui les contraint parfois à avoir recours aux super-pouvoirs d'Antoine Hummel dans un de ses centres d'épilation laser You'll be beardless too.
Le sexe, à l'instar du poil, prend également une part primordiale dans l'existence du pubertant. Chez les hommes le pénis s'érige insensément (et notamment les jours d'EPS, à travers les joggings) vers d'innombrables cibles réelles ou fantasmées, poussant nos chères têtes blondes au viol, au suicide ou à une retraite monacale devant la télé.
A la puberté, ça se fit chat de tout et adopta un mode de vie monacal
Les femmes, elles, se mettent à ressentir constamement la présence d'un gouffre à combler, qui se traduit par des orgies compulsives d'achats en tous genres, ou la fondation de clubs de lecture des romans conseillés par leur magazine de gonzesses préféré.
Cette période marque le début de l'âge sacré entre tous, l'adolescence.