« Martin Hachdegger » : différence entre les versions

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Né en 1889, M. Hachdegger fut le grand théoricien de l’[[arbrologie existentialiste herméneutique]].  
Né en 1889, M. Hachdegger fut le grand théoricien de l’[[arbrologie existentialiste herméneutique]].  


Et pour cause, il habitait dans la Forêt Noire d’[[Allemagne]], haut lieu européen d’intoxication à la [[chouflorine]], après la [[Lozère]]. Provoquant des dégâts irrémédiables sur son cerveau, les molécules choufloriniques le poussèrent très tôt à l’hallucination philosophique (« ''Primum sniffere, deinde philosophari'' » - '''[[Sénèque]]'''), pour laquelle dès l’âge de [[5]] ans il montre des prédispositions étonnantes.
Martin Hachdegger habitait dans la Forêt [[Noire]] de [[Pologne]], haut lieu européen d’intoxication à la [[chouflorine]],juste après la [[Lozère]].  
En effet, à [[5]] ans Hachdegger démonte la structure existentiale de sa luge. Il découvre qu’elle est faite de [[bois]].
 
Provoquant des dégâts irrémédiables sur son cerveau, les molécules choufloriniques le poussèrent très tôt à l’hallucination philosophique (« ''Primum sniffere, deinde philosophari'' » - '''[[Sénèque]]'''), pour laquelle dès l’âge de [[5]] ans il montre des prédispositions étonnantes.
 
En effet, à [[5]] ans Hachdegger démonte la structure existentiale de sa luge Davos. Il découvre qu’elle est faite de [[bois]].
Cela le conduit, à l’âge de [[20]] ans, à émettre l’hypothèse que ''[[l’hêtre]]'' est à la source de toute chose. '''[[Husserl]]''' en est tout excité.
Cela le conduit, à l’âge de [[20]] ans, à émettre l’hypothèse que ''[[l’hêtre]]'' est à la source de toute chose. '''[[Husserl]]''' en est tout excité.


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*'''L’oubli de l’hêtre :'''  maintenant tout se construit en [[béton]]. C’est le règne de la [[Technique]].
*'''L’oubli de l’hêtre :'''  maintenant tout se construit en [[béton]]. C’est le règne de la [[Technique]].
== Citations ==
*"Les glands n'ont rien à perdre que leurs chênes. Glands de tous les pays, unissez-vous !""(Délirium tremens chez les [[Kant]], [[1902]])
*"Tant qu'on a du bouleau..."(A Jean-Paul [[Sartre]] qui se plaignait d'être mort, cité par [[Aristote]]).


== Influences ==
== Influences ==


Prônant un retour aux racines, Hachdegger inspira les chansons à texte du crooner Jean-Paul [[Sartre]], alias [[Jésus]] Christ.
Prônant un retour aux racines, Hachdegger inspira les [[chanteur à texte|chansons à texte]] du crooner [[Francis Cabrêle]].
Pour ce qui est de lui-même, il a beaucoup lu [[Aristote]] ainsi que l’humoriste I.J.F. [[Kant]].
 


== Adversaires ==
== Adversaires ==


* Le [[cercle de Vienne]] ne mangeait que des croissants pendant ses réunions.
* Le [[cercle de Vienne]] ne mangeait que des croissants pendant ses réunions.
* La [[prétention post-moderne à la reformulation pédagogique des grandes idées philosophiques]] n'a rien compris à Hachdegger.
* Hachdegger n'a jamais rien compris à la [[prétention post-moderne à la reformulation pédagogique des grandes idées philosophiques]] .


== Le Tournant ==
== Le Tournant ==

Version du 5 juillet 2007 à 21:03

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Hachdegger en 1935 : le monde est un système d’indices.

Biographie

Né en 1889, M. Hachdegger fut le grand théoricien de l’arbrologie existentialiste herméneutique.

Martin Hachdegger habitait dans la Forêt Noire de Pologne, haut lieu européen d’intoxication à la chouflorine,juste après la Lozère.

Provoquant des dégâts irrémédiables sur son cerveau, les molécules choufloriniques le poussèrent très tôt à l’hallucination philosophique (« Primum sniffere, deinde philosophari » - Sénèque), pour laquelle dès l’âge de 5 ans il montre des prédispositions étonnantes.

En effet, à 5 ans Hachdegger démonte la structure existentiale de sa luge Davos. Il découvre qu’elle est faite de bois. Cela le conduit, à l’âge de 20 ans, à émettre l’hypothèse que l’hêtre est à la source de toute chose. Husserl en est tout excité.

Les principaux concepts de Hachdegger pour emmerder les étudiants

  • L’hêtre-quoi : l’hêtre dont on sait pas trop ce-que-c’est. Peut-être un chêne. L’hêtre-quoi est l’essence la plus intime de l’homme. Mais l’homme on ne sait pas ce que c’est non plus, si ce n’est l’hêtre-quoi. L’hêtre-quoi est hanté, il est même tenté au plus profond de son hêtre par la tente. (cela est vraiment très bien montré dans la Tente de l’angoisse, chef-d’œuvre du cinéma autrichien alpiniste, dont le scénario fut co-écrit par Martin Hachdegger).
  • L’hêtre-pour-ça : l’hêtre qui est fait pour quelque chose. Par exemple, une luge.
  • L’hêtre-loin : l’hêtre qu’on ne peut pas toucher.
  • L’hêtre-las : il se repose dans la Clairière parce qu’il y fait beau.
  • L’hêtre-en-dépit-de-lui-même : le destin tragique de l’homme face à la tente.
  • L’oubli de l’hêtre : maintenant tout se construit en béton. C’est le règne de la Technique.

Citations

  • "Les glands n'ont rien à perdre que leurs chênes. Glands de tous les pays, unissez-vous !""(Délirium tremens chez les Kant, 1902)
  • "Tant qu'on a du bouleau..."(A Jean-Paul Sartre qui se plaignait d'être mort, cité par Aristote).


Influences

Prônant un retour aux racines, Hachdegger inspira les chansons à texte du crooner Francis Cabrêle.


Adversaires

Le Tournant

En 1930, il part rejoindre Wittgenstein dans sa cabane au Canada. Malheureusement, Russell les surprend. Ce sera la fin du cercle de Vienne.

HeideggeretWittgenstein.jpg Hachdegger et Wittgenstein organisant un jeu de pistes dans la forêt irlandaise.

Œuvres majeures

  • Nicole Croisille's not dead, 1957
  • Boucler la boucle : Prolégomènes à une propédeutique du kilométrage inédit d'Eddy Merckx envisagé comme parangon des devenirs dans des conditions déterminées d'humidité et de température, collection Chemins qui tournent en rond (et autres pistes pour sortir de nulle part), 1950.

Œuvres à l’index

  • Nique la Police, 1905.

La chanson phare de l'éphémère groupe punk du jeune Hachdegger. Philippe Manoeuvre écrira alors dans sa critique de leur premier (et dernier) album qu'il est "mal venu. Ni drôle ni original, du jeunisme merdique, c'est tout." (Les Inrockuptibles, octobre 1905)

  • Hêtres et tentes, 1927.

Le chef-d’œuvre de l’arbrologie herméneutique, hélas toujours incompris. Il fut censuré par Jean Paul II.


Citations

Adorno : « Tout ça pour ça. »

Snap: "I've got the power"

Sartre : "Pour moi, ce sera un crème sans sucre, garçon"