« Maurice Paponce-Pilate » : différence entre les versions

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60  : dix ans plus tard.
60  : dix ans plus tard.


70  : Mort de Maurice. Dans sa niche il prononcera ces dernier mots : "je m'en bave les reins, tas de ch'ti poliomyélites.", d'où l'expression.
70  : Disparition de Maurice. Dans sa niche il prononcera ces dernier mots : "je m'en bave les reins, tas de ch'ti poliomyélites.", d'où l'expression.





Version du 3 octobre 2007 à 03:42

Célèbre délateur, fan frustré de Jesus de Bite. Parfois confondu avec Boris Quinconce "Pirate", égérie pop seventies des matelots pinés-haut de la Tare-Académie III, Maurice est apparu avec une salopette de mécano qui pue du cul qu'il porte de manière ostentatoire. Le vilain.


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Maurice Paponce-Pilate en plein spectale de statue vivante, non loin de la fontaine du Chapelet.

Faits marquants

0  : Maurice nait dans un trou de MontCuq.

10  : dix ans plus tard.

20  : dix ans plus tard.

30  : dix ans plus tard.

40  : dix ans plus tard.

50  : dix ans plus tard.

60  : dix ans plus tard.

70  : Disparition de Maurice. Dans sa niche il prononcera ces dernier mots : "je m'en bave les reins, tas de ch'ti poliomyélites.", d'où l'expression.


Nota Bene

Maurice Paponce-Pilate n'est pas la tante de Mario Bosse, ni son furoncle.